Champ Lexical De La Prison

impression d’un café banal, anonyme, sans description ni caractérisation or avec plusieurs éléments révèlent le cadre très présent qui intervient systématiquement dans les parties de récit. Décor animé. «  baissa » « allaient » « s’annonça » champ lexical du mouvement + verbes répétitifs renvoient à l’idée d’entrer et de sortir + bruit de la radio créant une atmosphère. ↘Volonté d’un rejet de description, cadre pas propice à une rencontre, concentration sur les indications de temps quand les personnages

interjections, les exclamations et les interrogations qui témoignent du bouleversement du locuteur : - Condamné à mort ! …toujours courbé sous son poids ! Ah ! ce n'est qu'un rêve ! - Hé bien ! Les champs lexicaux de la douleur, de la souffrance, de la mort, de la fatalité (douleur, terreur, pitié) Le champ lexical de l’idée du temps : semaine, année, jour, heure, minute, autrefois, maintenant. L’opposition passé / présent met en valeur la souffrance. Le présent engloutit le passé. Un texte rythmé par

réaliste de Vautrin puis l’aspect contrasté du personnage. I°) La vision réaliste de Vautrin Dans un premiers temps nous analyserons la vision réaliste du personnage. Tout d’abord, nous avons la description physique du personnage, par un champ lexical qui décrit sa physionomie. « Épaules larges » ligne 3 ; « buste bien développé » ligne 3 ; « muscles apparents » ligne 4 ; « mains épaisses, carrées » ligne 4. Cela montre que Vautrin est présenté en premier lieu comme un homme fort, dur et imposant

I-La situation du texte : Le texte se situe au début du roman à thèse « Le dernier jour d’un condamné »de Victor Hugo. Le narrateur lui-même le personnage principal, captif dans une prison « Bicêtre » pense à sa vie passée et la compare à sa vie présente. II-Identification du texte : Genre : extrait d’un roman à thèse Type : discours et narration Personnage : le condamné Registre : pathétique III-Axes de lectures 1) L’énonciation : -L’émetteur : Un condamné à mort, l’indice personnel

des images qui lui permettent de créer un rapprochement entre son état moral et un paysage lugubre. On peut relever le champ lexical des sentiments et de l’état intérieur du poète (« sur l’esprit » v2, « triste » v4, « l’Espérance » v6, « au fond de nos cerveaux » v12, « « mon âme » v18, «l’angoisse atroce » v19, « sur mon crane » v20.) et on peut aussi relever le champ lexical d’un temps d’orage (« le ciel bas et lourd» (v.1), « la terre est changé en un cachot humide » (v.5), « pluie étalant ses

il met en avant l’état saisissant et la condition misérable des bambins. En effet, le poète a d’emblée recours à la pitié du lecteur à travers la description réaliste de l’état physique des enfants. Il insiste sur leur aspect souffrant grâce au champ lexical de la maladie : « que la fièvre maigrit » vers 2, « quelle pâleur » vers 12, « Rachitisme » vers 18. Ces adjectifs fort qui qualifient les enfants permettent au lecteur de les imaginer dans les moindres détails. Les enfants sont de véritables outils

difficile → Poète français → fugues → (période → guerre contre Prusse) → Amitié avec son professeur de rhétorique (Mr Izambard) → aide et encourage pour sa vocation de poète → vie de débauche → 1870 → part à Paris → va en prison → son professeur viendra le sortir → 1871 → rencontre avec Verlaine avec qui il aura une liaison malgré la femme de Verlaine → 1873 → violente dispute entre eux → Verlaine blesse Rimbaud de coups de pistolet → Rimbaud lui annoncer son

situe les faits, et une opposition entre le champ lexical de l’éthique attendue et celui du manquement d’éthique. A- Les exemples 1- Expériences faites par les médecins nazis sur les déportés : bien = « médecin, humainement, scientifiquement, connaissance » / mal = « pas le moindre progrès, monstrueuse, acteurs du génocide » 2-L’inquisition (13° au 16° siècle) : bien = « religion, prêtres » / mal = « tortionnaires » 3-Praticien dans les prisons : bien = « médecins » / mal = « sévices, exécution

se hâtant on ne sait où » (ligne 2-3), il assimile le mouvement des nuages à un cheval au galop, le temps se déchaîne dans tous les sens. L’histoire se déroule en décembre (l.1), il fait froid et il y a beaucoup de vent, on le voit grâce au champs lexical du froid : « pluie » (l.19), « vent froid » (l.1), « vent glacé » (l.31). Ce temps nous implique vraiment dans l’histoire car nous le vivons très souvent, il nous paraît familier. Le ciel bas et sombre est recouvert de nuages. Nous voyons que

« araignées » ; V17 : « corbillards ». b) Tristesse et sentiment de mal-être, état critique de l’auteur Champ lexical de la tristesse : V2 : « gémissant » « longs ennuis » ; V4 : « triste » ; V14 : « affreux » ; V16 : « geindre » ; V19 : « pleure ». 2. L’oppression a) Oppression Métaphore filée de la prison : V5 : « cachot humide » ; V8 : « plafonds pourris » ; V10 : « vaste prison » « barreaux ». b) Pesanteur Comparaison  V1 : « quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle »