Champ Lexical De La Prison

serviable, n’hésite pas a prêté de l’argent, a madame Vauquer par exemple, mais il est près de ses sous ; « mais ses obliges seraient morts plutôt que de ne pas lui rendre », ce qui font planer un certain doute sur Vautrin. Ceci est renforcé par le champ lexical du criminel comportant les mots « crainte, sang-froid, imperturbable, crime, juge » qui soudain, nous font paraître Vautrin comme un être violent, criminel, et mystérieux. On voit que Vautrin est un homme très pressé de manière générale. L’auteur

COMME un cachot, mais EST un cachot. Le grand devient petit. Des choses impalpables (ciel, Terre) deviennent des objets concrets On peut observer un champ lexical de la prison développé au cours de tout le poème : cachot humide, les murs, plafonds pourris, vaste prison, barreaux. Celle-ci est d’ailleurs très insalubre, on a aussi un champ lexical de la pourriture, l’humidité semble régner avec humide, pourris, pluie, ciel bas et lourd, on a un mauvais climat.- On a ensuite une allégorie de l’espérance

qu’il n’y en avait point, et qu’on ne plaidait jamais » l.20 ; « il s’informa s’il y avait des prisons, et on lui dit que non » l.21 Les habitants de l’Eldorado n’ont aucune justification à ces absences à part le fait que c’est logique : « on ne plaide jamais » l.21 Ils accordent plus d’importance savoir et à la connaissance qu’à la justice : il n’y a ni palais de justice ni de parlement, ni même de prison, mais en revanche il y a un très grand « palais des sciences dans lequel il vit une galerie

pubier en 1829. Son genre est un récit écris à la première personne, Victor hugo utilise une techniques d'autobiographie,en particulier pour avoir plus l'aire d'un journal intime. Le temps et le lieux de l'intrigue se déroulent dans Les grandes prisons de Paris, le voyage vers Paris et le voyage dans Paris, pendant cinq semaine du début de la condamnation à mort jusqu'à son exécution. Le personnage principal est un homme, on ne sais ni son nom ni pourquoi il se retrouve condamné à mort. Il parleras

quotidien tout en restant dans la convention du conte. Dès le début on a l’impression que l’apparence physique représente pour le narrateur quelque chose de très important dont la preuve est l’insistance mise sur le sens de la vue dont le champ lexical constitue un véritable réseau (« regarder », « yeux rond », « voir », « les yeux », « des yeux », « en te regardant », « dévisager », « apercevoir », « voir », « miroir », « montrer », « la vue de mes yeux ») ainsi que le mot « belle » qui est

contre un tel embarras de tapissières, de charrettes, de chars à bancs… », « il rentra dans les légumes », « le déluge de choux, de carottes, de navets recommençait », « ce flot qui l'atteignait dans sa fuite », « Il butait à chaque pas ». Le champ lexical du danger est présent (« la chaussée périlleuse »), ainsi que celui de la fuite que tente désespérément Florent (« Il n'eut plus (…) qu'un besoin, s'éloigner des Halles », « sa fuite ») et celui de l’égarement : « Il perdit Lacaille », « il s'égara

temporels : "voilà", "sitôt"... - Malgré les nombreuses et douloureuses tentatives de Figaro, la situation n'évolue pas( finit sans emploi - Grâce à ses mésaventures, F est très émancipé: indépendance financière, variété d'expériences (censure, prison...) B. L'échec professionnel et personnel Sa vie est parsemée de frustration et d’échecs Plan professionnel Après avoir essayé plusieurs métiers, il essaye trois autres : l. 25- 35 ( Figaro dramaturge l.39-44 (Figaro économiste

élégiaque : le poème se lit comme une déploration de la mort de la fille de Hugo, et comme une plainte visant à afficher toute la douleur d’un père endeuillé. - Champ lexical de la joie et de la vie (« enfants » v. 3, « fleurs » v. 4, « printemps » v. 5, « fête » v. 5, « roses » v. 10) forme une antithèse avec le champ lexical de la tristesse et de la mort (« douleurs » v. 1, « tristesse » v. 8, « ombre » v. 11, « mort » v. 12). Ce contraste met en scène le déchirement intérieur du poète

galetas2. L’homme, la fille et l’enfant eurent froid et faim. L’homme vola. Je ne sais ce qu’il vola, je ne sais où il vola. Ce que je sais, c’est que de ce vol il résulta trois jours de pain et de feu pour la femme et pour l’enfant, et cinq ans de prison pour l’homme. L’homme fut envoyé faire son temps à la maison centrale de Clairvaux3. Clairvaux, abbaye dont on a fait une bastille4, cellule5 dont on a fait un cabanon6, autel dont on a fait un pilori7. Quand nous parlons de progrès, c’est ainsi que

la scène à lieu dans la pénombre : « la seule lumière venait du building voisin : un grand rectangle d’électricité pâle, coupé par les barreaux de la fenêtre ». Les barreaux de la fenêtre font ici référence à un enfermement comme dans une prison ou dans une prison mentale. Le corps du trafiquant inanimé à une place très importante malgré le fait qu’il soit très peu visible : « un corps moins visible qu’une ombre ». Malgré le caractère endormi du corps, son pied est qualifié de « chair d’homme » afin