Champ Lexical De La Prison

Verlaine est un poète français du XIXeme siècle. Il est né en 1844 et est mort en 1896. Il épouse Mathilde Mauté en 1870 mais en 1872 il quitte sa femme pour vivre avec Rimbaud. Il va le blesser d'un coup de revolver et sera condamné à deux ans de prison. Juste avant sa mort, en 1894, il est qualifier de «prince des poète». C'est en 1866, qu'il publie sont premier recueil : «poèmes saturniens».Ce recueil est divisé en quatre parties : Melancholia, Eaux-fortes, Paysages tristes et Caprices. Comme

Guillaume Appolinaine est un poète du 20 ème siècle .Il a écrit ce poème alors qu’il est en prison pour un vol .Ce poème appartient a la suite poètique « A la santé » dans Alcool . Le schéma progressif de ce poème se traduit par une sorte de chute puis vers la fin du poème ,un retour à l’espoir . 1) La prison : il évoque dès le 1èr vers le lieu où il se trouve «  avant d’entrer dans ma cellule » -la prison va lui faire perdre son identité: Il évoque ainsi une déhumanisation ,une dégradation

« plus…nuits » donnent impression qu’il n’y a plus que l’obscurité et le désespoir qui s’abattent sur l’esprit. 2è quatrain s’ouvre sur l’anaphore « Quand », cette fois il ne s’agit plus du ciel mais de la terre qui est associée par une métaphore filée à une prison, à un cachot humide. Annonce ici le thème du pourrissement que l’on retrouve au dernier vers de la strophe. « Quand la terre…comme une chauve-souris ». Comparaison associe chauve-souris à l’Espérance, l’allégorie se retrouve incarnée par un animal

I] La représentation symbolique du spleen Le paysage du Spleen Baudelaire présente un paysage de pluie. Baudelaire évoque le « ciel bas et lourd » (v.1) ou encore « la pluie étalant ses immenses traînées » * présence de l’obscurité : le champ lexical de la noirceur revient tout au long du texte de Baudelaire : bestiaire noir de la « chauve-souris », de * l’ « araignée », obscurité du « cachot » (v.5) ou encore l’oxymore « jour noir » où se lit déjà, comme annoncé la victoire du spleen

faut, pour l'atteindre, utiliser une « échelle » (vers 5). Ceci nous fait bien sûr aussitôt penser aux contes populaires qui se passent au Moyen Age. Les mots « Du haut de la citadelle » vers 27 le confirment ainsi que le champ lexical de la prison : « sentinelle » (vers 28), « prison » (vers 33) et des conditions de vie qui y sont associées avec « grabat » (vers 34) et « les rats » (vers 36). En outre, les références à la religion (« ciel » dans le refrain, « chapelle » vers 11, « glas » vers 40) paraissent

nuits ; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l’Espérance, comme une chauve-souris, S’en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D’une vaste prison imite les barreaux, Et qu’un peuple muet d’infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie

La variation du rythme des phrases peut créer différentes impressions: - un rythme binaire produit une impression de stabilité, d’équilibre, ou a au contraire un caractère tranchant: «Mon corps est aux fers dans un cachot, mon esprit est en prison dans une idée.» - le rythme ternaire produit inversement une impression d’instabilité, de malaise, ou au contraire de majesté dans certains poèmes (c’est le rythme de la valse). Ce rythme omniprésent dans le premier chapitre du Dernier jour, et

l’institution judiciaire qui va faire « crever quelque chose en [lui] », la religion. Il a dès son arrestation ou presque été mis en contact avec le fanatisme religieux, en la personne du juge d’instruction. À la fin du roman, c’est l’aumônier de la prison qui déclenche la prise de conscience finale. En fait ces deux personnages, mais tous ceux qu'il croise aussi bien, somment Meusault de trouver un sens au monde. Et lui s’y refuse obstinément. D’abord avec une sorte d’inertie, puis en une révolte

aussi sur la violence faite sur les jeunes envoyés à la guerre. 2) La jeunesse des enfants, Victor Hugo utilise l’état de santé des enfants « Rachitisme » (V18) « fièvre maigrit » (V2) Dans le texte 1 : Le champ lexicale de la fragilité, de l’innocence Dans le texte 2 : Champ lexical de la mort, le chagrin de la grand-mère (V34, V40) Dans le texte 3 : Jeunesse encore et innocence du soldat »Berce le chaudement » (V11) Commentaire de texte Mélancholia, a était écrit pas Victor Hugo en

France et en Suisse. Cette pièce a fait un énorme scandale lorsqu'elle est sortit, car elle est fondée sur une histoire triste et tragique, le public était donc choqué qu'une telle pièce soit sortie. Dans cette scène, Zucco, après c'être échappé de la prison, tué ses parents et violé une fille, se retrouve dans un métro fermé pour la nuit, assit à côté d'un vieil homme perdu. Les deux personnages parlent de leur vie, et Zucco, dans son discours, nous livre un autoportrait sur sa personnalité, et ses