Champ Lexical De La Prison

Le fait de la siffler était un acte de résistance. Problématique : Peut-on résister par le pouvoir des mots ? Ce texte est dominé par la présence de la violence des résistants mais aussi celle des allemands, ainsi que le souligne le champ lexical de la violence : « sang », « couteaux », « tueurs ». Dés le début, l’accent est mis sur l’absence de liberté, l’enfermement des français par les allemands. Les allemands sont également métaphorisés de façon péjorative avec l’expression « le vol

Elle rapproche 1 élément comparé d’un élément comparant. * La comparaison filée Elle se prolonge sur pls termes € au même champ lexical que le comparant * La métaphore Une comparaison elliptique (sans « comme ») qui identifie l’élément comparé et l’élément comparée * La métaphore filée Le comparant se prolonge sur pls termes € au champ lexical * La personnification Elle transforme un être inanimé en un être vivant * L’allégorie Elle transforme un élément concret

son propre souvenir de quand il vit la dame pour la première fois. 5- Il y a 4 allégories. Elles donnent une image de prison de l’amour, elle a 3 gardiens, la beauté, beau semblant et le refus. 6- « Douce prison » est un oxymore. L’homme est soumis a la dame l’amour est emprisonné par la dame, mais il l’apprécie malgré cette souffrance et cette soumission à la dame.7- Le champ lexical est la guerre « affronts, portiers, bataille, vainquirent, combattant, souffrance, combat, salut ».8- Il cherche la

texte 3 n'est pas non plus mis en scène : « Thérèse ! Thérèse ! » on voit par cette répétition que le crime se commet directement. En revanche le texte 1 nous montre bien une mise en scène. Celle-ci est est d'ailleurs théatrale. On y remarque le champ lexical du théatre « trois coups », « rideaux »... La scène est très théatralisée, de plus comme dans le théatre, la mort n'est pas montrée au spectateur, la scène de crime se passe très vite sans détails de la victime : « elle tomba ». II/ Les aspects

l’orage gronde et empêche le poète de sortir.  b) la prison. *Sensation d’enfermement présente dès la première strophe : comparaison « comme un couvercle » (v.1), « l’horizon embrassant tout le cercle »(v.3), impression d’être dans un lieu fermé *Champ lexical développé de la prison dans les deux strophes suivantes : « cachot »(v.5), « prison », « barreaux »(v.10), Comme dans une prison, évasion paraît impossible : « battant les murs »(v.7)

la maison avec la métaphore du cœur qui bat. Cette métaphore met en évidence le degré d’angoisse de Rose qui augmente au fur et a mesure des battement de l’horloge qui est assimilée a un cœur. Ensuite le cadre angoissant est définit par le champ lexical de la peur qui est très présent. Ce procédé d’accumulation a pour effet de mettre le lecteur dans la situation d’angoisse de Rose. Enfin l’auteur utilise un rythme ternaire et un passage de l’imparfait au passé simple pour insister sur le sentiment

rebelle, passant par la colonie pénitentiaire de Métray, la légion étrangère et la prison à plusieurs reprises. Genet est un perfectionniste, obsédé par la beauté du mot. Ces premiers romans sont censurés, car ils sont jugés pornographiques. Jean Cocteau le défend en lui évitant la prison à perpétuité et Jean-Paul Sartre le fait découvrir en publiant Saint Genet comédien et martyr. Genet met en place un observatoire de prison avec Michel Foucault et prend parti pour les indépendantistes algériens. Il obtient

- Absence de pathos. Neutralité de ton, regard de l’ethnologue, du clinicien. B) Un récit factuel (qui se contente de rapporter les faits): - Enchaînement strict et rapide des faits (de la prison à la procession sans passer par le prétoire) qui s’autorise l’ellipse (les 8 jours passés en prison ne sont pas racontés). - Concentration des effets et rapidité des actions: en quelques lignes, les victimes sont costumées, puis elles défilent, puis suit l’accomplissement de la sentence: tempo

matérielle. Le champ lexical architectural, composé des mots « palais » « portail » « fontaines » « édifices », est associé à la démesure, notons l’hyperbole « les édifices publics élevés jusqu’aux nues » et les hyperboles chiffrées telles que « deux cent vingt quatre pieds de haut et cent de large » « mille musiciens » « mille colonnes » « galerie de deux mille pas », mais associé notamment au luxe, comme le montre la présence des noms « or » et « pierreries ». Il y a aussi le champ lexical des sens,

et 23-39 ; exemples et comparaisons, l. 15-17 ou l. 36-39 ; connecteurs logiques et chronologiques ; présent de vérité générale. * Caractéristiques de la réflexion des philosophes : thèmes de la politique, du gouvernement, du despotisme ; chp lexical de la raison ; modèle de l’Angleterre, l. 22. * Etudes des deux arguments principaux, qui s’enchaînent par évolution logique du particulier vers le général et du concret vers l’abstrait (?) : l. 10 à 19, l’efficacité du châtiment ne dépend pas