Champ Lexical De La Prison

de son époque. A l’acte IV scène 7 Corneille met en scène le monologue de Clindor, qui est en prison suite à la mort de son rival Adraste. Comment l’amour de Clindor envers Isabelle l’aide à le sauver de sa peur de la mort ? Nous nous intéresserons dans un premier temps la peur qu’éprouvé Clindor envers la mort puis pour finir nous verrons la salvation par l’amour. I. La peur de mourir Champ lexical de la mort domine le texte « ma perte », « mort », « peine », « torture », « funeste », « fatal »

(récurrente) du poète, endroit devenu une prison pour lui. Allégorie de l’espérance à travers la chauve souris - Apparition du mouvement désordonné avec la chauve souris lorsqu’elle essaie de sortir. (comme avec la cloche dans le poème de la cloche fêlée) «Se cognant la tête, bâtant» ==>(p.présent) rappel de Baudelaire et ses montées vers l’Idéal impossible. On a l'impression d’une succession de chocs pour le poète. Strophe marqué par le champs lexical de l’angoisse : chauve-souris, cachot, murs

structure grammaticale 3 propositions subordonnées de temps (crée un effet d’attente)  Répétition du « quand » semble retarder l’arrivée du 4ème quatrain Gradation qui recentre sur un élément précis=prison =rétrécissement du champ de vision=enfermement de plus en plus présent « couvercle » « prison » « cachot » plus on avance, plus le malaise s’agrandit IA2 : Vocabulaire utilisé Lexique fait apparaitre notion d’étouffement, de claustration « bas et lourd » « peser » « couvercle » Rétrécissement

Verlaine est paru indépendamment dans une revue en 1872 sous le titre :  Romance sans paroles. «De la musique avant toute chose » que conseillait Verlaine prend tout son sens dans ce recueil publié en 1874 : Romances sans paroles quand Verlaine est en prison pour avoir tiré sur Rimbaud. Cette première section souligne l’importance musicale puisqu’elle s’intitule « Ariettes oubliées » section composée (1871-1872) pendant une période d’accalmie. Le poème que nous allons étudier est le premier poème du

circonstance(accompagne) sur la prison. 1-L’empreinte vécue de l’isolement carcéral. Tout le cycle de « A la santé » composé de 6 parties, exprime son expérience en prison, expliquée dans le paratexte. Mais Apollinaire ne nous expose pas les circonstances de cet épisode de sa vie : Ce n’est pas une autobiographie. La mention de son prénom (vers 4) est un indice du caractère biographique. L’identité entre le pronom « je » et l’auteur ne fait aucun doute. « Je » est la marque du lyrisme. Le champ lexical de l’univers

DM de FrançaisAlexandre MasseJulien vient d’être engagé par M. de Rénal comme précepteur de ses enfants, il se tient devant la porte de la résidence des Rénal. Il va être accueilli par madame de rénal qui s’est faite a l’idée a un précepteur désagréable. Elle va se rendre compte que Julien n’est pas a l’image du précepteur qu’elle attendait. Dans cet extrait, Stendhal construit une scène de rencontre amoureuse à travers les points de vue alterner de Julien et madame de Rénal. Nous pouvons voir que

qui l’empêchait d’émettre le moindre son. Stentor se défendit comme un beau diable, mais que faire contre le nombre ? Il ne pouvait même pas crier. Le bandeau, l’étouffant à moitié, retenait sa voix au fond de sa gorge. On le mena vers une porte de prison où on le jeta dans un cachot sous terre. La porte du cachot s’ouvrit sans le moindre grincement sur ses gonds bien huilés. Un vieil homme barbu parut sur le seuil. Il considéra longuement le prisonnier. D’une voix à peine audible*, il murmura*: -

Situation finale De « Bien entendu » (ligne326) jusqu’à la fin - Jules Montblanc est condamné à vingt-cinq ans de prison ferme pour le meurtre de Harry Young, alias Henri le jeune. - Joël Cambus rend visite à Jules Montblanc en prison. Il explique à ce dernier que c’est lui-même qui est responsable de tout ce qui est arrivé. III) Champs lexicaux de la nouvelle A/ Champs lexical de la modestie Jamais je n’ai rêvé d’être célèbre, un homme discret, laisser choir ma vie dans les moiteurs de la

tel que les mots : « douloureusement » « obstacles » «  appareil sauvage » « atrocité » , le champ lexical du crime et de la haine : «  tant de haines encore » « le vol » « les cupidités criminelles » « le crime devenait vide de sens , stupide... » « gendarmeries,les tribunaux, les prisons », Ce vocabulaire est utilisé pour dénoncer cette ancienne société ou tout n'était que vols et meurtres. Le champ lexical de l'argent est lui aussi utilisé afin de montrer que l'ancienne société n'étaient en rien

idée étant également soulignée par le parallélisme du vers 6 « dans la même prison le même mouvement ». Les enfants sont donc privés de liberté, soumis à un rythme de travail effréné, répétitif et monotone. Aucune possibilité pour eux de s'évader. Aussi, l'usine est-elle sous la plume de Victor Hugo comparée à un univers carcéral : c'est ce que suggèrent les champs lexicaux de l'enfermement et de l'obscurité : « prison », « bagne », »enfer » (il s'agit ici d'une gradation), mais aussi « serre