Champ Lexical De Marbre

à côté du vieux comte, souriant, dans son cercueil, de ne pas voir son nom périr. Elle était déjà si pâle que la mort ne l'a pas beaucoup changée. Sur son tombeau il y a une belle statue couchée, les mains jointes, et les pieds sur une levrette de marbre, fidèle compagnie des trépassés. Ce qu'a dit Edwige à sa dernière heure, nul ne le sait, mais le prêtre qui la confessait est devenu plus pâle encore que la mourante. Oluf, le fils brun et blond d'Edwige la désolée, a vingt ans aujourd'hui. Il est

mince, agile et noble ». On ne sait de qui on parle : il y a un effet de ralenti procuré par le rythme des vers 2, 3 et 4. La ville engendre l'ivresse et ouvre les portes du rêve. C'est sur un fond de réalité que s'ouvre l'imagination du poète et le champ de tous les possibles. C) Le poète Le contraste entre le mouvement de la rue et le moi qui semble seul, comme englouti et isolé, est marquant. Le caractère unique du moi le rend susceptible de vivre une expérience qui l'est tout aussi. Il se

qui nous écrase, nous oppresse,le souffle ralenti, un sentiment désagréable d'étouffement comme si l'on suffoquait. Le champ lexical de la tombe est présent durant tous le texte :'' monument construit en marbre noir,(V2) caveau (V4), fosse creuse (V4), pierre (V5) ,tombeau (V9),ver (V14)''. L'auteur s'amuse aussi à joué avec la couleur noir qui rend se texte encore plus dur '' marbre noir (V2), grandes nuits (V11), morts (V13) '' Pour finir le troisième poème m'ayant choqué est le poème LXXII « Le

vers de la première strophe ainsi que sur le premier vers de la deuxième strophe donne un effet de refrain et d’insistance→ c’est le vent qui est la cause de cette destruction et de cette désolation. « le marbre au souffle du matin tournois, épars » ici le vent balais les morceaux de marbre→ sous-entendu les morceaux de la statue. Le vent (métaphore) balaie et efface  « le piédestal, où le nom de l’artiste se lit péniblement » ici le vent efface peu à peu le nom de l’artiste du socle de la statue

connotés négativement, de l’ordre de l’humain puisqu’on reconnaît le champ lexical du flou (« cerne d’erreur et de doute »). - « si minimes qu’ils puissent être (...) pour accomplir peu à peu leur œuvre » : concessive met en relief l’impact de ces événements. Le moindre événement humain disloque le temps, introduit un écart par rapport à une norme : verbe « entamer » signifie bien ici attaquer, ronger, ébranler + champ lexical de l’écart, on bascule dans un univers plus confus (« une inversion

lecteur dans un véritable tableau, plein de couleurs vives et de paysages délicats. Ensuite, les hyperboles « plus adorablement bleu qu'une turquoise » et « dont le grain est plus durable et plus fin que celui des marbres » produisent une impression agréable sur le lecteur. Puis, le champ lexical oriental est également présent : « Asie, dôme, mosquée, tiare, minaret ». Il traduit l'exotisme et le raffinement du voyage proposé. 2) Ensuite, l'auteur invite le lecteur à son excursion. En effet, l'anaphore

l’intérêt historique du texte – sa signification. Analysez ce qui dit l’auteur(s), en le confrontant avec ce que vous connaissez déjà. Soulignez les contradictions, les silences, les mensonges, le but du déclaré ou caché du 6. Les procédés lexicaux (champ lexical, registres de langue, etc.) 7. Les procédés musicaux (rythmes, sonorités...) 8. Les figures de style 9. La tonalité du texte document. Afin de bien commenter et analyser le texte, il faut connaître le contexte historique, les personnages

et le plus grand sculpteur de notre temps » (Schmitt, 2002, p.24). Ayant passé par pratiquement tous les domaines connus de l’art, voir même les moyens possibles pour créer de l’art : « Dessin, gouache, aquarelle (…) j’ai tout utilisé pour peindre. Marbre, plâtre, argile (…) j’ai tout utilisé pour sculpter (…) Mais le vivant ? Personne, mes amis, n’a jamais encore travaillé le vivant » (Schmitt, 2002, p.75-76), ce dernier se résulte à inventer l’art sur un corps vivant. Zeus-Peter Lama semble vouloir

les références au décor et à la nature sont toujours présentes, mais à partir du second quatrain elles sont liées au corps du dormeur. Dans le premier quatrain, le champ lexical de la nature est omniprésent, avec ses éléments et ses reliefs : « rivière », « herbes », « soleil », « montagnes », « petit val ». S’ajoute le champ lexical de la lumière : « soleil », « rayons », « d’argent », « luit » (ces deux dernier termes étant mis en valeur par leur place en rejet en têtes du vers après enjambement)

silence et montre une certaine douleur.. Expression d'une souffrance, terme qui allonge le son "s" ( soupir + point d'exclamation qui exprime l'émotion. « Quand reverrai-je » v.5 ( double interrogation. Il évoque son village avec humilité. Champ lexical ( petit, pauvre, clos = idée de petitesse et protection. Même si c’est tout petit, c’est en provence. Petit Village mais tellement important sur le point affectif. III- Etude des tercets Répétition de la formule « plus que ». ( Rimes