Champ Lexical Du Mot Pitié

• Néron, comme un enfant, de manière puérile, feint l’innocence à travers l’interrogative « Et qui Madame ? ». Il développe alors une argumentation lâche. • Dans un registre tragique, elle vient d’apprendre la « mort » de Britannicus et le mot « assassin » montre qu’elle porte une accusation sur Néron. Nous sommes au moment clé de la pièce. Britannicus est mort. Le « vous » montre l’accusation portée sur Néron qui feint l’indignation à travers l’interrogative « Et qui, Madame ? »

(ABBA) → son du milieu mis en avant. .assonance : répétition d'un même son .allitération : répétition d'une même lettre .enjambement : commence dans 1 vers et se termine dans 1 autre sans virgule. .rejet : met en valeur 1 mot rejeté au vers suivant/contre rejet (commence par 1 mot en haut et se termine au vers d'après/ .hémistiche : signe de ponctuation au milieu du vers, qui le sépare en deux → Rythme binaire. Dissertation : 1) Analyser : -relier le sujet à l'objet d'étude -relever les mots clés

façon suspecte les paroles de Phèdre et lui donne un aspect ambigu. (Idée 3) Enfin, l'ambiguïté de la situation est confortée par l'attitude de Phèdre. (Citation/Justification par la forme) L'auteur traduit cela en utilisant le vocabulaire du champ lexical de la tristesse, de la souffrance: « douleurs, larmes, alarmes, mort, ennemis, crains » ce qui donne une tonalité maussade au texte et fait ressentir au lecteur un sentiment de peine. De plus, les synecdoques employées telle que : «Je crains d'avoir

vocabulaire qui manifeste l’agressivité, l’insulte : « habituel », «cruel ». De plus, la répétition du mot « bouche » exprime le sarcasme et la colère. Enfin, il y a une hyperbole « mille serments » prolongé par un enjambement ce qui montre encore la colère du personnage. A partir du vers 13, le registre devient plaintif. : le mot « cruel » est appliqué a un adieu pour jamais. Il y a un appel à la pitié. Il y a ensuite une reprise de la colère au vers 21. On remarque le changement de personne (3ème) qui

TEXTE 4 Andromaque, Acte III, scène 8 (extrait) Lecture Linéaire Introduction : … Devant l’ultimatum de Pyrrhus qui lui impose le dilemme de l’épouser – sauvant ainsi son fils –, ou de refuser – causant ainsi la perte de son enfant –, Andromaque ne parvient pas à se résoudre à trahir la mémoire d’Hector et des Troyens. Céphise, voix de la raison d’Andromaque, tente dans cette scène de la raisonner afin de laisser vivre Astyanax. Andromaque, dans cette tirade, explique

une comparaisons qui montre la violence. La présence du champ lexical de la violence de la guerre insiste sur ce fait «  massacré, cris, tué, fureur, exécution, frappé, abattu… » Le texte insiste sur la violence et le massacre notamment avec les gradations L7 et 17. Le parallélisme L7 «  Les garçons égorgés, les jeunes filles brulés » nous montre qu’il n’y a pas de pitié. De plus on a une impression de violence exprimé par l’hyperbole L8

vapeur, le mot technique « bielles » → champ lexical du train. Une intention de décrire de façon réaliste l’accident grâce au vocabulaire technique du train. E l’occurrence ici, réalisme = naturalisme. b) La souffrance de Lantier → Zola « zoome » sur Lantier. Ce dernier est blessé. -Point de vue interne → on voit la Lison à travers les yeux de Lantier -monologue intérieur → on voit qu’il est en détresse -Tragédie : Terreur → La Lison est détruite et meurt violemment Pitié → Lantier

exploits extraordinaire d’un héros-suscité l’admiration en amplifiant-exalter la valeur de grandes actions de l’héroïsme. | La caractéristique principale : tous ce qui tant à amplifié les individus et les choses.Lexique laudatif (qui fait l’éloge) :Champ lexical du courage, de la force, de la beauté, de l’intelligence …Nombreuses figures de style : hyperboles, personnifications, énumération, superlatif.Autres indices : souvent intervention du surnaturel, les personnages sont souvent stéréotypé et sans

déclaration passionnée à Hippolyte elle lui dit donc son secret le faite qu'elle sois amoureuse de lui. On peut dire que cette extrait est une déclaration car, on peut observer la présence d'un champs lexical assez restreins mais assez claire pour comprendre que ceci est une confession par exemple, la présence du mot aveu répéter deux fois dans deux vers à la suite «Que dis-je? Cet aveu que je te viens de faire,» «Cet aveu si honteux, le crois tu volontaire?». L'expression « Ah! Cruel, tu m'as trop

chacun méditant de faire mourir l'autre. Ici, en comprenant les intentions l'un de l'autre, les deux époux «se firent pitié et horreur». Cette pitié réciproque se traduit par une «crise suprême» qui n'est pas l'occasion d'un repentir ni d'une rédemption qui les rendraient sympathiques au lecteur. Ils la subissent, comme le montre la construction de la phrase : c'est le mot «crise» qui est le sujet, tandis que les héros sont représentés par les pronoms compléments d'objet «les». L'emploi des pronoms