Champ Lexical Du Mot Pitié

Commentaire composé : De l’Esclavage des NègresAu XVIIIe siècle naît le mouvement des Lumières. Ce mouvement est tant littéraire que scientifique et sociétal. Les philosophes des Lumières expriment une pensée égalitaire et libertaire afin de réformer la société. L’esclavage prend une place importante dans les débats de l’époque, mais il faudra néanmoins attendre jusqu’en 1848 pour le voir abolir par Victor Schœlcher. De l’Esprit des Lois est un traité publié par Montesquieu en 1748.

injustice généralisée envers les femmes. Théâtre ( tribunal et Marceline ( la juge des hommes Point de vue féministe (Beaumarchais) Plaidoyer pour les femmes & réquisitoire pour les hommes I / Un plaidoyer envers les femmes - exciter la pitié : B rend Marceline pitoyable - vocabulaire de la souffrance : « dur », « expier », « vie modeste », « misère », « infortunées », « victimes », « malheureuses filles » - métaphore guerrière : « poignarde », « ennemis rassemblés », « assiègent »

puissance ( c’est le souffle épique) on utilise –l’hyperbole – la gradation – les superlatifs – les comparaison et métaphores -Le manichéisme (opposition simpliste du bien et du mal) -Les antithèses (oppositions) recours à des simplifications -Les champs lexicaux (du surnaturel, du religieux , de la guerre ,de la violence , de la brutalité) REGISTRE FANTASTIQUE Définition : Le fantastique se définit par l’intrusion d’un élément irrationnel dans un conteste réaliste connu Contrairement au merveilleux

la troisième personne. Dont le texte appartient au genre narratif. Dans une première partie nous analyserons l’intention et la tonalité du texte, ainsi que la structure du texte. Plus tard, nous analyserons la situation d’énonciation et les champs lexicaux. Pour finalement se consacrer aux figures de style. Le texte présente deux type de tonalités différentes ; la tonalité pathétique et la tonalité tragique. La tonalité pathétique est déterminée avec les phrases exclamatives ligne 29 « Non, tu

d'abord, il faut savoir que le confiteor est le titre d'une prière liturgique latine commençant par ce mot latin signifiant « Je reconnais, j'avoue ». La version française est connue sous le titre Je confesse à Dieu. Dans ce poème, le poète est confronté à un dilemme : il doit soit renoncer au beau ou soit entrer dans des souffrances éternelles, le poète est donc intérieurement torturé. Le champ lexical de la douleur "malaise" (l.18) "souffrance" (l.19) renvoie d'ailleurs à la culpabilité. Le poète

stylistique. Le narrateur dispose, tout au long du texte des « indices » de plus en plus éloquents, mais ce n’est qu’à la fin du texte, dans le dernier paragraphe, qu’il écrit le mot « peste ». Le lecteur est alors amené à relire et à réinterpréter le texte à la lumière de l’explication finale. Le champ lexical du théâtre est présent tout au long du texte et forme un réseau (on parle d’isotopie). Les termes se rapportent à l’œuvre, aux acteurs et au jeu (« stylisation », « grand duo », «

souvent représenté comme un reptile au venin et au regard mortel · Expliquer leur point commun : tous sont venimeux et dangereux. Ceci est exprimé dans le poème par le recours à de nombreux termes appartenant au champ lexical de la blessure : étouffe v2 / blesse  à mort v 6 / tué v 8 / violemment, me blesse v 13 /  « fond, frit et brule » àgradation / douleurs · Pourquoi le poète convoque-t-il ces animaux ?Il

• Description très imagée v28 : « plus becquetés que dès à coudre » : réel. • Forme en alternance : debués, lavés (même sens, renforcement) mais encore (noircis et desséchés, effet de redondance) • Le mot « transi » apparait au point d’équilibre des trois premières strophes (au 15ieme vers) : mot important d’autant plus que l’image du transi dans la 3ieme strophe est très claire (recherche à faire : des représentations de transi) II/ Une prière A) L’énonciation • Le refus du « je », énonciation

roman ; l’indicateur temporel « enfin » (l.1), l’expression « le sort de » (l.1), qui nous indique que le destin de la marquise s’achève dans ces lignes, le participe passé « rempli » (toujours l.1), impliquant lui aussi la notion d’achèvement et le mot « adieu » (ligne 47), qui prend ici une résonnance nouvelle puisqu’il désigne l’adieu de madame de Volanges à madame de Rosemonde, mais il peut aussi être lu comme l’adieu de l’auteur Laclos à ses lecteurs. Enfin l’expression « une seule liaison dangereuse »

participe passé>> Le lecteur découvre les paroles des personnages en même temps qu’eux et ignore si la princesse va céder aux insistances du prince >> effet d’attente.Présentation des dangers et contraintes subies par la princesse :> Champ lexical de la contrainte « contraignez » l.1 ; « je n’ai pas la force » l.1 ; « prudence » l.2 ; « exposée » l.3 : polysémie : être vue et être en danger, cela représente ce que la princesse éprouve au sein de la cour. > La princesse souffre de sa jeunesse