Champ Lexical Du Mot Pitié

Tout d’abord, la première chose que nous remarquons est le fait que Du Bellay décrit le paysage dévasté de Rome. Pour cela, il utilise le champ lexical de la destruction avec les expressions : « ces vieux palais », « quelle ruine », et « détruit » vers 3, 5 et 13 respectivement. Ces mots sont utilisés pour nous montrer comment le poète voit Rome, comme un champ de décombres. Ensuite, le poète utilise une anaphore dans les vers 4 et 5 avec l’utilisation de « Ces vieux ». Cela souligne la vieillesse

existentielle 2- l. 10 à fin de la tirade : explique en quoi le meurtre constitue aussi une revanche sur le monde *problématiques possibles : En quoi cet extrait érige-t-il Lorenzo en héros tragique ? En quoi Lorenzo suscite-t-il ici tout autant pitié que terreur ? Comment Lorenzo justifie-t-il le meurtre à venir ? 1er mouvement Phrases 1 à 3 : ton extrêmement véhément : . nbreuses questions . répétition de l'interpellation très directe « veux-tu donc », relayée ensuite par « songes-tu » puis

 Victor Hugo 1) Un récit - Cadre spatio-temporel (nuit sur un champ de mort) - Passé simple et imparfait - Schéma narratif (situation initiale: marche à cheval du père et du housard/élément perturbateur: l'Espagnol qui arrive demandant à boire/Péripéties: père ému, passe au housard sa gourde de rhum, housard qui s'apprête à lui passer, espagnol qui tire sur le père/Elément de résolution: cheval qui fait un écart et le père reste en vie/Situation finale: "Donne-lui tout de même à boire") 2) Une description

terre. C’est donc bien un extrait fictif car il s’agit d’un conte dans lequel est crée un univers non réel. Le spectacle A Lisbonne, l’autodafé (=acte de foi) est regardé comme un magnifique spectacle par la population. C'est pourquoi le champs lexical du spectable est dominant dans le récit avec : « spectacle » (l5), « une grande cérémonie » (l5-6), « on orna » (l14), « ils marchèrent  en procession » (l18), « une belle musique » (l19) et « on chantait » (l29). Le décor est carnavalesque,

veux qu'on se lie à demeurer au premier objet qui nous prend, qu'on renonce au monde pour lui, et qu'on n’ait plus d'yeux pour personne ?'' =>Fidélité est considérée comme une privation arg 3 -Champ lexical de la mort ''on renonce au monde, s'ensevelir, être mort dès sa jeunesse, s'endormir''+ le mot ''mort'' =>Renforcement de ce sentiment de privation. DJ associe la constance à la perte de vitalité. Antithèse mort et jeunesse met en relief le caractère insupportable et contre nature de la fidélité

benvolentiae qui utilisera la répétition comme "figurez-vous, masure" comme moyen de capter l'attention du public, tout en attirant la sympathie du lecteur sur son thème en ayant recours au registre pathétique. On peut donc noter la présence du champ lexical de la souffrance, de la douleur avec "méphitique, créature humaine, cinq ou six dans un lit, population maladive ... ". On observera aussi que l’argumentation du discours se fera par la présence de plusieurs types de discours argumentatif comme

œuvres et leurs utilités. Premièrement, nous pouvons constater que dans chacun des quatre textes, la guerre, principal sujet, est d’une extrême violence et paraît difficile. Cela est prouvé de pars un champ lexical de la douleur présent dans les quatre textes. On remarque plusieurs champs lexicaux dans le premier texte, celui de la violence : « sang », « courroux », « coups »... et celui de la guerre : « combat », « conflit »... De plus le superlatif du vers trois « le plus fort.. » donne une idée

la suite. « Ayant éprouvé les douleurs et les joies de l’amour » (V.3) il fait part de ses expériences, en montrant la diversité de l’amour, d’un côté la douleur et de l’autre la joie, c’est une antiphrase. Le participe présent du verbe avoir, le mot « ayant » est répété à chaque début de vers, c’est une anaphore (V.3, V.4, V.6, V.7 et V.9). Le poète s’en sert pour prouver le fais qu’il a vécus un bon nombre d’expériences dans sa vie. « Blessé à la tête et trépané sous le chloroforme »(V.8) On apprend

l'emphase sur le respect et la supériorité de Tartuffe alors que l’on sait très bien que Damis pense totalement le contraire de celui-ci. Il y aurait là, peut-être, une autre antiphrase. 21.Identifiez et expliquez la figure de style contenue dans le mot «coeur» apparaissant aux vers 77 et 125. Métonymie, car nous parlons de concret pour aller vers l’abstrait de la chose. 24.Qu’ont de comique et de paradoxal, dans la bouche de madame Pernelle, les vers 142 et 143, de même que les vers 161 et 162

Les techniques privilégiées de la description 3. Les fonctions de la description LE RYTHME DU RECIT 1. La scène 2. Le sommaire 3. L’ellipse 4. Le retour en arrière 5. La pause LE CHAMP LEXICAL 1. Les caractéristiques d’un champ lexical 2. Les principaux champs lexicaux 3. Les rapprochements lexicaux  L’opposition  La complémentarité QUELQUES FIGURES DE STYLE 1/3 1. Les figures d’insistance  La répétition  L’anaphore  L’hyperbole  L’accumulation  La gradation 2. Les figures