Citation Des Lettres Persans

à défendre des idées qui permettront d'améliorer le fonctionnement des sociétés. C'est dans ce contexte de changement que Montesquieu écrit Les lettres persanes. Il s'agit d'un roman épistolaire qui retranscrit les échanges d'Usbek et Rica avec leurs correspondants perses, notamment par comparaison des sociétés découvertes avec la Perse. Par ces lettres, les protagonistes transmettent leurs découvertes (culturelles, idéologiques, politiques...) sur les sociétés qu'ils fréquentent. Toutefois, cet

Charles de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu, fut élevé d'abord au château de La Brède, où il était né le 18janvier 1689. Il suivit ensuite des études de droit, à Bordeaux puis à Paris. Dans la capitale, il fréquenta les milieux savants et lettrés, mais, très attaché à sa terre et à sa région, il revint à Bordeaux, où il prit la charge de conseiller au parlement (1714). À la mort de son père, il entra en possession du domaine de La Brède et des vignobles qui en faisaient partie, et, en 1716

commenterez et au besoin discuterez cette citation de Jean Starobinski : « L’étonnement de Rica et d’Usbek oblige les Français à s’étonner à leur tour. Ces usages, ces coutumes, ces croyances, paraissent insensées aux visiteurs orientaux : mais quels ont pour nous leur sens et leur raison ? Leur fondement est-il solide ? La relativité du sens et du non-sens éclate à nos yeux ». Au XVIIIe siècle, alors que se lève l’aube des Lumières avec Montesquieu et ses Lettres persanes, la pensée s’arrache aux préjugés

deux romans, les Lettres Persanes de Montesquieu et Jacques le Fataliste de Diderot, illustrent-ils ce propos ? Vous répondrez à cette question par une argumentation organisée et illustrée d'exemples précis. » Bernard Le Bouyer de Fontenelle, écrivain et philosophe né en 1657, définit, dans la Réflexion sur l'Églogue, en ces termes, la critique : ''[C'] est un examen et non pas une satire, qui a de la liberté mais sans le fiel et sans aigreur[...]'' Pour comprendre cette citation, il faut se rappeler

Parlement de Bordeaux. Cette expérience va engendrer Lettres Persanes, roman épistolaire (récit constitué d’une succession de lettres), sa première grande œuvre, publiée en 1721. Ce roman raconte l’histoire de 2 seigneurs Persans (Usbek et Rica) qui entreprennent un voyage en France. En arrivant, ils s’intéressent aux grands sujets de l’époque (politique, économie, mœurs, religion…) et remettent en cause les fondements de la société en échangeant des lettres (au nombre de 161) avec des correspondants. A

ORAL FRANCAIS Lettres Persanes lettre 24 INTRODUCTION : Montesquieu : est un penseur politique, précurseur de la sociologie, philosophe et écrivain français des Lumières. Œuvres de Montesquieu : Pensées Mouvement littéraires : XVIII, siècles des lumières, textes philo, (Voltaire, Rousseau, Diderot), réflexion philo se fondant sur la raison et les méthodes scientifiques comme aussi la connaissance culturelle qui viennent éclairer le monde en chassant l’obscurantisme, inégalité sociale, l’esclavage

de l’époque n’avouent pas leur activité et utilisent des pseudonymes ou publient anonymement leur œuvre à l’étranger comme Montesquieu qui publia sous un autre nom son roman « Les lettres persanes » à Amsterdam. « Dans un roman frivole aisément tout s’excuse, c’est assez qu’en courant la fiction s’amuse », citation tiré du poème didactique de Nicolas Boileau, Art Poétique, publié en 1674, met en avant cette situation. Selon le poète, toute œuvre de fiction ne serait que pur divertissement, serai

famille de parlementaires bordelais et est élevé jusqu'à l'âge de onze ans au château de La Brède. En 1708, il suit ses études de droit à Bordeaux, obtient sa licence de droit et devient avocat. Il se rend à Paris et fréquente les milieux savants et lettrés. Apres la mort de son père en 1713, il hérite du château de la Brède et de ses riches vignobles. Toute sa vie, Montesquieu restera fidèle à ses racines de propriétaire terrien et à ses devoirs de magistrat. En 1714 il devient conseiller au parlement

Soleil de Cyrano de Bergerac (A), Lettres persanes de Montesquieu (B) et En sentinelle de Fredric Brown (C) ont été réunit dans ce corpus car ils contiennent un thème commun : la méfiance et la peur de l’inconnu. Les protagonistes n’essayent pas de se forger une opinion sur l’être différent en essayant de le connaître « de l’intérieur », mais restent plus particulièrement sur son aspect extérieur. Ce sont tous des textes philosophiques qui amènent à réfléchir à la citation « l’habit ne fait pas le moine

de la lune de Rebiab Montesquieu, Lettres persanes, Lettre XXIV, 1721 Séquences 37 I. Un mouvement littéraire et culturel I. Un mouvement littéraire et culturel Préparation 1. Quels indices d’énonciation nous révèlent que cette lettre est écrite par un étranger ? 2. Comment la naïveté de Rica se fait-elle ressentir ? 3. Comment la ville de Paris nous apparaît-elle ? 4. Quelles informations concernant la société française sont données dans cette lettre ? Peut-on parler de satire ? Présentation