Comité européen pour la prévention de la torture et des peines ou traitements inhumains ou dégradants

ch. I de la LF du 13 déc. 2002, en vigueur depuis le 1er janv. 2007 (RO 2006 3459; FF 1999 1787). 1 311.0 3 Code pénal suisse Sous réserve d’une violation grave des principes fondamentaux du droit constitutionnel et de la Convention européenne des droits de l’homme du 4 novembre 1950 (CEDH)5, l’auteur poursuivi à l’étranger à la requête de l’autorité suisse ne peut plus être poursuivi en Suisse pour le même acte: a. b. s’il a été acquitté à l’étranger par un jugement définitif; s’il a

l’arbitraire qui sévissait, dans l’incrimination et la sanction, sous l’Ancien Régime, les philosophes du 18ème siècle (Rousseau, Voltaire, Montesquieu, …) et les juristes (ex : Cesare Beccaria) ont mis en avant les idées de la légalité des délits et des peines, d’égalité, de proportionnalité et même d’humanité dans la répression. En 1971, le 1er Code pénal voit le jour et consacre les idées des philosophes et des juristes, mais ce Code n’a eu qu’une existence éphémère. En 1810, un 2ème Code pénal est promulgué

for Alberto R. Gonzales, Counsel to the President, du 1er août 2002 (p. 12) 1. Art. 2 Convention contre la torture Convention du 10 décembre 1984 contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants art. 2 1.  Tout Etat partie prend des mesures législatives, administratives, judiciaires et autres mesures efficaces pour empêcher que des actes de torture soient commis dans tout territoire sous sa juridiction. 2.  Aucune circonstance exceptionnelle, quelle qu’elle

concept de personne était totalement humanisé et dans l'autre partie il y avait toujours ce régime de l'esclavage. La « mort civil » est une technique juridique qui a percé jusqu'en 1854. Cette sanction pénal frappait ceux qui étaient condamnés aux peines perpétuelles : bagne, prison a vie. Pour eux, en plus de la prison à vie, il y avait la mort civil → condamne à ne plus avoir de droit (plus d'autorité parental, plus autoriser à avoir un patrimoine, ne peut plus agir en justice ect...). Il reste

Cour de justice de la République et l’affaire du sang contaminé PIERRE ALBERTINI La responsabilité des élus locaux : nécessité et aberrations 5 17 31 61 77 91 103 117 VLAD CONSTANTINESCO La responsabilité de la Commission européenne : la crise de 1999 S O M M A I R E JEAN-JACQUES HEINTZ ET HAFIDA LAHIOUEL Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie : des problèmes… une réussite ROBERT BADINTER De Nuremberg à la Cour pénale internationale VÉRONIQUE PUJAS Carences

sera divisée en trois sections : la notion de sanction pénale, la place du droit pénal au sein des différentes disciplines juridiques et la réforme du code pénal de 1810. Section I : La notion de sanction pénale ! Le droit pénal est le droit des peines applicables aux délinquants. Il englobe l’incrimination et la sanction. L’incrimination est le fait de prévoir les éléments constitutifs d’une infraction. La sanction consiste à envisager la peine applicable. Lorsque l’on aborde la sanction pénale

partir du postulat sur l'existence d'une détermination de cette violence trouvant son origine ou du moins sa forme dans le groupe lui-même c o m m e unité, et les recherches sur les causes de la violence d u groupe procèdent d'une demande policière (prévention, surveillance, punition) et plus généralement institutionnelle. S'il y a vio- Alain Joxe 14 lence des institutions — et notamment des institutions répressives — sur l'ensemble de la formation sociale, il faut bien que le contrôle social de cette

leurs sujets.               A - Des origines localisées             On peut considérer que les notions de droits de l’homme et de libertés publiques telles qu'elles sont invoquées aujourd'hui sont essentiellement issues de l'espace socioculturel européen et méditerranéen.             A la conception du citoyen participant à la vie de la Cité antique, le christianisme apportera deux compléments essentiels: l’importance de la personne humaine, qui présente un caractère sacré, puisqu’elle a été créée

publiques et droits de l'Homme de Gilles Lebreton, Armand Collin, 2008 Droits de l'Homme et libertés fondamentales, Henri Oberdaurf, LGDG, 2009 Libertés publiques de Patrick Wachsmann, 2009 Libertés publiques, Jean Rivero, PUF. Traité de droit européen des droits de l'Homme de Renucci, LGDJ, 2009 Droits fondamentaux et libertés publiques de Arlette Hemann Doat et Gwenaëlle Calves, LGDJ Droits et libertés fondamentaux de Xavier Dupré de Poulois, collection licence INTRODUCTION Les libertés

de la communauté internationale ont de ce fait l’obligation, à la fois juridique et morale, d’aider les États Membres à assurer progressivement le plein exercice du droit à la santé. L’adoption, en février 2007, du premier document d’orientation du Comité d’aide au développement de l’OCDE, consacré aux droits de l’homme et au développement, a confirmé récemment cette volonté délibérée d’accorder une place plus importante aux droits de l’homme dans la coopération pour le développement. Le document en