Commentaire Decision Ivg

totalement disparut , en vertu du principe de non rétroactivité des lois pénales se nouveaux critère ne peut pas être appliqué a des fait antérieur a mars 1994 , la jurisprudence est claire arret crim 17 juin 2003,( revue droit pénal 2003 commentaire 96) elle a jugé que les article 211 et suivant était inapplicable a des faits antérieurs . Ces faits peuvent relever des dispositions de la chartre du tribunal de Nuremberg , cette position arrêté par chambre criminelle 1 juin 1995 , publié

X. est français, résidant à Toulouse. Il a épousé Mme Y, citoyenne espagnole, installée de son côté à Barcelone. Le couple veut divorcer. 1) Quel juge est compétent pour connaitre du divorce ? 2) Quelle loi sera appliquée au divorce ? 3) La décision de divorce sera-t-elle applicable hors du territoire dans lequel elle aura été prononcée ?  Les questions 1 et 3 concernent le conflit de juridictions et la deuxième question concerne le conflit de lois, qui sont les deux volets fondamentaux

avec le code civil, mais la religion refuse le divorce. -La sanction: règle juridique sanctionnée par l'État et veille à ce que tout le monde puisse ester (=agir) en justice grâce à l'aide juridictionnelle. L'État veille à la bonne exécution des décisions de justice => concours des forces de l'ordre. b. La structure de la règle de droit Il y a deux éléments de la règle de droit: •La présupposition: condition d'application de la règle de droit. •La prescription: effets de l'application

Livre III - Des crimes et délits contre les biens Titre Ier - Des appropriations frauduleuses Chapitre IV - Des détournements Section 3 - De l'organisation frauduleuse de l'insolvabilité 10 Article 314-7 Le fait, par un débiteur, même avant la décision judiciaire constatant sa dette, d'organiser ou d'aggraver son insolvabilité soit en augmentant le passif ou en diminuant l'actif de son patrimoine, soit en diminuant ou en dissimulant tout ou partie de ses revenus, soit en dissimulant certains de

l'existence même du DIP M. X français résident à Toulouse a épousé Mlle Y espagnole aujourd'hui installé à Barcelone. Le couple souhaite divorcer. Compétence du juge ? Quel loi applicable au divorce et à la liquidation du régime matrimonial ? La décision de divorce pourra elle produire des effets hors du territoire ou elle a été prononcée ? La première et la troisième question constitue le volet de conflit de juridictions. La deuxième question entre dans le domaine du conflit de lois. L'essence même

L’administration peut donc décider unilatéralement, elle va pouvoir imposer des décisions aux administrés, aux citoyens. Elle peut éventuellement délivrer des autorisations. Ce pouvoir de décision unilatérale permet à l’administration de prendre des décisions administratives, la décisions administratives va produire des effets juridiques. Cela veut dire que la décisions administratives va modifier l’ordonnancement juridique. Ce pouvoir de décisions est en réalité ce qui fait l’originalité de l’action de l’administration

priori) que le Parl exerce effectivement cette compétence. Il invalide des projets qui ne vont pas jusqu’au bout de leur rôle car Parl n’épuise pas sa compétence => d’incompétence négative (qd on est en dessous de ce que l’on doit faire). Ex : Décision sur projet de loi de finance de 2011 : C.Constit constate qu’une nvelle imposition devrait être créé. Le législateur avait omis de déf complètement le fait générateur de cette imposition cad ce qui déclenche l’impôt. Le C.Constit saisi d’une QPC

Pénal aussi. Comme ces règles s’opposent aux décisions. C’est l’opposé de la règle. La décision est particulière, vise un ou plusieurs individus clairement identifiés. Ex : une prime à certains salariés, une décoration remise à quelqu’un… Une décision peut être judiciaire, elle est donnée dans un cadre juridique. Le tribunal va utiliser des règles de droit pour rendre sa décision. Elles ne concernent que les personnes visées par cette décision. 2) C’est une règle de conduite sociale Elle

§3 Le caractère abstrait La règle de droit vise des situations générales, elle ne vise pas la situation précise dans laquelle se trouve une personne. C'est ce caractère abstrait qui va permettre de distinguer la règle de droit des décisions de justice. Les décisions de justice sont des mesures individuelles. L'art 5 du c.civ interdit aux juges de prononcer par voix de dispositions générales et règlementaire sur les causes qui lui sont soumises. Ce sont les arrêts de règlement qui étaient rendus

était très positif, est déjà en campagne pour 2015 », note Claire Chick, du Conseil franco-britannique de défense à Londres. Or, pour cette analyste, 2014 doit être une année de décisions pour que survive le partenariat de Lancaster House. « C'est difficile. Les périodes préélectorales sont rarement propices aux décisions. Mais nous continuons à travailler », souligne le chef d'état-major français des armées, Edouard Guillaud. « Prendre le large va être compliqué pour les Britanniques, le Pas-de-Calais