Commentaire Décision Conseil Constitutionnel N 79 111

Ex : Contrôle préalable des activités de radios et de télévision, contrôle préalable des documents administratifs etc. I. Le principe de liberté d’expression A. L’affirmation du principe a) Un principe à valeur constitutionnel Cette liberté à une valeur constitutionnelle. Le texte fondamental qui consacre ce principe est l’article 11 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de

il peut exercer une activité juridique. Le sujet de droit (la personne) s’oppose à l’objet de droit (les choses et les animaux). Il existe 2 textes : une déclaration du 15 octobre 1978 adopté par l’Unesco puis une autre en 1982 dans le cadre du conseil de l’Europe qui ont proclamés les droits des animaux et de ce fait certain on posé la question de l’attribution de droit au animaux. Certes il convient d’assurer la protection des animaux, cependant, il est inconcevable de leur attribué une personnalité

nécessaire pour permettre de vivre. On considère que l’enfant né vivant est réputé viable -> vérification par autopsie. On fait donc une expertise médicale. Il y a plusieurs articles du code civil qui se réfèrent à cette double condition -> Article 79-1 qui envisage le cas de l’enfant sans vie et qui permet de rédiger un acte pour cet enfant sans vie -> rédigé par le service d’état civil mais qui n’est pas tout à fait un acte. -> Article 318 : « Aucune action n’est reçue quant à la filiation de l’enfant

téléphoniques et sonorisation et captation d’images. Quant au titre deuxième, il envisage le régime de la garde à vue, véritable atteinte à la liberté d’aller et venir. Cette recherche intègre les dernières dispositions législatives et l’apport des décisions jurisprudentielles les plus récentes, qu’elles émanent des juridictions nationales ou de la Cour de Strasbourg. Mots-clés : Preuve, police judiciaire, juge d’instruction, dignité, loyauté, coercition, vie privée, garde à vue. 5 SOMMAIRE

REVUE FRANÇAISE D’ÉTUDES CONSTITUTIONNELLES ET POLITIQUES L E N° C O D E 1 0 7 C I V I L S O M M A I R E GÉRARD CORNU L’art d’écrire la loi JEAN-LOUIS HALPÉRIN L’histoire de la fabrication du code. Le code : Napoléon ? PHILIPPE RÉMY La part faite au juge FRANÇOISE DEKEUWER-DÉFOSSEZ Droit des personnes et de la famille : de 1804 au PACS (et au-delà…) ALAIN BÉNABENT Pénalisation, commercialisation et… droit civil JEAN-PAUL DURAND Code civil et droit canonique MICHEL GRIMALDI L’exportation

présente publication incorpore les rectificatifs qui ont entre-temps été adoptés. Cette publication contient également la Charte des droits fondamentaux de l'Union euro­ péenne proclamée à Strasbourg le 12 décembre 2007 par le Parlement européen, le Conseil et la Commission (JO C 303 du 14.12.2007, p. 1). Ce texte reprend, en l'adaptant, la Charte proclamée le 7 décembre 2000, et la remplace depuis le 1er décembre 2009, date d'entrée en vigueur du traité de Lisbonne. En vertu de l'article 6, paragraphe

N° 441 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2008-2009 Annexe au procès-verbal de la séance du 27 mai 2009 RAPPORT D´INFORMATION FAIT au nom de la commission des Lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale (1) par le groupe de travail (2) relatif au respect de la vie privée à l’heure des mémoires numériques, Par M. Yves DÉTRAIGNE et Mme Anne-Marie ESCOFFIER, Sénateurs. (1) Cette commission est composée de : M. Jean-Jacques Hyest,

N° 441 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2008-2009 Annexe au procès-verbal de la séance du 27 mai 2009 RAPPORT D´INFORMATION FAIT au nom de la commission des Lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale (1) par le groupe de travail (2) relatif au respect de la vie privée à l’heure des mémoires numériques, Par M. Yves DÉTRAIGNE et Mme Anne-Marie ESCOFFIER, Sénateurs. (1) Cette commission est composée de : M. Jean-Jacques Hyest

sait que la personne, en son sens étymologique persona, révèle le « masque de théâtre »11 qui tend à se détacher de l’acteur 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. L.Q. 1991, c. 64 [C.c.Q.]. L.R.Q., c. C-12 [Charte québécoise]. Partie I de la Loi constitutionnelle de 1982, constituant l’annexe B de la Loi de 1982 sur le Canada (R.-U.), 1982, c. 11 [Charte canadienne]. En témoigne la disposition préliminaire du C.c.Q. Depuis environ trois décennies, une approche symbiotique au C.c.Q. et à la Charte québécoise

C’est l’ensemble des règles qui, dans un Etat donné, ont pour objet l’organisation de cet Etat et des collectivités publiques d’une part ; et les rapports entre cet Etat d’autre part. Les différentes branches du droit public sont le droit constitutionnel, le droit administratif et quelques autres. Le droit privé régit les rapports des personnes privées entre elles et de l’étude de la personne elle-même. A l’origine le droit privé se résumait au droit civil et plusieurs branches s’en sont détachées