Comportement Organisationnel

» relate les liens entre les organisations et les relations de pouvoir. Une organisation est un système complexe. Elle se compose d’objectifs, de structures, de techniques et de culture. L’auteur réalise une analyse organisationnelle permettant de se rendre compte des comportements des individus. Il décrit que « la capacité d’une organisation à atteindre ses buts dépend de sa capacité à coordonner ». si bien que pour travailler ensemble, il faut coopérer. Le manager a une fonction politique car

satisfait momentanément le moins mal, la solution « la moins insatisfaisante » pour lui. ■ Les concepts de stratégie : ▪ En fonction des atouts dont il dispose, et des contraintes auxquelles il devra faire face, un individu adoptera tel ou tel comportement qu’il s’agira de décoder. ■ Observation 1 : ▪ L’acteur n’a que rarement des objectifs clairs et encore moins des projets cohérents. Ils sont multiples, plus ou moins ambigus, explicites ou contradictoires. (Ex : je suis pour l’aide aux plus

industrielles est empoisonné par la multiplication d'affaires mettant en cause de grandes entreprises occidentales. D'après Etzioni1 (1986), les deux tiers des 500 plus grandes firmes américaines ont été impliquées, à différents degrés, dans une forme de comportement illégal durant la période 1976-1986. La France qui n'est pourtant pas épargnée par cette montée de la corruption et des pratiques illégales est certainement le pays occidental le plus attardé en matière de formalisation de l’éthique. Toutefois

une telle approche de la part de lorganisation il ne faut pas stonner des comportements indsirables et des ractions non coopratives de la part des employs de USMed. On sait maintenant, que pour avoir des employs productifs, motivs et ayant le besoin et la volont de sinvestir pour lorganisation pour laquelle ils travaillent, un environnement positif et bien structur est primordial. La gestion du comportement organisationnel stipule que lon doit adapter son style de gestion aux particularits de la

dont les subalternes vont interpréter ses consignes. Chaque acteur dispose donc, quelque soit l'endroit où il se trouve, d'une zone au sein de laquelle il rend son comportement incertain, imprévisible pour les autres acteurs. Ainsi, accroître son pouvoir, c'est accroître la zone au sein de laquelle on peut avoir un comportement imprévisible, indéterminé. Quelles différences font les auteurs entre les approches rationnelles et sociologiques pour l’analyse de l’organisation? L’approche rationnelle

chapitres, il pose finalement des postulats, des constats qui lui permettent de mieux appréhender les différentes questions auxquelles il est confronté. Il dénombre trois postulats de l’analyse stratégique, analyse qu’il privilégie pour étudier les comportements des acteurs dans les organisations. Le premier postulat posé par l’auteur est le suivant : les hommes n’acceptent jamais d’être traités comme des moyens au service de buts que les organisateurs fixent à l’organisation. Chaque acteur a ses propres

Page 2/25 Introduction La motivation n’est ni un trait de personnalité indépendant du contexte, ni une conséquence quasi-automatique d’un bon management ou d’une organisation adéquate. Il s’agit de la ré- sultante de contraintes économiques, organisationnelles, technologiques et culturelles, et de leurs interactions avec les besoins, les valeurs et les aspirations des individus. La motivation n’est pas un processus stable, elle est sans cesse remise en question. Pour comprendre les processus que

implique responsabilité subordonnées face au supérieur. Délégation doit être conforme unité de commandement (1 seul chef/1 seul programme). Travailleurs = instruments rationnels guidés motifs économique et éthiques. Membres effectuent tâches et comportements prévisibles grâce rémunération équitable. Prime intérêt général car style gestion du chef = efficace, ferme, attentif et mesuré. Auteurs classique reconnaissent dimension humaine/sociale de l’entreprise. Dirigeant ne devraient toutefois pas s’y

Palo Alto Le postulat essentiel est qu’ « il est impossible de ne pas communiquer ». Les auteurs assimilent la communication au comportement ce qui crée donc une relation entre l’individu et les autres. Ainsi, ne pas communiquer c’est dire : « je ne veux rien vous dire ». Www.mawarid.ma Cette définition de la communication amène à s’intéresser à l’utilité du comportement et non à ses causes. • A quoi sert- il ? • A quoi cela répond- il ? • Qu’est ce que cela provoque ? Www.mawarid.ma L’école

combinaison de facteurs, s’expliquent en effet par la qualité de l’organisation mise en œuvre, qui correspond à une sorte de facteur d’efficience « X ». A partir de l'histoire des entreprises, Chandler insiste sur l’importance des innovations organisationnelles qui ont fait de l’entreprise une institution complexe assurant la coordination des activités et des flux de ressources selon un ensemble de procédures administratives élaborées. Le système hiérarchique et la coordination administrative des actions