Congruence Carl Rogers

et la correspondance interscolaire) * Stimuler une démarche active d’apprentissage de l’élève (Decroly : observation- association- expression, Freinet : tâtonnement expérimental) L’approche humaniste et les pédagogies non-directives * Carl Rogers insiste sur le fait l’homme connaît ce qui est nécessaire pour assurer sa croissance personnelle et qu’il peut trouver les moyens d’activer cette croissance grâce à l’environnement. * Le travail de l’enseignant ou facilitateur d’apprentissage

par ses pratiques. Elle a pris son essor aux États-Unis après la seconde guerre mondiale. Elle regroupe un ensemble de praticiens et d'approches. Les principales approches constitutives de ce courant sont : la thérapie centrée sur le client de Carl Rogers, le psychodrame de Jacob Levi Moreno, la gestalt de Frederick Perls et la bioénergie d'Alexander Lowen. W. Reich a influencé fortement F.Perls et A. Lowen, qui a été son élève, a repris ses idées et sa pratique. c. Le courant psychanalytique : Ce

facilite la discussion en toute liberté de la problématique à laquelle il est confronté. Une relation de confiance entre les deux interlocuteurs contribue au bon déroulement d’un accompagnement. 3.5 Une relation d’aide pour C  Selon Carl ROGERS, la congruence, l’empathie et l’acceptation sont les clefs de la confiance dans une relation d’aide. Sans confiance, l’accompagnement est faussé. La personne peut ne pas être à l’aise face au professionnel et ce dernier peut ne pas l’être non plus. Cependant

citer 54: - Alfred Adler (1870-1937) : Ce médecin autrichien a élaboré la théorie de la psychologie individuelle, selon laquelle les troubles psychologiques ne seraient pas le fruit de conflits sexuels inconscients, mais du sentiment d’infériorité. - Carl Gustav Jung (1875-1961) : Ce psychiatre suisse accorde lui aussi nettement moins d’importance à la sexualité que Freud. Ancien disciple de celui-ci il s’en est éloigné pour créer ses propres théories. Il développe le concept d’inconscient collectif

construits : la satisfaction et la dissatisfaction Il y a 2 approches de la dissatisfaction : L’approche affective : attitude/performance et réaction émotionnelle L’approche cognitive : disconfirmation (OLIVER 1980) influence de la satisfaction, congruence ou l’incongruence (ça colle ou ça colle pas, ce que j’attendais ou pas) entre l’information issue de l’expérience de consommation et schéma initial (ce qu’il avait en tête) l du consommateur (EVRARD 1933) Avant d’acheter le produit, le consommateur

donné que cela dépend des personnes à l’étude. Carl Rogers fut le principal théoricien lié à cette approche. Il élabora une théorie sur le concept de soi, l’estime de soi et la congruence. En d’autres mots, il fit respectivement l’apport de la perception qu’a un individu de lui-même, des sentiments et des critiques qu’il éprouve envers lui ainsi que l’accord entre la vision qu’a la personne d’elle-même et ce qu’elle devrait être réellement. Rogers a également parlé de l’acceptation conditionnelle

et du développement avec une direction philosophique selon laquelle l'individu est acteur de ses choix et de son avenir (Carl Rogers). Elle repose sur: - Une approche développementale  proposant une éducation et un apprentissage à partir d'expériences, en s'appuyant sur la théorie de  l'image de soi , en favorisant le développement professionnel et de la personne. La congruence entre l'image de soi  et la professionnelle détermine le choix et l'adaptation. - Une ? approche cognitiviste ? qui considère

dimension que sur l’autre, nous nous arrêterons aux principes qui ont guidé la démarche de ces auteurs. Comment le développement de la personne se fait-il ? Pour y répondre, nous nous référons à Rogers (1967), un psychologue clinicien, qui a eu le mérite d’appliquer ses principes à l’apprentissage-enseignement. Rogers, après avoir postulé que l’homme est fondamentalement positif, en arrive à répondre à 21. Lazarus (1969) distingue spécialement ce principe de celui de la réduction de conflit et de la tension

l’utilisation de l’espace (rapprochement ou éloignement) et le tonus. Le thérapeute prend en compte ces émotions et « accueille les symptômes de ses patients sans chercher directement à les réduire. Son attitude est faite d’empathie, de congruence. » (Carl Rogers) Au niveau historique, le cheval contribue à certaines propriétés thérapeutiques depuis l’antiquité. En Grèce, la monte du cheval avait pour but de favoriser l’évolution de maladies somatiques ou de fortifier les membres. D’après Xénophon

les questions de clarification permettront d'identifier les facteurs dont la personne n'est pas ou peu conscience ou ne maîtrise pas, de préciser les objectifs et les étapes de travail. La non-directivité La démarche non directive de la méthode de Rogers, bien que le but en soit thérapeutique, va tout à fait dans le sens de la relation en Sophrologie. En effet C.Rogers préconise en premier lieu une centration sur l'individu et non sur le problème (nous parlons en sophrologie de mise entre parenthèses