Corpus Poètes Maudits

Ruy Blas (p. 182 ES/S et Techno / p. 184 L/ES/S) SÉQUENCE 3 – L’aveu sur scène du XVIIe au XXe siècle • Alfred de Musset, On ne badine pas avec l’amour (p. 194 ES/S et Techno / p. 196 L/ ES/S) • Corpus bac (Séries générales) – Victor Hugo, Ruy Blas (p. 222 ES/S / p. 224 L/ES/S) • Corpus bac (Séries technologiques) – – Alfred de Musset, Les Caprices de Marianne (p. 222 Techno) – E. Labiche et A. Lefranc, Embrassonsnous, Folleville ! (p. 223 Techno) – Alfred Jarry, Ubu Roi (p. 224 Techno)

Francophones, 2003, p.15. 3 Parisot Yolaine, « Les écritures de soi dans la Caraïbe francophone », Notre librairie, N° 161, p. 46. 15 Notre travail consistera aussi à prouver la véracité de cette citation de René Luneau par rapport à notre corpus d’étude : « (…) à force d’osciller entre les différents savoirs qui vous habitent et parvient pas à réconcilier, on revient naturellement aux origines »1. qu’on ne Enfin, nous allons tout simplement visiter le Pays sans chapeau, et à travers lui

non dans ma main, mais sur ma langue; soyez assez bons pour l'accueillir d'une oreille favorable. Et maintenant écoutez le sujet, et faites bien attention. Je vais le résumer aussi brièvement que possible.Autre chose : vous savez ce que font nos poètes comiques. Ils sont toujours à prétendre que l'action se passe à Athènes, pour que leur ouvrage vous ait davantage l'air grec. Pour moi, je ne placerai jamais le lieu de l'action que là où, dit-on, elle s'est passée réellement (1). Ainsi donc le sujet

les autres ses amis douteux ; qui, battu de l'orage avec la république, la retint quelque temps sur le bord de l'abîme où il fut enfin précipité avec elle, qui, inquiet dans la bonne fortune, fut sans courage dans l'adversité ; combien de fois ne maudit−il pas son consulat qu'il avait loué non sans sujet, mais sans mesure ! (2) Quelles lamentations ne fait−il pas entendre dans une lettre adressée à Atticus au moment où, après la défaite de son père, le jeune Pompée cherchait à relever en Espagne

autres ses amis douteux ; qui, battu de l'orage avec la république, la retint quelque temps sur le bord de l'abîme où il fut enfin précipité avec elle, qui, inquiet dans la bonne fortune, fut sans courage dans l'adversité ; combien de fois ne maudit−il pas son consulat qu'il avait loué non sans sujet, mais sans mesure ! (2) Quelles lamentations ne fait−il pas entendre dans une lettre adressée à Atticus au moment où, après la défaite de son père, le jeune Pompée cherchait à relever en

au lycée.............................................................................................................97 b.Séquence de prolongement sur un article de presse électronique.......................................................98 c. le corpus proposé.................................................................................................................................98 Littératures francophones et FLE...........................................................................

pourtant considérable que ce dernier est prêt à faire pour lui. Devant l’opposition paternelle, il s’inscrit à l’école de droit et fréquente la société du Temple, qui réunit dans l’hôtel de Philippe de Vendôme, des membres de la haute noblesse et des poètes (dont Chaulieu), épicuriens lettrés connus pour leur esprit, leur libertinage et leur scepticisme. L’abbé de Châteauneuf, son parrain, qui y avait ses habitudes, l’avait présenté dès 1708. En leur compagnie, il se persuade qu’il est né grand seigneur

pourtant considérable que ce dernier est prêt à faire pour lui. Devant l’opposition paternelle, il s’inscrit à l’école de droit et fréquente la société du Temple, qui réunit dans l’hôtel de Philippe de Vendôme, des membres de la haute noblesse et des poètes (dont Chaulieu), épicuriens lettrés connus pour leur esprit, leur libertinageet leur scepticisme. L’abbé de Châteauneuf, son parrain, qui y avait ses habitudes, l’avait présenté dès 1708. En leur compagnie, il se persuade qu’il est né grand seigneur

concerne la culture en traduction, toutes les cultures sont distinctes de l’une à l’autre. Et il convient de se demander pourquoi il faut la traduction de n’importe quelle culture et pourquoi on peut avoir la liberté de déranger et altérer l’habit/le corpus de cette culture. Mais encore, est-ce que c’est vraiment le dérangement et l’altération d’une culture quand elle est (re)présentée dans la traduction ? En effet, on ne doit pas traduire l’œuvre entière à l’aide des notes infrapaginales pour garder

français, sans les poètes, conteurs et chanteurs. Et lorsque, dans un 16 L’Amour du français second temps fort de l'histoire de l'Europe, certaines langues ont pris conscience de leurs pouvoirs, c'est l'association de la volonté politique et de la pensée créatrice, celle du Prince et du Poète, parfois du Prince et du Théologien, qui font l'allemand (avec Luther), l'anglais, l'espagnol ou le français. François Ier n'eût pas suffi à promouvoir cette mutation culturelle sans les poètes qui le célèbrent