Costumes Ruy Blas

prononcées comme le débit de paroles, de volume, de rires, de pleurs, de toux, qui traduit l’émotion du personnage et qui enrichit le réalisme du personnage. Puis il y a aussi le langage non verbal comme la gestuelles des comédiens, les décors, les costumes, l’éclairage, et la place des comédiens sur scène. Tout ceci est important pour que le public puisse s’imaginer en tant « réel » le contexte de l’histoire. Le théâtre à une fonction sociale, il est souvent utiliser pour dénoncer les inégalités

voit se développer l’usage de la "boîte" (décor reconstituant trois murs d’une pièce, et impliquant que le public occupe la place du quatrième mur). On accorde désormais de plus en plus d’attention à l’exactitude et à l’harmonie des décors et des costumes. La scène n’est plus qu’un simple décor mais un espace ou on respecte la vraisemblance ; les acteurs sont placés dans une situation ordinaire et jouent comme s’ils ne remarquaient pas la présence du public. Au lieu de prendre la pose, en se tournant

charge l'entretien, les répétitions du chœur, les costumes et décors, tandis que la cité assurera le financement du reste. Trois poètes sont sélectionnés et doivent chacun présenter une tétralogie, soit trois tragédies, sur un même thème ou non, et un drame satyrique. Quatre jours sont consacrés aux concours dramatiques (trois jours pour la tragédie et un seul pour la comédie).Les acteurs sont tous des hommes et leur rôle est signalé par leur costume et leur masque. Ce masque, fabriqué en toile, bois

style sublime. Ruy Blas de Victor Hugo (1838)   Don Salluste, ministre du roi d'Espagne, vient de tomber en disgrâce et d'être exilé par ordre de la jeune reine. Il jure de se venger et songe un moment à se servir dans ce but de son cousin, don César de Bazan, homme perdu de débauches ; mais celui-ci, apprenant qu'il s'agit de tendre un piège à une femme, se récrie et refuse avec fierté.   À défaut de son cousin, Salluste se servira de Ruy Blas, son laquais, ancien camarade de

imaginaire où Molière fait la satire de la société. Tout d'abord, on peut voir que se sont souvent des histoires vraies notamment dans la comédie classique où l'intrigue se déroule dans des lieux proches comme la France, l'Espagne. C'est le cas de Ruy Blas de Victor Hugo. Mais finalement ce n’est qu’illusion… car le théâtre est un moment de détente et un divertissement pour le spectateur, ils n’y vont pas pour voir leurs exactes vies représentées sur scène. C’est pour cela que les dramaturges utilisent

a longtemps utilisé le masque en guise de costumes. Le XIXème siècleLe drame romantique naît dans la première moitié du XIXème siècle. Victor Hugo en expose les principes dans la préface de Cromwell. Le drame romantique se libère des règles classiques du théâtre et mêle différents registres. Le héros du drame romantique est passionné, et le dénouement de la pièce est malheureux, comme dans la tragédie.Auteurs principaux : Victor Hugo (Cromwell, Ruy Blas...), Musset (Lorenzaccio), Vigny...Le drame

(règle des trois unités, bienséances, vraisemblance), recherche d'une grande liberté créatrice, maintien de la versification (même si d’autres tels que Stendhal prône la prose) peinture d'une « couleur locale » (ce qui rappelle l’exotisme : costumes, décors, noms). L'unité de lieu est mise à mal : la multiplicité des lieux est appelée par la visée totalisante, le désir d'exactitude. D'où parfois l'impossibilité de représenter certaines pièces : Cromwell, qui met en scène 60 personnages dans

Ariane Mnouchkine en 1977, accompagné de deux bonus, un entretien inédit avec Ariane Mnouchkine à la Cartoucherie en juin 2004 et le commentaire du film par l’auteur, et un livret d’accompagnement. Réalisé avec 120 comédiens, 600 participants, 1 300 costumes, 220 décors et deux années de travail, ce film raconte l'aventure de Molière et de son siècle. Molière : une vie pour le théâtre Milovanovic, Isabelle ; Nicolas, Frédéric ILIAS / Arborescence, 1997 Cote : Hlit 7 CD 231 Ce cédérom présente l'oeuvre

Soumis à des passions, des sentiments extrêmes, exacerbés (parfois, pas loin de la folie) et aucune véritable occupation autre que leurs passions (les femmes ne travaillent pas...)             * Ou personnage : un valet, un paysan.             * Costume : difficile de s'identifier à quelqu'un qui porte une fraise et en perruque (VS le jean !). ∆) Catégorisation des personnages par leur profession, leur défaut, leur état (avare, bourgeois, barbier...).               C- Le jeu de l'acteur            

intrigue qui vienne tout droit de son imagination. La mise en scène et la représentation de la pièce sont basées sur le scripte de l’auteur mais aussi sur les décisions de mise en scène par le metteur en scène. Il a la liberté du choix des décors, des costumes, des lumière, du sons … Il existe ainsi une infinité de représentation possible d’une même pièce. Chaque metteur en scène est libre de représenter une pièce à sa manière avec sa vision, sa perception et son imagination. C’est ce qu’a fait Denis Podalydès