Danone Diversification Verticale

spécialisés et leur reconnaître une juridiction exclusive sur leur fonction. Bref, l’entreprise coupe le management en rondelles. Elle fait le pari que la somme des métiers assure l’intégration et l’assemblage, quitte à ériger un paysage de silos verticaux ne coopérant plus entre eux et s’enfermant dans des bonnes pratiques à base de modèles à prétention scientifique et de procédures passe-partout. Ce n’est donc pas un projet propre à l’entreprise, endogène car développé en son sein et partagé par chacun

spécialisés et leur reconnaître une juridiction exclusive sur leur fonction. Bref, l’entreprise coupe le management en rondelles. Elle fait le pari que la somme des métiers assure l’intégration et l’assemblage, quitte à ériger un paysage de silos verticaux ne coopérant plus entre eux et s’enfermant dans des bonnes pratiques à base de modèles à prétention scientifique et de procédures passe-partout. Ce n’est donc pas un projet propre à l’entreprise, endogène car développé en son sein et partagé par

internationalisation, commencent à s’essouffler », poursuit l’associée de Mercer. Pour mieux comprendre les ressorts de cette croissance interne, l’équipe de Mercer Management Consulting a réalisé une enquête. Sur la quarantaine de sociétés interrogées, Air liquide, Danone, JC Decaux, La Mondiale, Rossignol, SFR, Sodexho et Total sortent du lot. Sur la période 1995-2003, elles ont réalisé chaque année entre 5 et 7 points de croissance interne. Et toutes ont réussi à dépister de nouvelles sources de création de valeur

collectifs ayant comme but l’aide à l’arbitrage des différents intérêts des acteurs locaux. On passe par exemple d’une certification sectorielle des produits agro-alimentaire à une certification des enjeux de santé et bien–être (l’exemple de la stratégie Danone) qui inclut aussi certains produits agro-alimentaires ou des normes concernant la qualité dans l’industrie textile à des normes certifiant le domaine du luxe. En même temps, l’intensification de la concurrence internationale sous les effets de la

comme facteur de compétitivité au sein de la filière • Aider les entreprises à se structurer pour intégrer des activités d'innovation. • Structuration d'une filière ITS en se basant sur les entreprises de la filière des TIC régionale • Aide à la diversification • Aide à l’export • Modalités de création partenariale (joint-venture,...) • Valorisation commerciale (stratégie, création d'outils,...) • Veille concurrentielle • Sensibilisation à l'intelligence économique Concurrence nationale et internationale

satisfaire pleinement le besoin de diversité, d’où le recours aux importations. Dans le même temps, l’échange international permet de renforcer la concurrence tout en décuplant la taille des marchés (Cf. la diversification). L’extension de la taille des marchés due à la diversification pourrait entraîner une multiplication des productions en petite série. Mais la recherche de l’efficacité conduit à rechercher une augmentation de la production proportionnellement inférieure aux coûts des facteurs

relation client, tournée vers la satisfaction de ses besoins et attentes, figure en bonne place dans nos priorités. Nos grands clients font face à des défis majeurs. La concurrence plus vive s’accompagne de mouvements de concentration, d’intégration verticale et horizontale, d’internationalisation et de normalisation. Cette évolution influe sur les relations de nos clients avec leurs fournisseurs et sur leurs exigences à l’égard de ceux-ci […] Chaque client est unique, ses exigences aussi. » souligne Ole

adaptatives et de taux de chômage naturel – qu’une politique budgétaire expansionniste entraînait un effet d’éviction total, et qu’une politique monétaire se traduisait inévitablement pas une hausse du niveau général des prix (courbe de phillips verticale à long terme, pas de relation inflation/chômage). Les seconds (Lucas, Barro…) ont souligné – à partir des hypothèses d’ajustements continu des marchés et d’anticipations rationnelles – que les politiques de relance n’avaient aucun effet sur l’activité

Chine Page 28 jourd’hui plus de la moitié des exportations totales chinoises (cf. tableau cidessous33). Les investissements opérés par les entreprises asiatiques relèvent largement de cette catégorie (investissements de délocalisation de type « vertical »). Les biens d'investissement ont pris les devants dans la croissance des exportations dans les années 1990. Ce changement a été principalement tiré par les équipements électriques et appareils, matériel informatique, équipements de télécommunications

géographique, plus grande intégration horizontale et verticale Taux de concentration des Etats-Unis est 15 points supérieurs de celle de l’UE. Dans un marché globale les entreprises vont investir dans les pays ou on peut racheter des entreprises. Ces intégrations vont dépendre des politiques de la concurrence des pays. Pour des raisons de politiques industrielles ont peut accorder des politiques d’intégrations. Une intégration verticale : activité amont d’une firme, maintient sur toutes les