Dilemme Fléxibilité Productivité

production, R&, distribution, marketing, contrôle de gestion. * Par composant ou stade d’élaboration du produit. Comment utiliser l’effet d’expérience ? Mode d’emploi. * Mesurer le taux d’amélioration sur les dernières années des productivités (nombre d’unités par heure) et des coûts (en monnaie constante). * Chiffrer la pente de la courbe, c'est-à-dire le pourcentage d’amélioration quand double la quantité cumulée. * Le faire : * Pour les principaux produits. *

statut d’AS (avec hausse demandée de la classe de fonction motivée par les charges de travail et la flexibilité) et d’autre part sur la charge supplémentaire demandée au personnel concerné (actuellement aides-soignant-e-s qualifié-e-s : classe 7 (ASQ) et aides-soignant-e-s non qualifié-e-s : classe 5 (ASNQ) sous-estimée en terme de qualité de leur travail et surtout en terme de productivité dans le monde de la santé. De plus, les formations continues sont actuellement remises en cause pour

poids de tous les indicateurs : l’enquête Price Waterhouse Coopers : Tableau 28 : Une baisse de leur taux de valeur ajoutée : Tableau 29 : Etude de l’EBE, de leur marge brute d’exploitation et marge industrielle Tableau 30 : Analyse de la productivité par employé Tableau 31 : Une baisse appuyée des résultats d’ERICSSON Tableau 32 : Forte hausse des résultats enregistrée par le groupe NOKIA Tableau 33 : Des niveaux de rentabilité élevés pour le groupe NOKIA Tableau 34 : Des niveaux de

> 2,5kg PDT et 20kg de viande (autarcie) àQui produit les PDT à moindre coût ? Deux réponses possibles. -1ère réponse : avantage absolu Mesurer les différences dans les coûts de production. Avantage absolu : -décrit l’avantage dans la productivité d’un individu, d’une firme, d’un pays sur l’autre. -producteur qui a besoin du moins d’input pour produire une unité d’un bien à un avantage absolu sur l’autre. -2e réponse : avantage comparatif Compare les producteurs selon leurs coûts d’opportunité

élevé, plus l’investissement doit être important pour atteindre le montant de production souhaité, et plus ses variations amplifieront les variations de la production. L'allongement du détour de production (cf Bôhm-Bawerk) permet d'accroître la productivité du travail mais présente le défaut de favoriser périodiquement un phénomène de "surcapitalisation" qui précipite une crise de surproduction. Albert AFTALION, pour effectuer sa démonstration littéraire va utiliser la parabole du poêle à charbon

microéconomie ne sont pas généralisables et applicables au niveau macroéconomique. Par exemple, une baisse des salaires à l'intérieur d'une entreprise peut accroître le profit de cette entreprise (sous réserve que les salariés conserve la même productivité) et si toutes les entreprises résonnent de la sorte, elles ont toutes intérêt à diminuer les salaires. Cependant les salaires versés par ces entreprises représente la demande qui s'adresse aux autres entreprises (salaires → consommation), et une

institutionnels .......................... 48 3.2 L’intermédiation sur le marché du travail : action publique, stratégies privées ................................ 52 3. 3 La codification des relations professionnelles : un cheminement vers une flexibilité négociée ....... 62 4. Trajectoires macroéconomiques et politiques d’emploi .............................................................................. 69 4.1 Des politiques économiques peu centrées sur l’emploi..............................

Arnaud Pêtre - 2010 45 les classiques David Ricardo, La loi des avantages comparatifs est une loi économique selon laquelle, dans un contexte de libre-échange, chaque pays, s’il se spécialise dans la production pour laquelle il dispose de la productivité la plus forte ou la moins faible comparativement à ses partenaires, accroîtra sa richesse nationale. Avec un nombre d'heures de travail donné, le Portugal produit 20 mètres de drap et 300 litres de vin tandis que l'Angleterre produit 10 mètres

ressources en autre humaines, et matérielles. Ainsi, cela impose de négocier le budget qui découle de la performance attendue. La proposition doit se situer entre une performance attendue, soit une croissance sans effort majeur d’amélioration de la productivité, et, la performance souhaité. L’écart observé se subdivise en deux parties : l’écart opérationnel et l’écart stratégique. Le premier reflète le potentiel d’amélioration de l’existant sans modification majeur du portefeuille ; le second , l’écart

qui leur était proposé (on connaît de nos jour des entreprises qui font leur cette approche). C’est : ▪ augmenter la capacité de production. ▪ diminuer les coûts de production, ▪ faire des économies d’échelle augmenter la productivité Optique vente : l’économie passant du stade de l’offre à celui de la demande, le choix devenant de plus en plus important, il convenait de mettre l’accent sur les moyens d’atteindre le marché. Les entreprise ont adapté leurs circuits de distribution