Dilemme Fléxibilité Productivité

l’époque classique, en -400 av. J-C., la compétition économique entre les cités grecques étaient extrêmement forte, d’ailleurs elle a abouti à la suprématie « totale » d’Athènes du Sparte. Les villes grecques, leurs habitants, ont essayé de doper la productivité. Ils ont donc établi la division du travail. Platon s’est exprimé sur l’organisation idéale de la cité de son point de vue de philosophe, ce qui a donné naissance aux deux dialogues : La République & Des Lois. Selon Platon, tout le monde

révolution industrielle à la fin du 18ème début du 19ème en Angleterre avec l’essor de l’industrie. b- Le capitalisme aujourd’hui : Au 20ème siècle, on voit une intensification du facteur capital, ce qui a permis une hausse considérable de la productivité. Une accélération de l’internationalisation surtout après les années 40 (tous les pays sont interdépendants). Tertiarisation de l’économie  au début du 20ème la moitié travaillait dans le primaire alors qu’en 2010 2.9% dans le primaire, 21.

investissements directs étrangers …etc. L’objectif commun visé par tous ces pays est de faire booster leur croissance économique, soit en renforçant l’accumulation du capital par l’accès à une source supplémentaire de financement, soit en améliorant leur productivité grâce à l’amélioration de l’allocation des ressources et à l’accès aux nouvelles technologies assurées essentiellement par les investissements directs étrangers. Il est vrai que le processus inexorable d’intégration financière mondiale offre la

désavantage le plus faible en termes de coût unitaire ou de niveau de productivité du travail. Alors que d’autres pays optent pour la production bénéficiant de l’avantage absolu le plus élevé. Ainsi, cela montre que le commerce international est favorable à tous les pays, même à celui qui produit tout plus cher que les autres. En se spécialisant dans les secteurs où il possède des avantages comparatifs, un pays voit s’accroître sa productivité, ce qui est favorable pour le développement de son économie.

thèmes divisés en dix chapitres. THEME I : Les relations sociales dans l’entreprise. CHAPITRE I La gestion des ressources humaines INTRODUCTION : L'optimisation du capital humain est le nouveau fer de lance des entreprises en quête de productivité. « Il n’est de richesse que d’homme » disait le Juriste Jean BODIN. Quelque soit son activité et sa technologie, l’entreprise est avant tout une communauté d’individus prêts à coordonner leurs efforts pour atteindre un objectif commun. Organiser

sont très contingents au contexte actuel. Les facteurs externes découlent de la concurrence accrue, de la pression croissante des clients et de l’arrivée de nouvelles technologies. Les facteurs internes portent sur la baisse de rentabilité, de productivité, des ventes ou encore l’inadéquation des systèmes d’information. Les opérations citées dans l’enquête, sans référence au BPR, conduisant à un changement fondamental du fonctionnement de l’entreprise et dans lesquelles les TIC ont joué un rôle déterminant

mécaniquement les fournisseurs les plus efficients, qui finissent une fois que les autres ont disparu par reprendre le pouvoir • les innovations de produit ou de procédé : o optimisation des processus de production : amélioration de la productivité de la main-d’œuvre, du rendement des actifs, de l’utilisation de la capacité de production ou encore de la répartition de leur fonds de roulement (yield management = techniques qui permettent de maximiser le profit) o optimisation des

par des individus, il faut donc prendre en compte les individus pour une adaptation réciproque entre l'individu et l'organisation. Un individu aspire au succès psychologique et à l'estime de soi Dans toute organisation, l'individu est face à un dilemme : 1. satisfaire ses aspirations personnelles (ne rien faire, gérer sa carrière, devenir chef...) 2. répondre aux exigences de l'organisation Ceci tout en appartenant au système de : - la division du travail de l'organisation - la pyramide hiérarchique

de prix. Ces conclusions ont un impact stratégique évident puisque « acquérir un nouveau client coûte cinq fois plus cher que satisfaire et fidéliser les clients actuels », la rétention des bons clients constitue un impératif catégorique. Quant au dilemme apparent entre acquisition et rétention, il faut bien comprendre qu'une entreprise, ne peut se permettre de perdre ces clients plus rapidement qu'elle on en acquiert. En tout état de cause, il faut arrêter l'hémorragie, l'érosion de sa base de clients

elle structure les besoins des clients. 1.2 - Aussi, la maîtrise des processus est devenue un enjeu stratégique cela revient à chercher à satisfaire les besoins des clients avec le juste niveau de qualité attendue, au moindre coût et avec flexibilité. 1.2.1 - Déplacement de la qualité du produit vers la qualité de l’organisation Les trois niveaux de la qualité : Niveau 1 Niveau 2 Niveau 3 Respect des spécifications définies par A partir des années 80. Volonté et capacité à évoluer