Dilemme Fléxibilité Productivité

Capitalisme libéral de marché       Faible règlementation des marchés de produits et des marchés du travail Peu de contrôle de l’État et peu de participations publiques dans les entreprises Faible protection de l’emploi = Grande flexibilité Les entreprises se financent principalement sur le marché boursier qui agit comme régulateur de la gestion des entreprises (rémunérations basées sur les résultats en bourse) Protection sociale assurée par l’emploi Taux de scolarisation élevés

sociopolitiques. 2. L’évolution du système capitaliste anglo-américain et sa gouvernance  3. Le capitalisme financier et la gouvernance financière. 1.2.1 L’instauration du capitalisme industriel Le management classique axé sur la productivité est né du capitalisme industriel. (Taylorisme) Il n’existe pas de système managérial universel. Au début les propriétaires étaient aussi les gestionnaires. (gouvernance) Naissance de nouvelles technologies de l’information et de communication

innovatrices. Ces trois comportements sont les nécessaires clés de la compétitivité des organisations et doivent leur permettre d’exploiter de façon efficiente les opportunités reconnues sur leurs marchés (flexibilité offensive), mais aussi de transformer des menaces en opportunités (flexibilité défensive). Une telle démarche passe nécessairement par une réorganisation des systèmes de production, de communication et de mise en marché des produits de la firme. Non seulement ces sous systèmes opérationnels

Dès lors se pose la question des rapports entre “ économie de marché ” et “ capitalisme ”. Pour certains, les deux termes sont synonymes et désignent des économies caractérisées par la propriété, la recherche du profit et la régulation par la flexibilité des prix (c’est la position de J. Baechler par exemple). Cette assimilation est cependant discutable, on a vu que F. Braudel distingue soigneusement les deux concepts. C’était aussi le cas de Marx pour qui le capitalisme est une forme particulière

les coûts (low cost strategy) ▪ Problème : il faut toujours garder les prix les plus bas sur le marché 2. L’avantage coût et l’effet d’expérience L’avantage coût ▪ Présence d’un écart de prix de revient dû à une meilleure productivité ▪ Dans les secteurs à forte intensité de main-d’œuvre, une baisse des coûts se constate au fur et à mesure que l’entreprise accumule de l’expérience ( processus d’apprentissage La loi d’expérience : le coût unitaire de la valeur ajoutée

précise……. Frederick Taylor (le taylorisme) est un ingénieur autodidacte et fondateur de l’Organisation Scientifique de Travail (OST). Cette dernière repose sur les principes suivants : Productivité et prospérité sont deux éléments non contradictoires. Mais l’objectif ultime est la maximisation de la productivité des individus travaillant dans l’organisation ; Chronométrage des tâches de telle sorte a trouver et appliquer les meilleures façon d’exécuter les tâches dans des laps temps pré définies ;

certains avantages : * Il investit chacun dans l’organisation (comme le management participatif défini par Lickert). * Il répond aux exigences de la production en plus de répondre aux problèmes humains. Ces deux variables représentent un dilemme pour les managers. b) Le management intervenant sur les relations de travail Le management se doit aussi d’intervenir sur les relations de travail. En effet, une étude récente réalisée par TNS Sofres auprès des salariés et de chefs d’entreprise

explicatifs du recours à la sous-traitance. Ces facteurs peuvent être classés en deux types, soit d’ordre stratégique, soit d’ordre financier. A- Les facteurs d’ordre stratégique. Parmi les facteurs stratégiques, on trouve généralement la recherche de la flexibilité, l’accès à un savoir-faire et le recentrage des activités. a- l’accès à un savoir-faire De prime abord, l’accès à un savoir-faire spécifique constitue l’un des facteurs qui expliquent le recours à l’externalisation. En effet, l’entreprise peut ne

marché. Les entreprises voient donc leurs profits et leur nombre se réduire peu à peu. La concurrence aboutit à la concentration et remet en cause l'atomicité du marché. Ensuite, le marché concurrentiel est créateur d’incertitude. En effet, la flexibilité journalière des prix et la concurrence permanente, qu’exige un marché en concurrence pure et parfaite, empêchent les entreprises d’avoir une vision claire du futur (on dit que le « marché est aveugle ») et les placent dans une instabilité permanente

publique de manière à sauver l'emploi et la sécurité sociale. On assiste à une interpénétration de l'Etat et du marché du travail : activation des politiques publiques => détournement des politiques de l'emploi de leur mission d'insertion pour 7 flexibilité de la main d'euvre. Effets pervers ; 1) Templois atypiques et des sous-emplois et des emplois stables => 7 dualisation. 2) 1 Etat social actif => repérage de populations spécifiques qui feront l'objet d'un ciblage psychosociologique (les jeunes