Distingué Le Toyotisme Du Fordismes

moyens de production et le profit pensé comme la récompense du risque. • Les innovations sont source de croissance et de développement • Elles surviennent par « grappes » autours d’une innovation radicale et par à coup . 2. J.A Schumpeter distingue 5 types d’innovation • Les innovations de produits • Les innovations de procédés • La découverte d’une nouvelle source de matière première ou d’énergie • Les innovations commerciales • Les nouveaux types d’organisation 3. Ces cinq innovations

de rémunérations « aux boni »). Il n’y a plus de proportionnalité entre le nombre de pièces produites et le salaire, comme dans le système de salaire à la pièce simple. 2) Le fordisme et la diffusion du taylorisme Henri Ford, lui aussi ingénieur américain, n’applique pas simplement les idées de Taylor. Si le fordisme naît du taylorisme, il répond à une forme organisationnelle distincte : ------------------------------------------------- - Taylor avait cherché à répondre aux problèmes posés

une des images centrale de la société. En effet, elle est vue comme un système économique que beaucoup de figures marquantes vont tenter de décoder afin d’en améliorer le fonctionnement et les performances. ► L’école classique : On distingue deux courants de pensées qui s'opposent. D'une part, l'école classique, qui recherche avant tout la rationalisation de la productivité et du travail, dont le principal chef de fil fut F.W Taylor qui eu pour objectif premier d'organiser le travail

humaines. Plan du cours : PARTIE 1 : LES APPROCHES TRADITIONNELLES EN ORGANISATION DU TRAVAIL Chapitre 1 : Les formes d’organisation du travail jusqu’au 19ème siècle Chapitre 2 : L’organisation scientifique du travail de F.W Taylor Chapitre 3 : Le fordisme : un approfondissement et une mise en pratique de l’OST PARTIE 2 : LES APPROCHES PSYCHO-SOCIOLOGIQUES Chapitre 1 : L’école des relations humaines Chapitre 2 : L’école du développement des relations humaines Chapitre 3 : L’école socio technique

productivité (recherche/développement, savoir-faire…) La mise en œuvre des innovations nécessite d’investir. L’investissement peut être matériel ou immatériel. (=> Chapitre 1) L’investissement d’une entreprise peut répondre à plusieurs objectifs, on distingue : - Les investissements de capacité (ou d’extension) qui permettent d’accroître la production. - Les investissements de remplacement (ou de renouvellement) qui sont destinés à remplacer des biens d’équipement usagés ou obsolètes (= dépassés technologiquement)

centrale de la société. En effet, elle est vue comme un système économique que beaucoup de figures marquantes vont tenter de décoder afin d’en améliorer le fonctionnement et les performances. ► L’école classique : On distingue deux courants de pensées qui s'opposent. D'une part, l'école classique, qui recherche avant tout la rationalisation de la productivité et du travail, dont le principal chef de fil fut F.W Taylor qui eu pour objectif premier d'organiser le travail

fois sa lourdeur et sa rigidité, dues à sa forte hiérarchisation et aux procédures décisionnelles fastidieuses, son côté déshumanisé et le sentiment général d’insatisfaction au travail qui prédomine dans le personnel. Wright-Mills : Il s’est distingué par sa réflexion sur les élites aux États-Unis, développée dans ses deux principaux ouvrages The Power Elite (1956) et White Collar (1951). Contre l’idéologie américaine de la société ouverte, il défend la thèse de la fermeture des élites à l’égard

développée dans l’état des techniques correspondant au fordisme (processus continu de fabrication, automatisation rigide, machines spécialisées, réponse quantitative plus que qualitative à la demande). Les années quatre-vingt marquent les limites et la fin des techniques fordistes et l’apparition d’une demande personnalisée et versatile, exigeant des gammes de produits renouvelées et une production flexible, en petites séries ; C’est la naissance du Toyotisme.
 Les connaissances scientifiques et techniques

partait de rien. Il y avait une série d’instruments et de traditions d’approche de la croissance et de la crise, instruments et traditions sur lesquels bien évidemment nous nous sommes appuyés. Afin que l’on puisse mesurer ce en quoi nous nous sommes distingués, je voudrais brièvement préciser quel était l’héritage théorique et analytique au moment où nous nous sommes essayés à notre propre élaboration. Pour ce faire je me propose de retracer les contours de ce qu’était la conjoncture réelle des années

externalités positives dégagées par les systèmes d’éducation et de santé, et on retrouve là les facteurs avancés par les théories de la croissance endogène. La qualité du capital est améliorée par les innovations technologiques, et on est amené à distinguer le progrès technique « incorporé » qui rend plus efficaces les nouveaux équipements et le progrès technique « non incorporé » qui rend plus efficace le stock total des équipements. Quand le progrès technique est considéré comme incorporé, la croissance