Décision N 2010 92 Qpc

assez haut la main. 1871 : Assemblée nationale dans laquelle les monarchistes dominent, les républicains en position de faiblesse. Et on y trouve un certain nombre de bonapartistes contre la fin de l’empire. Assemblée conservatrice qui prend deux décisions : elle suspend le règlement des institutions futures : le pacte de Bordeaux. Elle désigne Hadolph Tiers comme chef du pouvoir exécutif de la France sous l’autorité de l’assemblée et entouré de ministres choisis par lui. Son cabinet va réussir à stabiliser

qui exprime la thèse des ultras : le monarque doit laisser les ministres agir spontanément. Les doctrinaires sont d’un avis différent. Ils considèrent que le roi peut vouloir et agir, il a seul le pouvoir d’agir, les ministres ne prennent pas de décisions à sa place. 3) La pratique de Louis XVIII et de Charles X L’attitude des deux rois successifs va être différente (Louis XVIII de 1814 à 1824 et Charles X de 1824 à 1830). Louis XVIII n’était pas hostile au régime parlementaire. Charles X tenta

de constitutionnalité des lois, assurés par le Conseil constitutionnel, qui garantit la constitutionnalité des lois, c’est à dire leur viabilité constitutionnelle. Une procédure récente, résultant de la réforme constitutionnelle de 2008 (ou 2010 ?), la QPC (Question Prioritaire de Constitutionnalité) permet à tout justiciable de soulever l’inconstitutionnalité d’une loi. Le droit constitutionnel est donc maintenant abordable par tout juriste, non plus seulement par l’Etat. Le droit constitutionnel

avec la dignité humaine. L’illustration la plus célèbre de cette conception c’est une tragédie antique de Sophocle : « Antigone ». Ce pt de départ antique est une décision prise par un roi Créon, qui avait décidé de pv de sépulture un de ses sujets Polymice qu’il considère comme un rebelle. Or Antigone décide de ne pas respecter la décision du roi et décide d’enterrer son frère car elle considère qu’au dessus du drt positif il y a des lois non écrites mais éternelles liées à la dignité de l’homme et

Introduction générale : LOLF 2001 entrée en vigueur en 2006. Les FL en 2006 donnait encore l’impression d’être un chantier juridique permanent. Entre 2006 et aujourd’hui, on a eu la réforme récurrente et difficilement abouti de la taxe professionnelle en 2010. On va parler des impôts locaux trop élevé par rapport aux impôts nationaux. Endettement fluctuant des CL. Parallèlement depuis plus de 30 ans les CL font l’objet d’importante réforme de leur cadre juridique générale on a une dissociation entre la

pour la constatation et la poursuite des infractions pour l’établissement de preuves, et le jugement du délinquant à l’audience. Enfin la procédure pénale règlemente l’autorité et les effets des décisions prononcées par les juridictions répressives ainsi que les voies de recours dont ces décisions peuvent faire l’objet. La procédure pénale a été règlementée en France pendant 150 ans par le Code d’instruction criminelle de 1810, code napoléonien. Le nouveau code a été introduit par la loi de

hfouad@free.fr Cc: TD@free.fr, PROCEDURE@free.fr, PENALE@free.fr Objet: [Aucun sujet] UNIVERSITÉ PARIS OUEST – NANTERRE LA DEFENSE UFR Sciences juridiques, administratives et politiques CONFERENCES DE METHODE : LE PROCES Année universitaire 2010-2011 Professeur Soraya AMRANI MEKKI Chargés de conférences Wafa Ayed Aurélie Binet Grosclaude Laure Florent Stéphane Lucard Babacar Niang Carole Pascarel Patrick Quentin SEANCE 1 INTRODUCTION La séance introductive sera l’occasion

1.4.3.3. Les groupements d'intérêt public 1.4.3.4. Personnes morales diverses 69 70 71 73 73 74 81 90 95 97 1.5. LA CLASSIFICATION DES DROITS SUBJECTIFS ET DES OBLIGATIONS 1.5.1. Les sources communes aux droits et aux obligations 1.5.1.1. Les décisions juridictionnelles passées en force de chose jugée 1.5.1.2. La loi et les actes juridiques 1.5.1.2.1. Les actes administratifs unilatéraux 1.5.1.2.2. L'acte juridique unilatéral en Droit privé 1.5.1.2.3. Les contrats 1.5.1.3. Les quasi-contrats 1

CES A G Centre Africain d'études Supérieures en Gestion O"pJôme d'Etudes Supérieures Institut Supérieur de Comptabilité, de Banque et de Finance (ISCBF) Spécialisées en Audit et Contrôle de Gestion Promotion 21 (2009-2010) Mémoire de fin d'étude THEME "AUDIT FISCAL DE P ARKS Sarl Togo ~::..:.:.:..:..:.:.:.:.::.:.:.:":':':'.:~':::;:~-.:.:.._--~-.-.:.:.~._-.:.._.~:....:.:;. ::-:_::.;..--:...... ~ ....:..-_:....~~..:..:.:..:.;:.:~_...:.::_.::....:....:.:.:.:..:...::_ ._.:...:.::.- __.:. .:-.

(c'est le principe « pas de peine sans loi »). Outre sa valeur légale, le principe a une valeur constitutionnelle, il est inscrit à l'article 8 de la DDHC de 1789. le conseil constitutionnel s'y est pour la première fois expressément référé dans la décision « Sécurité et liberté » des 19 et 20 janvier 1981. au niveau international on retrouve une même consécration tout aussi large. Il est prévu par la DUDH de 1948 (qui n'a pas de valeur normative en droit français). Le principe de légalité est prévu