Électronégativité

chimiques : Représenter, expliquer et décrire : liaison covalente parfaite, liaison covalente polarisée et liaison chimique : 1) liaison covalente parfaite : caractéristiques : mise en commun de 2 électrons célibataire entre 2 atomes de même électronégativité. Représentation : 2) liaison covalente polarisée : caractéristiques : Mise en commun de 2 électrons célibataires entre 2 atomes d'électronégativité différente. Représentation : 3) liaison ionique : caractéristiques : résulte de l'attraction

libres, il n'y a donc pas de transport d’électricité. Il est donc un isolant électrique De nombreux solides minéraux sont faits d’un empilement régulier d’anions et de cations. Lire doc. p24 et p25 II ) Polarité d’une molécule : 1) Electronégativité des éléments : Certains éléments ont tendance à capter les électrons pour former des ions négatifs. Le Fluor est celui qui capte le plus facilement un électron. D’autres éléments retenant moins les électrons donnent facilement les ions

les charges négatives. Il est donc « plutôt négatif » et B est alors « plutôt positif ». La liaison se retrouve alors polarisée, c’est-à-dire identique à un dipôle électrique AB où A porte une charge -δ et B une charge +δ (-δ) A B (+δ) 2. Electronégativité des éléments chimiques L’électronégativité des éléments répertoriés dans la classification périodique augmente de gauche à droite sur une même ligne et de bas en haut dans une même colonne. 3. Remarques Dans le cas d’une molécule composée

Rappeler et détailler les 3 étapes de la dissolution d’un composé ionique dans l’eau. Données: 1 pm= 10-12 m ; e=1,60.10-19C ; Fg= G x m A  mB d2 G = 6,67.10-11 USI O mnucléon= 1,67.10-27kg Elément H C Notation symbolique 1 1 12 6 16 8 electronégativité 2,2 2,5 3,4 H C S O 32 16 Cl S Fe 35, 5 17 Cl 3,2 56 26 Fe Exercice 2 : Datation des objets au carbone 14 /6 (20 min) Un vase brisé par ci, un pharaon dans son sarcophage par là… Comment les archéologues font-ils pour connaître

| | | | |de 1 à 4 | | | | | |Electronégativité | | | | | |croissante de 1 à 4 | | | |

Zeff & r 6.5.1, 6.5.2 (pas 6.5.3) p.50 D&R (haut) #1 à 8 (mole) 6.22, 6.23, 6.25 3 Énergie d’ionisation (début) 6.6 4 Énergie d’ionisation (fin) Affinité électronique 6.7 6.32, 6.34 à 6.37 6.40, 6.45, 6.87, 6.90, 6.91 5 Électronégativité 6.8 6.46, 6.47 6 Oxydoréduction Combustion complète 2.7, 3.4.1 (méthode par tâtonnement seulement) 2.23 à 2.26 p.50 D&R Section II 7 États éléments du tableau pér. à 25oC 6.9, 6.9.1 6.49, 6.50, 2.17 8 Liaison métallique Propriétés

| |Volume molaire |17,36×10-3 m3·mol-1 | |Vitesse du son |317 m·s-1 à 20 °C,5 | |Divers | |Électronégativité (Pauling) |3,44 | |Chaleur massique |920 J·kg-1·K-1 | |Conductivité thermique |0,02674 W·m-1·K-1 | |Énergies d'ionisation[4]

Générale [42H C+28H TD+20H TP] Atomistique : structure électronique des atomes et caractérisation, théorie classique et ondulatoire, tableau périodique : classification et propriétés des éléments (potentiel d’ionisation, affinité électronique, électronégativité, polarisation,…), liaison chimique (structure de Lewis, théorie des orbitales moléculaires : molécules diatomique, polyatomiques, géomètrie des molécules, hybridation). Réaction chimique: Thermodynamique chimique (premier et deuxième principe

Présentation PowerPoint1 • Electronégativité () : capacité d’un atome à attirer les électrons • La différence d’électronégativité entre atomes engendre la polarisation d’une liaison. L’atome le plus électronégatif attire vers lui les électrons de la liaison, on lui attribue une charge partielle négative (-). Il en résulte une charge partielle + sur l’autre atome de la liaison. 2 XY atome + électronégatif Exemple : 1. Polarisation des liaisons covalentes Chapitre 5 • Effet inductif :

Hyperpolarisation et dépolarisation du potentiel de membrane Lorsque le neurone est en état de repos, on dit que ce neurone est polarisé. L’hyperpolarisation se rapporte à des augmentations (dans la négativité) du potentiel de membrane CàD une plus grande électronégativité de ce potentiel suite à des stimuli hyperpolarisants. Schéma explication 1 : Quand on présente une série de stimuli hyperpolarisants d’amplitude croissante l’axone fournit des réponses hyper polarisées qui sont d’amplitude croissante. Ces