Encyclique

comme dans l’autre, le mythe de Prométhée, souvent lié à la science, me semble avoir passablement de poids. On peut comprendre son importance dans le discours social actuel. Le philosophe Dominique Lecourt rappelle que Jean-Paul II, dans la Lettre encyclique de mars 1995 intitulée L’Évangile de la vie, dénonce ce qu’il nomme «les nouvelles menaces» qui pèsent sur la vie humaine (il donne comme exemple la contraception, l’avortement, la procréation assistée, l’euthanasie, etc.) S’en prenant en particulier

2266 du catéchisme on peut lire qu’il faut «sévir par des peines proportionnées à la gravité du délit, sans exclure dans les cas d’une extrême gravité la peine de mort». M. Bureau eut même pu citer la parole de Jean-Paul II lui-même. Dans sa lettre encyclique Evangelium vitae du 25 mars 1995, le souverain pontife affirme que “la nécessité de mettre l’agresseur en condition de ne pas nuire comporte parfois sa suppression”, même dans le cas où cet agresseur “ne serait pas moralement responsable par défaut

l’euthanasie est en opposition directe avec le 5ème commandement : « Tu ne tueras point » (Exode XX/13). En conséquence, toute forme d’euthanasie est prohibée. Le pape Jean-Paul II rappelle aussi l’opinion du catholicisme sur ce sujet dans la lettre encyclique Evangelium vitae n°73 (Evangile de la vie) : « … l’euthanasie est donc un crime qu’aucune loi humaine ne peut prétendre légitimer. Des lois de cette nature, non seulement ne créent aucune obligation pour la conscience, mais elles entraînent une

pour améliorer la beauté des célébrations et promouvoir l'adoration eucharistique, pour encourager une solidarité active qui, à partir de l'Eucharistie, rejoint les plus nécessiteux. Il est enfin nécessaire de mentionner l'importance de la dernière Encyclique de mon vénéré prédécesseur, Ecclesia de Eucharistia, (9) par laquelle il nous a laissé une référence magistérielle sûre concernant la doctrine eucharistique et un ultime témoignage sur la place centrale que ce divin Sacrement occupait dans son existence

l’origine une revue philosophique catholique et progressiste favorable à la démocratie. Ce mouvement se situe dans le prolongement du Rerum Novarum qui établit une doctrine progressiste de l’église catholique à partir de la fin du 19ème siècle.(encyclique de Léon XIII en 1891). “Jeune République” fut créée en 1912 par Marc Sangnier, quand le pape Pie X ne reconnut pas le Sillon comme étant un véritable mouvement catholique, du fait que ce mouvement chrétien mais aussi républicain était trop en désaccord

la lbté syndicale. En 1864 : /s Napoléon, loi abrogeant le délit de coalit° lorsqu’il y ait pratiqué la grève, + qu’1faute civ. En 1874 : loi encadrant le W des fe/enfants. Intervent° de l’Eg. catho, en 1891 : Pape Léon XIII « rerum novarum » : encyclique affirmant lintervent° de l’Eg. en matière soc. En 1895 : créat° de la Confédérat° gLe du W (CGT). II. La maturité Années 36 et le Front populaire aident à l’apparit° du dt du W. De nbreux txts vont ê adoptés durant 36 pour améliorer

entre tous selon les besoins de chacun » (Ac 2, 44-45). En réalité, l’unité était un moyen pour eux de consolider leurs liens fraternels, malgré leur différence. De plus, l’unité a été voulue par Dieu. C’est pourquoi Jean Paul II dans son encyclique « Ut unum sint » insiste pour que se maintienne jusqu’à la consommation des siècles cette unité et que ce qui était divisé ne fasse désormais qu’un (Ep 2, 14-16)[7]. Par ailleurs, l’unité seule ne suffit pas pour confirmer l’appartenance

écologie et sensibiliser les gens à la protection de l'environnement. Je vais vous donner quelques exemples :Tout d’abord, en 2015, il a publié une encyclique du nom de “Laudato si”. Le titre de cette encyclique vient des paroles de François d’Assise “loué sois tu” qui nous font référence à la création et notre responsabilité envers elle. Dans cette encyclique, il veut nous faire part de sa préoccupation face à la crise environnementale. Il y traite la relation entre l’humanité et la création, il souligne

La solidaritéL’enseignement social catholique proclame que nous sommes les gardiens de nos frères et de nos sœurs ou qu’ils se trouvent. Puisque le pape Jean xxiii rédige cette encyclique dans un contexte d’après-guerre, il parcourt cette notion sur l’échange et collaboration, sur l’accueil des réfugiés politiques et sur le désarmement.1. Les échanges et collaborationsJean XXIII pense que les échanges et collaborations seraient bénéfique

de ces différentes encycliques. Encyclique « Rerum novarum » des choses nouvelles est publiée le 15 mai 1891 par Léon XIII. C’est le texte inaugural de la doctrine social de l’Eglise. Condamnation de la misère et de la pauvreté, du socialisme athée, du capitalisme. Encouragement au syndicalisme chrétien et au catholicisme social (Utilisation des thèses de l’Union de Friburg qui réunit l’ensemble des penseurs européens du christianisme social de cette époque). Encyclique « Au milieu des sollicitudes »