Finalisme

l’obscurité dont le jeu normal de la vie sociale les couvre. 12 Université Virtuelle du SENEGAL – Support de cours version imprimable VERSION 1.0 Octobre 2014 SOC LICENCE 1 SUPPORT DE COURS UVS 2014 Peut on leur reprocher leur finalisme et leur normativisme qui sont présents chez tous ces auteurs ? Nous pouvons considérer que ce sont ces deux entraves qui ont permis le progrès même de la connaissance sociale car il a fallu ces objectifs et ces besoins pour susciter les interrogations

ce qui accapare le souci et l'attention des autres hommes. Note : la distinction stoïcienne entre les choses qui dépendent de nous et celles qui n'en dépendent pas prend sens sur le fond du panthéisme stoïcien, qui concilie un matérialisme et un finalisme providentialiste. Les stoïciens croient à l'existence d'un Dieu qu'ils appellent le logos; c'est la raison au sens double de principe d'ordre unifiant l'univers, et de faculté de juger exprimant la participation de l'homme à la raison universelle

accrocher des droits de l’individu et la structure sociale disparait. Ce sont deux système négatifs trahissant l’inquiétude foncière des esprits qui l’on conçut. Quoi que l’on puisse penser de cette philosophie elle évoque invinciblement malgré le finalisme et l’optimisme apparent de Sieyès le reproche qu’Aristote articulait jadis contre l’atomisme de démocratie : c’est une doctrine sombre d’où l’idée d’ordre est absente. Tel est au fond le reproche d’Hauriou a Duguit. L es critiques qu’il formule

être. D'autant que , on retrouve au final dans ces diff théories , une sorte de déterminisme qui nous ramène au droit naturel . «  Il y a des lois aussi déterminées pour le dvp de l’espèce humaine que pour la chute des pierres » auguste comte = finalisme qui ns ramène au droit naturel . Même si on prend le matérialisme historique de Marx, il y a du droit naturel car objectif de lutter dans une société sans classe et il n 'y aurait plus besoin de roi . 2§ Réponses modérées Deux tentatives

l’enfant (obstacles psychogénétiques) : La pensée de l’enfant est égocentrique, aussi considère-t-il que les phénomènes sont provoqués par des causes artificielles et non naturelles (artificialisme) ; il confond le but et la conséquence des faits (finalisme), il ne distingue pas l’inerte du vivant (animisme), il pense que l’Homme est l’élément central de l’univers (anthropomorphisme). Ces mentalités font obstacle à l’acquisition de l’objectivité. La pensée de l’enfant est également syncrétique, lui

légitimité de la règle. On ne peut pas admettre de manière absolue qu’une pratique est légitime si elle est répandue. * La 2ème est d’expliquer pourquoi il y a, dans ces analyses positivistes, une forme de déterminisme. Il y a une forme de finalisme et donc une forme de Droit naturel. II. Les réponses modérées A. L’aménagement de la conception idéaliste Il s’agit d’atténuer la rigueur des thèses classiques du Droit naturel de plusieurs manières : d’abord on peut se référer au

ce qui accapare le souci et l'attention des autres hommes.Note : la distinction stoïcienne entre les choses qui dépendent de nous et celles qui n'en dépendent pas prend sens sur le fond du panthéisme stoïcien, qui concilie un matérialisme et un finalisme providentialiste. Les stoïciens croient à l'existence d'un Dieu qu'ils appellent le logos; c'est la raison au sens double de principe d'ordre unifiant l'univers, et de faculté de juger exprimant la participation de l'homme à la raison universelle

termine sur remise en cause de la raison. Si je prends pour point de départ la sensation pour connaitre, forcément je suis dogmatique (inconséquent avec eux même, impossible de poser des principes). Citation 3 : opposition entre le nominalisme et le finalisme. Quand on construit des définitions, on ne l’éclaire pas, on rajoute des difficultés.=> dans la pensée dogmatique, quelque chose est dit sur l’importance du langage. Le dogmatique invente des concepts à partir de rien. La création est comprise comme

philosophique Le vivant a aussi inspiré la réflexion philosophique qui a permis de montrer les différentes conceptions philosophiques du vivant que sont le finalisme, le mécanisme, et le vitalisme. 1/ Le finalisme Le finalisme est chronologiquement, la première conception philosophique qui va émerger à propos du vivant. Selon le finalisme , chaque organe aurait une fonction  spécifique à lui, qui lui serait assignée (l’œil serait fait pour voir, le cœur qui aurait pour finalité de distribuer

existence est possible dans la mesure où Whitney substitue pratiquement, à une problématique de la légitimité et du fondement, une réflexion d'un autre ordre, qui ressortit à l'histoire. C'est une histoire conçue comme développement ouvert et sans finalisme. Elle est donc en rupture avec les conceptions organicistes qui prévalaient encore à l'époque de Whitney et amenaient à ne pouvoir envi sager la vie des langues que comme la pleine actualisation d'un patron pré conçu, se révélant à lui-même dans