Friedberg Le Pouvoir Et La Règle

identités numériques… Il s’agira de donner des « coups de projecteur » sur quelques notions essentielles que l’on rencontre souvent dans ce domaine d’analyse, comme la « rationalité », la « bureaucratie », l’« organisation », la « stratégie », le « pouvoir », le « jeu »... Nous proposons, en première approximation, de définir l’organisation comme une manière collective d’atteindre un objectif déterminé. L’organisation apparaît ainsi comme une coopération et/ou une subordination finalisée(s). Cette

Les enjeux du pouvoir | | | | | | | | Sommaire Définition du POUVOIR : 3 Distinction entre : Pouvoir & autorité 6 Caractéristiques du POUVOIR : 7 Les sources du pouvoir 7 L’enjeu du pouvoir ? 12 Acquisition et perpétuation du pouvoir 13 Définition du POUVOIR : Le mot «pouvoir » en français signifie à la fois le nom «pouvoir » et le verbe «pouvoir » ou «être capable » (Encyclopédia Universalis, 1993). Avoir le pouvoir revient à être capable

l’attention au contexte, et en premier lieu au contexte culturel, au sein duquel les stratégies des acteurs prennent sens et se déploient. À la suite d’une évolution progressive (Crozier et Friedberg, 1977 ; Friedberg, 1993 ; Crozier, 1994), qui paraît s’être radicalisée au cours de ces dernières années (Friedberg, 2000), cet intérêt pour la culture s’est largement dissipé parmi les tenants de l’analyse stratégique, au point de laisser parfois la place à un anticulturalisme militant (1). Il nous semble

sociales et de gestion (FUNDP) 1. Objet et de la thèse L’objet de la thèse est le « Knowledge Management » envisagé sous l’angle de sa construction et de son appropriation par les milieux organisés. En référence aux travaux de Crozier et Friedberg[1] et à ceux de Berger et Luckmann[2], le postulat de départ est que le « Knowledge Management » est un phénomène organisationnel qui est un construit. La thèse se situe donc dans le cadre de la perspective constructiviste qui souligne le caractère

manufacture. Ils sont affectés de manière fixe à un atelier et doivent s’occuper de l’entretien et des petites réparations de trois machines. CD-Rom À la recherche de l’organisation. Approches sociologiques, sous la direction scientifique de Ehrhard Friedberg, revue Sciences Humaines, 2002. 1. Quels éléments montrent que le SEITA est une organisation bureaucratique ? 2. Construisez un organigramme représentant les relations hiérarchiques entre les différentes catégories de personnel des ateliers

|L’analyse stratégique des pouvoirs | |Crozier & Friedberg | [pic] Gazi ISLAM & Patrick FAVRE 2013 | Définition des principaux concepts

• Michel Crozier et Erhard Friedberg, L'acteur et le système : Les contraintes de l'action collective, Paris, Seuil, 1992  • Erhard Friedberg, Le pouvoir et la règle, Paris, Seuil, 1993  • Eugène Enriquez, De la horde à l'état : Essai de psychanalyse du lien social, Gallimard, 2003 (réed.)  • Michel Liu, Fondements et pratiques de la recherche-action, Paris, L'Harmattan, 350 p. (ISBN 19972738457800 et 9782738457806)  • Henri Mintzberg, Le pouvoir dans les organisations, Paris

EVOLUTION DU CONCEPT DE POUVOIR A - POUVOIR ET AUTORITE A-1- Organigramme ou structure pyramidale A-2- Autorité et hiérarchie A-2-1- management et intégration B- LE POUVOIR, UNE NOTION DICHOTOMIQUE B-1- Quelques définitions du pouvoir B-1-1-Le pouvoir du point de vue de l’acteur B-1-2- Le pouvoir du point de vue de l’organisation B-1-3 Pouvoir et influence

certains concepts sociologiques dans l’approche gestionnaire facilite l’action dans les organisations. Définition du pouvoir suivant Weber ( 1971 ) le pouvoir de A sur B est la capacité d’obtenir que B fasse quelque chose qu’il n’aurait pas fait sans l’intervention de A. La source du pouvoir dans ce cas là est la légitimité. Selon cet auteur les individus acceptent la notion de pouvoir d’un autre individu pour différentes raisons plus ou moins rationnelles. Différent types de légitimité : - rationnelle

à la notion de pouvoir, à ce qui dépend de notre pouvoir, à notre capacité de choisir et de juger. En un second sens, l’autonomie est une relation : l’autonomie des uns suppose sa reconnaissance par les autres ; l’autonomie implique alors la réciprocité et le partage de cet idéal ou la soumission à cette valeur. Mais cette obéissance consentie est à son tour la condition de notre liberté ; l’autonomie comporte bien deux facettes indissociables, la liberté et la soumission à la règle qui lui est extérieure