Gorgias La Liberté

QUE L’ON VEUT ?INTRODUCTION Le terme liberté est un mot qui suscite l’enthousiasme, l’adhésion. C’est une valeur pour laquelle des hommes se sont battus et sont morts; et nul ne conteste qu’il vaut mieux être libre qu’esclave ou prisonnier. Mais  ce sujet propose une vision spontanée de la liberté. La liberté, en ce sens, ce serait quand mon désir et ma volonté ne rencontrent pas de limites.Positivement,  la liberté  ce serait faire tout  ce que l’on

compétence (…), où les obéissants apprécient les compétences, choisissent les compétents et décident leur obéir (…) », il en déduit que les citoyens d’une démocratie sont nécessairement libre (d’obéir ou non), rationnels (puisqu’ils usent de leur liberté pour faire les meilleurs choix) et finalisés (puisque leurs meilleurs choix sont les fins qu’ils poursuivent en commun). Si la démocratie doit être le régime naturel de l’homme, il faut montrer que l’espèce humaine inclut ces critères dans sa définition

parce qu’ils considèrent que pour être un bon homme politique, il faut avoir un certain nombre de savoirs. Ce ne sont pas des philosophes, des chercheurs de vérité. Ils ne sont pas des hommes de science mais des pédagogues = Protagoras, Hippias, Gorgias. Ils sont étrangers, ils habitent Athènes certes, mais ils ont toujours été à l’étranger. Voilà des hommes qui vont apporter une conception nouvelle. Puisque les hommes ont différente culture, ils ne sont pas déterminés par dieu. Ca veut donc dire

l'expose de Lysias les deux discours de Socrate : il nous montre a l'ceuvre un debat oratoire, de genre rhetorique par excellence. Mais a ce genre apprecie par les sophistes, et et Protagoras, Socrate prefere lamethode particulierement par Gorgias des questions et reponses, et il nous en fournit la raison dans dialectique un passage de la au discours de Thra Kepublique (348 a-b). En reponse sur le symaque grand nombre de biens que procure Pinjustice, Socrate nos forces, nous lui :

introduction sur la liberté ?On peut comprendre la liberté comme la possibilité de faire ce que l'on veut et non ce que veut l'autre de nous. Être libre consiste à agir suivant notre volonté, à agir donc indépendamment de toute pression étrangère, c'est justement là toute la complexité du problème de la liberté.Sujet 1 - L'homme est-il condamné à être libre ?Sujet 2 - « La liberté est le bien suprême pour ceux-là seuls qu'anime la volonté d'être hérétiques »Sujet 3 - La liberté et le libre arbitreSujet

L’usurpateur se fait passer pour un autre. Il joue avec les apparences, simule les compétences pour prendre la place légitimement convoitée par d’autres et sait au besoin discréditer la compétence des autres pour assurer sa propre promotion. Dans le Gorgias, Platon donne la parole au maître de rhétorique et passe en revue toutes les techniques de persuasion qui permettent de prendre l’avantage sur des concurrents lors qu’il s’agit de convaincre une foule ignorante. C’est la célèbre critique des sophistes

Arendt àa développé cette conception dans son ouvrage intitulé La Condition de l’homme moderne, en opposant la liberté de l’artisan et la soumission du travailleur. (Cf cours sur le travail et sur la liberté.) Sans compter qu’avec le machinisme, l’homme ne réalise qu’un élément de l’objet comme en témoigne le travail à la chaîne. Cf : cours sur le travail Cf : cours sur la liberté V°/ Se rendre maître et possesseur de la nature A partir du moment où l’homme a voulu expliquer la nature, où

 ». Cela montre bien que le désir d’impossible est un moteur et qu’il permet de progresser. On le voit par exemple avec les philosophes des Lumières, tels que Voltaire ou Montesquieu, qui grâce à leur idéal politique basé sur l’égalité et sur la liberté, ont conduit à la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789, et la révolution française, qui fut un bouleversement et s’est produite à partir de leurs idées. Ou plus récemment, alors que Martin Luther King rêvait en 1963 d’un monde où

Prenons un peu de recul : « bien vivre » renvoie au champ pratique, mais, plus précisément : est-ce une technique empirique, une routine (tribè), ou plutôt un art au sens de savoir-faire (technè, si l’on reprend l’opposition présentée notamment dans le Gorgias) ? A moins que « Bien vivre » soit l’objet d’une sorte de casuistique personnelle ? Ou l’objet d’une science à part entière ? 2 Je propose de partir d’un texte décapant : un extrait de la préface de Par-delà bien et mal : TEXTE n°1 : Par-delà bien

qui se traduit par « technique, art oratoire », et désigne au sens propre « l'art de bien parler », d'après le nom rhêtôr, « orateur ». Elle est née au ve siècle av. J.-C. en Sicile, selon la légende, puis fut introduite à Athènes par le sophiste Gorgias, où elle se développa dans les activités judiciaires et politiques. La rhétorique est à la fois la science (au sens d'étude structurée) et l'art (au sens de pratique reposant sur un savoir éprouvé, une technique) qui se rapporte à l'action du discours