Hegel Imitation De La Nature

début, le souci de la beauté est présent. La beauté est à l'artiste ce que la vérité est au philosophe. L'adjectif «esthétique» (ce qui est sensible au sens) est synonyme de beauté. En outre, la laideur lorsqu'elle est peinte cesse d'être laide (natures mortes). «Il n'est point de serpents ni de monstres odieux Qui par l'art imité ne puisse plaire aux yeux» Boileau La forme sublime le contenu, prime sur le fond. Néanmoins, critère de beauté ne peut être retenu pleinement. D'abord pcq la beauté

la vie-c’est-à-dire philosopher- sans méditer sa brieveté, sa précarité, sa fragilité ? Tout être vivant est mortel et que nul ne peut vivre ou pérsevérer dans son être sans resister aussi à cette mort qui de partout l’assaille ou le menace ? La nature est plus forte que nous. Vivre c’est combattre, résister, survivre et nul ne le peut indéfiniment. On voudrait qu’il y ait une vie après la mort, parce que cela seul nous permettrait de répondre absolument à la question qui la concerne. Mais la

conceptuel à la fois - que Hegel le premier aperçut dans son Cours d’esthétique des années 1820, moment qui consiste en une indétermination croissante de l’essence de l’art, une désessentialisation de l’art et ce qu’un philosophe et critique d’art américain (Harold Rosenberg) a appelé une dé-définition de l’art. Nous vivrions ainsi à l’époque d’un brouillage conceptuel de ce que nous nommons art, d’une opacification de sa vocation ou de sa fonction, d’une indétermination de sa nature, de ses opérations du

engendre une modification moins circonstancielle, moins épisodique de notre rapport à la réalité ? Ce serait reconnaître que l’art modifie la qualité et la nature même de notre rapport à la réalité. Il faut dans ce cas envisager le terme “ art ” en un sens plus large, désignant toute production humaine, par opposition aux produits de la nature. Le processus technique de fabrication n’est pas simplement un gain d’avoir (on fabrique une table pour avoir une table, par exemple) ; il est aussi un gain

collective, tandis que d’autres œuvres tombent dans l’oubli. Tout ce passe donc comme s’il existait un consensus autour de ces grandes œuvres, et que celui-ci était fondé sur une évidence, une objectivité, ou un critère indiscutable. Alors même que, par nature, ces œuvres étant irréductibles à leur technicité ou à une quelconque utilité, elles demeurent alors objet du plaisir esthétique. Comment justifier alors une telle hiérarchisation classique de l’art ? C’est à partir de cette difficulté du jugement

L’homme est ‘’homo faber’’ : celui qui fabrique des outils. La nature quand a elle, désigne au sens large ce qui existe indépendamment de l’action humaine, ce qui n’a pas été transformé. Naturel s’oppose alors à artificiel ou culturel. Aristote définit la nature comme ce qui possède en soi-même le principe de son propre mouvement, autrement dit comme ce qui possède une spontanéité autonome de développement. Enfin la technique représente la manifestation du pouvoir qu’a l’homme de produire les conditions

Devoir de Philosophie sur les mémoires de victor de l'Aveyron 1)Jacques Itard est face à un enfant sauvage nommé Victor de l'Aveyron, qui a passé toute son enfance dans le pur etat de nature, seul hors civilisation. Jacques Itard se donne comme objectif ambitieux d'assurer le developpement moral et physique de l'enfant à l'aide de la médecine et la phylosophie. Si ce premier objectif échoue, J.Itard se donne comme second objectif de déterminer ce qu'il est et ce qu'il lui manque. Il veut donc

dans la polysémie du terme culture qui désigne d'une part l'ensemble des activités comme l'art, la culture, la religion, le travail et la technique qui permettent à l'homme d'adapter la nature afin de pouvoir y vivre ;et d'autre part la culture désigne tout ce qui ne relève pas de l'inné et ne provient pas de la nature mais au contraire tout ce que l'homme s'ajoute à lui même afin de satisfaire ses désirs et afin de s'hummaniser librement . Puisqu'on ne naît pas homme ,on le devient. Ceci nous amène

l’insatisfaction, de la mélancolie se voit à travers la peinture avec notamment Gaspard Friedrich, sentiment de la nature, de l’homme perdu dans la nature, confrontation à la nature c’est aussi confrontation à l’infini. Aussi Dieu pressenti à travers la nature. Idée que nature est à la fois « mère et marâtre » (Design), la nature protège mais aussi temporalité, le temps qui tue. Nature est à la fois miroir de l’homme, lui confère sentiment d’éternité qui parfois l’aspire et l’exclu. Stylistiquement

et le sonnet ouvrent un nouvel espace formel à l’expression lyrique. Ronsard célèbre en 1550 “l’heureuse félicité de la vie”. La ferveur panthéiste et l’influence pétrarquiste le conduisent à multiplier les correspondances entre les beautés de la nature et celles de la femme aimée. Les anciens schémas de la poésie courtoise cèdent peu à peu le pas à une inspiration plus familière. Mais l’époque classique interrompt cette floraison. En valorisant la figure de “l’honnête homme” et en privilégiant les