Immanence

conscience (raison pratique) ou son expérience, sa connaissance, le force à ne pas le faire (inconnu chez l'animal !) → grâce à cette raison, l'homme réfléchi, se connaît et onstruit sa vision du monde comme il veut alors que l'animal le subit (immanence de l'animal par opposition à la transcendance de l'homme). L'animal est doué d'instinct, non d'intelligence l'homme cache une consience permettant de mettre en relation le monde extérieur avec sa propre réalité et de les réflechir, c'est

à la différence du meurtre d'un préfet de Corse. L'intérêt d'un fait divers réside dans son immanence, son immédiateté. « Il contient en soi tout son savoir, nous dit Barthes (...) il ne renvoie formellement à rien d'autre qu'à lui-même (...) au niveau de la lecture, tout est donné dans un fait divers (...) il constitue un être immédiat, total, qui ne renvoie à rien d'implicite (...) C'est son immanence qui définit le fait divers. » Nous avons ainsi affaire à une structure fermée qui s'apparente

concevoir un monde de l’immanence, c’est-à-dire dont le principe est contenu dans la chose- même, et en même temps de l’idéalité, c’est-à dire qui ne serait que relatif à l’esprit. La notion de chair, de corps voyant, récuse l’opposition de l’en-soi (immanence) et du pour-soi (idéalisme). Le voyant ne s’approprie pas ce qu’il voit, de même que le monde n’est pas en soi. b- Les paradoxes du corps  voyant et visible  : «  le monde est fait de l’étoffe même du corps » Cette « énigme » (paradoxe) vient

l’existence d’une panoplie de méthodes destinées aussi bien aux textes oraux qu’aux textes écrits. Il y a les approches formalistes qui, pour comprendre le texte ne l’étudient que d’une façon exclusive, c’est-à-dire qu’il n’est compris que dans son immanence. Pour d’autres approches comme celles génétiques ou encore historiques on ne peut comprendre le texte qu’en le référant à son contexte, c’est-à-dire à son origine, à la société qui l’a généré. C’est dans ces approches parfois tranchées que de véritables

n’a pas de but ; seul reste la transcendance). Dieu forme un esprit unique et surpuissant. * Pour Luc Ferry, il y a une morale intérieure basée sur l’autoréflexion et sur la conscience de soi. * Transcendance : ce qui dépasse la Nature / Immanence : ce qui est dans la Nature * Le christianisme va apporter l’idée que l’humanité est unie et égale en dignité. Ce ne sont plus les dons qui sont biens ou mauvais, mais ce qu’on en fait (action morale ou immorale). La liberté, et non la nature

impénétrable? "Je parle d'un art plus sacré, de celui qui, selon la formule des Anciens, est un instrument des dieux, un héraut des mystères divins, le découvreurs des idées; de la beauté inengendrée dont le rayon non profané n'illumine que par immanence les âmes pures et dont la figure est tout aussi caché et inaccessible aux yeux des sens que celle de la vérité pareil. Rien de ce que la sensibilité plus commune nomme art peut interessé le philosophe: l'art est pour lui en effet un phénomène nécéssaire

d’architecture. En effet, on peut se demander si l’on peut la définir comme un art autographique ou allographique, selon la distinction faite par le philosophe américain Nelson Goodman dans Langage de l‘Art. D’abord l’œuvre architecturale détiendrait une immanence physique unique et pourrait donc avoir une contrefaçon. Mais si au contraire on considère que l’architecture est un art allographique, liée de la musique ou de la littérature, dans ce cas, il ne peut y avoir de contrefaçon dans la mesure où avec

table d’émeraude attribuée à Hermès Trismégiste: « tout ce qui est en haut et comme ce qui est en bas et tout ce qui est en bas et comme tout ce qui est en haut pour accomplir le miracle de l’unité » qui est la pierre angulaire, l’arche d’alliance entre immanence et transcendance pour accomplir le miracle de notre mariage fusionnel au Tout. Nous pouvons en déduire qu’une certaine connaissance du monde intelligible passe par la connaissance de notre monde intérieur inexploré et, inversement l’Univers

par lequel la pensée s’organise. Ce qui est libre est d’abord la cité et on est libre par son statut social (/= de esclave). 2)La conscience de soi comme sujet : notion de créature. Si on rapporte son existence propre non plus à une certaine immanence du groupe, ce n’est pas pour autant que la notion de sujet va apparaitre. Mais vient la notion de transcendance, qu’elle relève d’un sujet absolu (dieu) , ou d’une forme intelligibles (Platon et ses idées transcendantes) Donc il ne suffit pas de

vie. A- Des dieux vengeurs : symboles de l’injustice du sort : Dans un premier temps, les Dieux symbolisent et expliquent les souffrances cruelles que les hommes subissent tout au long de leur vie. On peut dire qu’il s’agit de la preuve de leur immanence. En effet, chaque tempête subie par Ulysse devient la preuve de la haine de Poséidon à son égard. C’est Poséidon qui incarne la vengeance et seul la peur de Zeus va permettre à Ulysse de rentrer chez lui sain et sauf. Mais en échange, Zeus accepte