Immanence

vu de deux manières : comme le caractère relationnel d’une « combinaison créative » si évidente dans la cosmogonie des kami (relations interpersonnelles), et comme une intimation du processus sous-jacent du Musubi lui-même, si immédiat dans son immanence primordial qu’il se positionne au-delà de toute « connaissance ». Après tout, comme l’a dit le prêtre Ochiai, « Kami n’est qu’un mot, personne ne sait ce qu’est le véritable Kami - c’en est le mystère qui est le plus important». Ainsi le

Il ne s’agit plus de se limiter à accepter le contenu du texte, mais d’une véritable confrontation avec le discours. Mme Larche Mochel insiste sur le côté captivant, dans tous les sens du terme, de cette méthode exigeante. Principes de base. immanence : on n’utilise que ce qu’il y a dans le texte, c’est à dire ce qui est dit, pas ce que l’auteur a pu vouloir dire. postulat structural : le sens d’un texte apparaît à travers des oppositions, telles que malade/guéri, et de la répétition de différents

Hary-Schaeffer(Claude), La Transfiguration du banal - Une philosophie de l’art, Paris, Le Seuil, coll. Poétique, 1989, 330 p. Françoise Chaudenson, À qui appartient l'œuvre d'art ?, Paris, Armand Colin, 2007, 309 p. Genette (Gérard), L’œuvre de l’art. Immanence et transcendance, Paris, Le Seuil, coll. Poétique, 1994, 301 p. Haar (Michel), L’œuvre d'art: essai sur l'ontologie des œuvres, Paris, Hatier, 1994, 79 p. Dallet (Sylvie), Chapouthier (Georges) et Noel (Emile)(sous la direction de), La création –définitions

Hary-Schaeffer(Claude), La Transfiguration du banal - Une philosophie de l’art, Paris, Le Seuil, coll. Poétique, 1989, 330 p. Françoise Chaudenson, À qui appartient l'œuvre d'art ?, Paris, Armand Colin, 2007, 309 p. Genette (Gérard), L’œuvre de l’art. Immanence et transcendance, Paris, Le Seuil, coll. Poétique, 1994, 301 p. Haar (Michel), L’œuvre d'art: essai sur l'ontologie des œuvres, Paris, Hatier, 1994, 79 p. Dallet (Sylvie), Chapouthier (Georges) et Noel (Emile)(sous la direction de), La création –définitions

Anciens et des Modernes (même si a priori une querelle littéraire et non philosophique) Analyse et synthèse (accumulation et discrimination, réductionnisme et holisme, description et prescription, synchronie et diachronie), objets et choses : Latour Immanence et transcendance Idéalisme et matérialisme Être et néant (positivisme et dialectique) Objectivisme et subjectivisme, absolutisme (universalisme) et relativisme : horizon, Hume, Kierkegaard, Heisenberg Logos et praxis : Marx, Sartre Logos et

la représentation d' un objet absent ou inexistant. H. L image mentale. L image mentale vise une chose réelle, qui existe parmi d' autres, dans le mo de de la perception , mais elle la vise a travers un contenu psychique. L impulsion d' immanence consiste a transférer au contenu psychique transcendant l extériorité, la spatialité et toutes les qualités sensibles de la chose.     II deuxième partie: le probable.  Nature de l analogon dans l imagerie mentale A. Le savoir.  "La

la Nature (« Deus sive Natura »). Comment caractériser cette existence nécessaire, appelée Dieu, substance, cause de soi ? Proposition 15, Livre I : « Tout ce qui est, est en Dieu et rien ne peut sans Dieu ni être conçu ». Immanence Transcendance Immanence : idée que la réalité s’explique à partir d’elle-même, en elle-même. Transcendance : poser un être, une réalité extérieur et supérieur au monde. Si la nature est une expression de Dieu, alors elle est parfaite, le mal prend alors l’origine

nous croyons le centre. Dieu doit être considéré comme un être immanent, Spinoza récuse une conception de Dieu transcendant. · Transcendance divine = à l’ext de => dieu antérieur et ext à la création (peuple juif dans la Torah) · Immanence divine = dieu est partout, à l’intérieur de la création = panthéismeEnsemble des lois qui rend compte des phénomènes => Dieu est une lumière naturelle qu’on devrait s’attacher à comprendre.Finalisme = L’Ethique

déplorant un pouvoir que les faibles exercent... pour la seule raison qu’ils sont momentanément les plus forts. On comprend ainsi que ce n’est pas du tout de la nature qu’il parle : devant être imposée d’une manière volontaire et non par la seule immanence de sa nécessité, cette " nature " est en réalité purement idéologique, comme à chaque fois qu’on veut y voir un modèle. Dès lors, la vérité de son argumentation apparaît à la fin du texte : il veut seulement un maître, grâce auquel il sera enfin

s'engluer dans des accords, ni s'enliser dans des vertus, ni s'entraver dans des succès. Ces quatre « sans » correspondent à la nourriture du ciel ; cette nourriture consiste à se débarrasser de tous les plus qui forcent la vie pour la rendre à son immanence. Dans le vouloir, la motivation est à mes dépens, c'est à ma vitalité de fournir l'aliment de mon désir ; au contraire, en me libérant de ma perspective individuelle, c'est le ressort « du ciel » en moi, la processivité naturelle qui s'exprime et