Immanence

retranscription textuelle s’intitule, la conscience et la vie, le titre de l’extrait du paragraphe que nous étudions est l’activité créatrice. Trois titres avec lesquels nous pouvons d’emblé de jeux supposer que Bergson dispose l’homme à une certaine immanence au sein de son activité. De quelle manière l’homme est-il disposé à tirer de lui même plus qu’il ne comporte? Rappelons tout d’abord les grandes lignes que Bergson à avancé avant d’arriver à ce texte qui sera clé de la compréhension de l’ensemble

une essence) et formant le fondement du monde phénoménal ; elle pose des structures duelles du réel : être/devenir, transcendance/immanence,essence/être, apparence/être.) » Pensée statique (entité/objet/étant) alors que les autres ontologies sont processuelles. Pensée discrète qui fonctionne selon des oppositions : matériel/spirituel, être/devenir, transcendance/immanence, essence/existence etc. Mais : l’ontologie n’est pas un trait culturel universel : il existe des cosmologies sans ontologie

nous invite alors à passer sur l’autre bord, sur le versant de la transcendance. En approfondissant cette perspective, l’articulation de l’être et du paraître nous conduit à interroger l’homme, dans sa verticalité, dans sa relation au divin, entre immanence et transcendance. De manière plus globale, la relation qui nous occupe, interpelle toutes les disciplines qui traitent des questions cruciales : Qui suis-je ? D’où est-ce que je viens ? Que dois-je faire ? Où vais-je ? A cette énumération, vous

invisible. La vision ne met donc pas « devant l'esprit un tableau ou UNE représentation du monde » en ceci que la vision ne peut être source d’exhaustivité, le tableau rend compte des traces du regard, regard qui se fait furtif et non réfléchi. Immanence : ce qui est existant à l'intérieur même de l'étre, ce qui résulte d ela nature même de l'être et non pas d'une action extérieure ( inhérent ) idéalité : qui est conçu par l'esprit, qui a le caractère d'une idée. Qui existe seulement en tant qu'idée

judicieusement une lecture de La Chute. La vertu de celui-lˆ, du moins, est de mettre en Žvidence le caract•re profanateur de ce rŽcit. Un peu comme on renverse des crucifix en signe de blasph•me, on y joue avec profondeur ˆ inverser haut et bas, immanence et transcendance, crŽation et ŽternitŽ. L Rembrandt, La DŽcollation de saint-Jean-Baptiste. 74 

parce qu’’ils appartiennent à une époque où, avec Nietzsche et Bergson, la conjonction de la vie et de la vérité est devenue prégnante. Le désir d’’être dans la vraie vie, quel que soit le sens qu’’on lui donne, semble lié à une revendication de l’’immanence. L’’envahissement de notre sens commun par l’’obsession de la « vraie vie » a des conditions relatives à l’’histoire de la pensée. Dans une perspective comme celle d’’Hannah Arendt, il marquerait sans doute la réduction périlleuse de l’’existence

.................................. Erreur ! Signet non défini. 16. Psychologie ............................................................................................................ Erreur ! Signet non défini. 17. Réception, production, immanence ....................................................................... Erreur ! Signet non défini. 18. Recueil ................................................................................................................... Erreur ! Signet non

appuyant sur une approche historique et évolutive, nous entendons remonter le temps pour questionner l’Antiquité grecque quant à sa conception de la raison. Nous montrerons par exemple que le sens de la raison se perçoit entre Transcendantalisme et Immanence et que l’idéal de la est celui du progrès de l’humanité. Quant à l’approche évolutive de la raison, nous voulons montrer que la raison connait deux approches dans l’histoire de l’humanité. Avant l’époque Moderne, la raison avait une fonction objective

diction, Éditions du Seuil, collection Poétique, Paris, 1991, 150 pages. o Fiction et diction est réédité avec L'introduction à l'architexte, Éditions du Seuil, collection Points Essais, 2004, 236 pages. • L'Œuvre de l'art, 2 volumes : o 1 : immanence et transcendance, Éditions du Seuil, collection Poétique, Paris, 1994, 299 pages. o 2 : la relation esthétique, Éditions du Seuil, collection Poétique, Paris, 1997, 292 pages. • Métalepse, Éditions du Seuil, collection Poétique, Paris, 2004, 132

suppose que je m’efface => qu’est-ce que serait cet art dont s’est absenté l’homme ? • L’œuvre d’art est toujours comme objet culturel manifestation de notre humanité. L’œuvre d’art projette-t-elle vers le monde ou contient-elle le monde ? Immanence ou transcendance ? Qu’attendons-nous ? • └> Si l’œuvre est un monde en et à elle-même, en tant que totalité infinie, elle conduit au recueillement → contemplation, attirer notre regard, notre pensée, nos sens, notre perception. Dire qu’on est