Impôt

personne) = impôt sur les plus-values 3/5 Vous aurez le choix entre : Payer cet impôt sur les plus-values équivalant à 7,5 %. Ajouter la plus-value réalisée à votre déclaration de revenus. Note : dans la majeure partie des cas, il est plus dans l'intérêt du contribuable de choisir l'imposition à 7,5 %. Si votre assurance vie a été ouverte entre 4 et 8 ans Faites l'opération suivante : 15 % × plus-value retirée = impôt sur les plus-values Vous pouvez : Payer cet impôt de 15 %. Ajouter

revenu de 250 000$ et plus voit 12% partir pour les impôts. C'est 0.5% des contribuables. Alors que ceux faisant 50 000$ et moins qui sont 78% des contribuables, paient seulement 27% de l'impôt. Ce qui est trois fois moins que leur poids démographique. Cette répartition de l'impôt me semble équitable. Même si les riches sont peu nombreux dans la population, il me semble logique qui fournissent plus. Leur revenu est assez élevé que même si les impôts prennent place, ils sont entièrement capable de répondre

maintenue ; -La redistribution à une fonction régulatrice car elle permet d’obtenir une meilleure efficacité économique en soutenant la demande. 2)Les arguments défavorables -D’après les libéraux le niveau des prélèvements est trop élevé ; -Les impôts indirects entrainent une distorsion des prix relatifs, ils faussent le jeu du marché ; -Les allocations peuvent décourager certains individus à travailler ; -La redistribution entraine une perte de compétitivité prix puisqu’elle augmente le coût

fraude fiscale. Toutefois, et en regardant de près ce qui se passe dans la réalité, on s’aperçoit que le sujet de la fraude fiscale demeure encore tabou, et ce pour des raisons socio-économiques. Les citoyens, bien que conscients de l’importance de l’impôt, n’ont pas encore confiance en l’Etat en tant que redistributeur. Aussi, le niveau de qualité des prestations publiques fournies par l’Etat et que le citoyen juge en deçà de ses aspirations, ne fait qu’alimenter la suspicion à l’égard du Fisc. C’est

la Direction Générale des Impôts (DGI), chargée pour le compte de l’Etat et de des collectivités territoriales des tâches d’assiette (qui représentent 80% de l’ensemble des tâches de la Direction), de liquidation et de contrôle des impôts ; Cette dernière gère principalement les impôts directs (IS et IR), la TVA et les droits d’enregistrement et timbres, alors que les impôts indirects ainsi que les droits de douane relèvent de la Direction Générale des Douanes et Impôts Indirects. Une autre administration

et fiscalité, il faut définir : le droit fiscal, c'est l'ensemble des règles juridiques relatives aux impôts. L'existence d'un droit, en tant que discipline juridique, suppose un minimum de cohérence des règles applicables, un système juridique gouverné par de grands principes. Cette deuxième définition permet de douter de l'existence d'un droit fiscal, puisque les règles applicables aux impôts sont extrêmement diverses, et pire, semblent avoir été élaborées sans substrat théoriques, dans le seul

Le Budget De l’Etat I) LES DEPENSES II) LES RECETTES A°) LES RECETTES FISCALES B°)LES IMPOTS DIRECTES C°) LES IMPOTS INDIRECTES III) LES DETTES Le budget de l’État apportera, ces trois prochaines années, une contribution essentielle à l’effort de redressement de nos finances publiques. C’est en poursuivant cet objectif que le Gouvernement a élaboré la programmation des dépenses de l’État pour 2011, 2012 et 2013, la première année de cette programmation constituant le volet « dépenses

TRESORERIE A L’OUVERTURE (5) TRESORERIE A LA CLOTURE (4+5) 9 Les tableaux de flux financiers Le tableau pluriannuel des flux financiers Eléments Production - Consommations intermédiaires = Valeur ajoutée du PCG + Subvention d'exploitation - Impôts, taxes et versements assimilés - Charges de personnel (charges sociales comprises) = Excédent (ou insuffisance) brut d'exploitation (EBE ou IBE) - Variation des stocks = Excédent sur opérations (ESO) + Variation des dettes d'exploitation - Variation

exploitation de la trésorerie SIG TERINE Type Chiffre d’Affaires 40 Consommations matières (18,4) VA - valeur ajoutée 21,6 Impôts et taxes (7,4) Charges de personnel (10,8) EBE - excédent brut d’exploitation 3,4 Dotation aux amortissements (1,4) RE - résultat d’exploitation 2 Charges financières (0,8) Résultat courant avant impôts 1,2 Impôt sur les bénéfices (0,5) RN - résultat net 0,7 Nouvelle présentation de l ‘analyse financière FR BFR Capitaux permanents :

DE MADAGASCAR MEMOIRE DE FIN D’ETUDES PREVISION DES RECETTES FISCALES ET ANALYSE DES RESULTATS SECTION : INSPECTEUR DES IMPOTS Présenté par : RANDRIANANTENAINA Onésime Valentin Elève Inspecteur des impôts Encadré par : Monsieur RAJOELISON Andriamahazomanana Liva Inspecteur des Impôts Direction des études et de la législation fiscale Direction générale des impôts PROMOTION : SANGANY ( 2003 - 2005 ) 2 INTRODUCTION La loi de finances fait l’objet d’une préparation, d’une exécution et