Internationalisation Toyota

leur secteur. Elles peuvent aussi mieux se battre dans un contexte de guerre des prix. Si cette explication peut encore être retenue pour comprendre la poursuite de la concentration à l’abri des frontières nationales (exemple : stratégie récente de Toyota), son inconvénient est qu’elle ne dit rien sur comment poursuivre la croissance dès lors que les opportunités d’achats d’entreprises se raréfient au plan local. L’explication complémentaire pourrait être recherchée dans la théorie internationale de

2ème groupe (France et Europe) sur le marché de la location de véhicules d’entreprises * Troisième parc automobile mondial avec 900000 véhicules en 2011 * Signatures de partenariats avec des constructeurs automobiles : Chevrolet, Opel, Suzuki, Toyota, VolvoMarque * Marque forte : appartient à un groupe de dimension international * ALD : élu service client de l’année 2011Ventes * Véhicules d’occasions : source de revenus supplémentairesDistribution * Une présence dans 37 pays | Clientèle

total.  L’indice d’internationalisation qui est le rapport du nombre de filiales étrangères sur le nombre total de filiales. Plus ces indices sont proches de 100, plus l’internationalisation de ses sociétés est importante. C’est le cas par exemple de Toyota, qui possède un indice de transnationalité de 87 et un indice d’internationalisation de 93. On remarque ainsi que la plupart de ces grandes sociétés possèdent au moins la moitié des actif et des effectifs à l’étranger, réalisent plus de la moitié

.............................................................................................................12 4.1 Stratégies « réduction permanente des coûts à volume constant », « innovation et flexibilité » et Structure Organisationnelle Chez Toyota et chez Honda. .........................................................................14 4.2. Stratégie de profit et la structure conceptuel de production d´ automobile ...........................................16 5. Leçon apprise ............

Mégane, Laguna,... Les succès en Formule 1 renforcent la notoriété de la marque Renault. L'Alliance Renault-Nissan se consolide et les synergies ne cessent de se développer. Avec les rachats de Samsung Motors et Dacia, Renault accélère son internationalisation. Le lancement de Logan est au cœur de la stratégie de conquête des marchés émergents. A partir de 2005 Carlos Ghosn, déjà Président de Nissan, succède à Louis Schweitzer à la tête de Renault. Il met en place le plan Renault Contrat

secteur (VP) B. La mission du groupe Les plans stratégiques du groupe ont pour finalité de devenir un leader mondial et soutiennent donc la croissance tout en tenant compte du contexte de la crise financière actuelle : Internationalisation de la marque Ouverture de la gamme pour d’autres types de clientèles Rester le leader sur les voitures écologiques Etre plus fiable dans sa production Mettre la sécurité comme objectif principal. Amélioration et efficacité de la production

60s → ↑conflits. * Agriculture : aide à la riziculture. * Sous évaluation du Yen. * Restriction du Japon avec son exception culturelle. * Cpdt : interdépendance. * 1985 : Accord du Plazza : Endaka. * Internationalisation des E japonaises pr lutter contre l’↑ du Yen. * Gros pourvoyeur d’emplois aux USA. * 90s : multiples alliances. * Ford-Mazda. * GM et ISUZU (1er producteur de moteur diesel). * IBM et Toshiba

|concurrents | |Distribution très large |Concurrence de pays à court de main-d’œuvre plus faible. | |Internationalisation | | Cette stratégie de domination globale par les coûts est présente dans les secteurs où la différenciation produit est la

droit de trouver cela lassant. Imaginons la réaction des géants nord-américains de l’automobile, qui se battent depuis trente ans pour améliorer jour après jour leurs processus et leur productivité, quand ils ont appris, il y a beintôt deuax ans, que Toyota avait encore trouvé le moyen d’économiser 50% sur le coût de fabrication du moteur de sa très populaire Camry…. |L'impact de la mondialisation sur l'entreprise

particulièrement dans les secteurs de hautes technologies ». Par conséquent, ce vaste mouvement d’internationalisation des facteurs de production ne concerne plus uniquement les firmes multinationales. Autre fait nouveau, on observe de plus en plus une internationalisation de la R&D se traduisant par l’élaboration de stratégies internationale en matière de localisation de ces activités. Mais à la différence des activités de production, les entreprises tentent de garder la maîtrise des activités stratégiques.