Isomorphisme

qui régissent les rapports avec les partenaires externes, notamment les sous-traitants). Powell et Di Maggio (1991) ont mis en évidence le rôle des institutions dans la diffusion des pratiques favori- sant le mimétisme et aboutissant à un certain isomorphisme des pratiques managériales. North (1990) quant à lui, évoque l’enracinement des relations économiques dans le tissu institutionnel. Sur un autre registre les tenants de la théorie de la contingence ont déjà démontré le caractère contingent des

structurale en sociologie, Paris A. Colin, 1994. DEMOUSTIER, D., L'Economie sociale et solidaire, Paris, Syros, 2001. Di MEO, G, Les territoires du quotidien, Paris, L’harmattan,1996 Di MAGGIO, P., POWELL, W.-O., « The Iron Cage Revisited : Institutional Isomorphism and Collective Rationality in Organizational Fields », American Sociological Review, vol. 48, 1993. DONZELOT, J., L'Invention du social, Paris, Fayard, 1984. EME, Β., NEYRAND, G., « La reconfiguration de la proximité comme cadre des nouvelles actions

ce que je nomme la “fonction phorique”. Cette notion de partage affectif profond débouche tout naturellement sur l’étude de ce phénomène de l’intuition. En psychothérapie “l’intuition est un savoir de l’autre qui provient de la perception d’un isomorphisme psychique entre certains éléments du patient et certains éléments du thérapeute”. Là, Benedetti se rapproche des conceptions de l’école kleinienne sur l’identification projective, “La projection du thérapeute peut faire apparaître, à la manière

défis de la performance et de la solidarité », édition l’Harmattan de Nadine RICHEZ-BATTESTI et Patrick GIANFALDONI. - « De la coopération à la banque mondiale » édition Karthala de Claude FREUD. Revues et articles : - « Isomorphisme institutionnel & légitimité d'un groupe bancaire coopératif » de Dominique NOUVEL. - « La gouvernance des banques coopératives françaises – Démocratie et Territoire » de Nadine RICHEZ-BATTESTI et Patrick GIANFALDONI. - « L’universalité

-règlementations -change -Systémiques -Sociaux -Technologiques -Naturels Les risques sont souvent liés aux X et Investissements Facteurs de globalisation : -Ricardo : avantages comparatifs -Internationalisation de la demande (électronique, luxe…) -Isomorphisme (théorie de Powell & Di Maggio) ou contagieux mimétique -Effet d’expérience : économie d’échelle+apprentissage+innovation de procédé -Coût de transport <->dépend du taux de change, des droits de douanes, entraves techniques aux échanges

des relations entre les entreprises et leur environnement, où les organisations sont contraintes par leur environnement et deviennent légitimes lorsqu’elles parviennent à se mettre en conformité avec les attentes de la société et respectent un isomorphisme institutionnel. Di Maggio et Powell (1983) prolongent l’analyse de Meyer et Rowan (1977) et identifient trois processus d’isomorphisme institutionnel permettant d’expliquer la tendance à la conformité organisationnelle, stade préalable à l’acquisition

axioma- tique formel du premier ordre ne détermine pas une seule structure comme domaine de validité, mais un ensemble de telles structures en tant que modèles. L’expression technique veut que de tels systèmes déterminent leur modèle visé « à isomorphisme près ». Ce défaut d’univocité dans la caractérisation axiomatique d’une structure n’a pas de quoi surprendre sur le plan intuitif. Une classe d’axiomes définissants ne peuvent discerner entre des structures identiques, même si ces structures

éom onier èbre M r Alg n ie Mo tr i e Géomé Ainsi, tout supplémentaire de Ker(u) dans E est isomorphe à Im(u) . Théorème d’isomorphisme Soient E,F deux K-ev, u ∈ L(E,F), E un supplémentaire de Ker (u) dans E. L'application E −→ Im (u) est un isomorphisme de K-ev. x −→ u(x) Preuve Notons u : E −→ Im (u) . x −→ u(x) • D'abord, u est correctement définie, car, pour tout x ∈ E ⊂ E, on a u(x) ∈ Im (u). • L'application u est linéaire car, pour tout α ∈ K et tous x,y ∈ E : u (αx + y) = u(αx + y) = αu(x)

de E dans F . Montrer que ϕ est un isomorphisme si et seulement si l’image par ϕ de e toute base de E est une base de F . Exercice 655 1. Soient E et F deux espaces vectoriels et ϕ une application lin´aire bijective de E dans e −1 F. Montrer que la bijection r´ciproque ϕ est lin´aire. Une telle application est dite un e e isomorphisme d’espaces vectoriels. 2. Soient E et F deux espaces vectoriels de dimension finie. Montrer qu’il existe un isomorphisme d’espaces vectoriels de E ` valeurs

est bijective, il existe x, x ∈ G tels que f ( x) = y et f ( x ) = y . Alors f −1 ( y y ) = f −1 f ( x) f ( x ) = f −1 f ( x x ) = x x = f −1 ( y) f −1 ( y ). Et donc f −1 est un morphisme de G vers G . Définition 31 Un morphisme bijectif est un isomorphisme. Deux groupes G,G sont isomorphes s’il existe un morphisme bijectif f : G −→ G . Continuons notre exemple f (x) = exp(x), f : R −→ R∗+ est une application bijective. Sa bijection réciproque f −1 : R∗+ −→ R est définie par f −1 (x) = ln(x). Par