Kant Penser Librement

Pour vivre vraiment, pour être un homme accompli. De quelque chose qui est limité, peut sortir quelque chose de plus grand qui le transcende. « Ma liberté s’arrête là où commence celle des autres ». Liberté : pouvoir, possibilité faire / dire / penser ce que je veux, libre arbitre, faire mes propres choix. Suivre sa volonté en dehors de toute contrainte extérieure. Définition plus pragmatique : suivre sa volonté dans les limites que j’ai choisies. Opposition -> ma / celle des autres et s’arrête

la maîtrise de soi) ? I) La connaissance de soi peut être sincère (thèse)   - Il semble, aux yeux de celui qui tente de se connaître, que la connaissance de soi soit sincère : il suffirait, pour savoir qui je suis, de faire l'effort de me penser, de dire ce que je crois vrai à mon sujet et d'agir en fonction de mes convictions. Comment la connaissance de soi pourrait-elle ne pas être sincère puisque c'est moi, en mon âme et conscience, par un acte délibéré, qui choisi de partir à la rencontre

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est rendue possible par cette « perfectibilité » que Rousseau (in Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes) définit comme propre de l’humanité. « L’homme est le seul animal qui doive être éduqué » affirme à sa suite Kant. L’enfance est ainsi une période essentielle qui permet le développement de nos potentialités. Ainsi F. Jacob, dans Le jeu des possibles, explique que si l’animal est programmé pour agir (instinct) l’homme est programmé pour apprendre, si la première

celles d’un Etat qui impose des lois pour instaurer certaines limites à cette liberté et donc instaurer la justice. Donc L’homme se fait-il une mauvaise représentation de celle-ci ? Nos choix les « moins libres » peuvent être perçus comme les plus librement inspirés. Inversement, des états de liberté incontestable peuvent être vécus comme contraires à notre désir de liberté. Donc la liberté est-elle une contrainte à nos désirs ? Pour finir, le terme « naïveté » désigne une personne touchée par un excès

de "bien" pour "réussir sa vie" et ainsi être heureux, ou au moins mériter d'être heureux ? L'éthique des Anciens se présentait résolument comme une philosophie du bonheur. Tandis que les philosophes modernes, influencés par le christianisme comme Kant, donc a priori plus universalistes que les Anciens, voient éventuellement dans le bonheur une récompense mais non une conséquence de la conduite vertueuse. Pourtant ne peut-on réunir les conditions du bonheur (le mien) et les conditions de la moralité

est un être indéterminé, d’après lui la particularité de l’homme est que son « existence précède son essence », c’est-à-dire que l’Homme est libre de choisir ce qu’il veut faire et de devenir ce qu’il souhaite grâce à son libre arbitre. Par ailleurs Kant affirme que la liberté de l’homme relève de la loi morale. Or, n’y a-t-il pas de contradiction à considérer la liberté comme l’obéissance à une loi ? D’après lui, cette contradiction n’est qu’apparente car la loi morale correspond bien à une nécessité

n°1, la conscience Transition vers le sujet : * Réfléchir : Sens physique. Phénomène de retour sur lui même pour l’esprit. Il y a des formes de réflexions multiples complémentaires et nécessaires entre elles. * Esprit : Faculté de penser et d’établir des savoirs (synonyme de connaissances cependant la connaissance va concerner un objet) multiples L’art représente dans la pensée une voie importante. La réflexion philosophique a une spécificité qui est d’adopter une attitude critique

pensée abstraite en une forme concrète. L’activité artistique tout comme le travail entraînent donc le passage à l’être, au réel, d’une chose qui sans eux ne serait jamais advenu. Le processus de réalisation de ces deux pratiques serait donc le même : penser puis réaliser ensuite, c’est-à-dire que le projet précède l’exécution. Marx dans Le Capital compare l’activité des animaux à celles des humains, puisque celle-ci est souvent assimilée à un travail. Il écrit que « Ce qui distingue dès l’abord le

–l’article 10 stipule en effet que « nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi »-, la liberté d’opinion, principe selon lequel toute personne est libre de penser comme elle l’entend, est un acquis dont nous ne cessons de nous prévaloir. Mais proclamée de droit, cette liberté a-t-elle de fait une réalité ? Sommes-nous vraiment libres de nos opinions ? 2) En d’autres termes, avons-nous