Kant Tu Dois Donc Tu Peux

moyen pour apprendre a se connaître,c’est de chercher a comprendre autrui »andré Gide Rapports avec autrui « le devoir et le bonheur consistent également a vivre pour autrui » « Il (l’homme)abuse a coup sur de saliberté a l’égard de ses semblables »Kant « l’homme est non seulement un animal social,mais un animal qui ne peut s’individualiser que dans la société »Marx Le sujet La conscience ***/** 1. Conscience morale, conscience psychologique [pic]  Le terme "conscience" peut sembler simple

de liberté intérieure B. La liberté de vouloir 1. La liberté des Stoïciens 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) C. La liberté de penser 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 2. La libération par la raison (Spinoza) 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) D. L’aliénation 1. L’inconscient (Freud) 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 3. La version existentialiste de la théorie

des contextes, l’enjeu change de sens. La morale a trait au premier abord aux notions de bien et de mal. Elle relève de la catégorie du normatif, c'est-à-dire de la capacité humaine de juger les actes en leur attribuant une valeur. Elle polarise donc le sens de l’action humaine selon des valeurs, ce qu’indique le terme d’axiologie. Cette capacité renvoie à deux dimensions fondamentales : l’une sociologique, dans la mesure où toutes les sociétés humaines ordonnent le monde en fonction de la polarité

Au XXème siècle sont apparus les types d’objets qui n’ont pu être considérés comme des œuvres d’art au sens factuel que par un discours disant « ceci est de l’art », comme par exemple les ready-made de Marcel Duchamp. Pour aborder la leçon, on va donc admettre que l’art existe. Ensuite, il y a plusieurs types de discours : le jugement esthétique, l’interprétation de l’œuvre et la philosophie de l’art. En quoi ces discours sur l’œuvre d’art prétendent être la vérité ? Le jugement esthétique

problèmes relevant parfois de l’absurde le plus grand. Chercher le bonheur semble être une activité spécifiquement humaine selon ce que nous avons vu. Être heureux, ou du moins avoir conscience qu’il s’agit d’une possibilité ou tenter de l’être, semble donc définir la nature humaine elle-même. Pourtant, elle s’oppose à la vertu, à la recherche du dépassement moral, qui est une conduite rationnelle. Or, la rationalité est ce qui définit incontestable l’Homme, doué d’une raison qui le pousse à ne pas s’autodétruire

Fidel). La définition se compose d’un genre et d’une différence spécifique. Les propriétés persistantes et éternelles nécessaires / contingentes. Elle s’oppose aux propriétés secondaires, accidentelles et contingentes. « Accidentel » se dit de ce qui peux être ou ne pas être sans que le sujet porteur de l’accident ne disparaisse en son identité propre et essentiel. « Si le blanc est essentiel à la neige la peau blanche est accidentelle chez un humain ». b) ce que « sagesse philosophique » veut

enfants considèrent en effet dès qu’ils savent parler, vers deux ans, qu’il est mal de le faire, et ce, même lorsqu’ils ont été eux-mêmes maltraités. Les normes conventionnelles, quant à elles, dépendent de l’autorité et du contexte, elles ne sont donc pas universelles : ce sont les habitudes sociales, qu’elles soient vestimentaires, alimentaires ainsi que les codes qui régissent nos sociétés. Elles sont le reflet d’une forme d’accord entre humains permettant le fonctionnement du système social (…)

d'un individu (son essence) ne tient pas à une sorte de destin mais que, au contraire, l'homme naît libre et responsable, et il se définit à chaque instant par ses actes. L'existentialisme, tout en étant une réflexion sur la nature humaine, aboutit donc à la nécessité de s'engager dans des actions concrètes. C'est là le sens de la liberté : elle consiste à choisir entre plusieurs possibilités et à en assumer les conséquences. C'est la raison pour laquelle Sartre lui-même, de son vivant, s'est battu

constitué que de reflet. Le monde vrai : intelligible constitué avec de grandes idées : idée de Bien, beau, du vrai : Ttes les réalités ne sont que des copies de l'idée absolue. La beauté en soi, la vérité et le bien. Platon est donc un métaphysicien qui s'interroge sur ce qui est au delà de la physique. Il s'oppose avec le matérialisme épicure. On peut être soit métaphysicien soit matérialiste. ( lire l'alégorie du mythe de la caverne ) PLATON Élève de Socrate. La

sentiments, mon caractère, en un mot tout ce qui constitue ma personnalité, me constitue comme personne, qu’un parfait étranger. En ce sens, qui mieux que moi pourrait alors savoir qui je suis ? Qui pourrait alors être plus proche de moi que moi ? Il semble donc que j’occupe une place privilégiée à mon égard, me permettant, grâce à la conscience et à l’introspection, d’avoir accès d’une manière immédiate ou réflexive à la connaissance des moindres qualités me caractérisant et me définissant. Pourtant, être