L Exclusion Des Femmes 1316

lequel la couronne se transmet d'hommes en hommes à l'exclusion des femmes et des descendants par les femmes. Principe affirmé en 2 temps au cours du 14ème siècle : → en 1316 l'exclusion des femme : A partir du règne d'Hugues Capet, la couronne est toujours passée sans encombres au fils ainé du roi défunt. Jusqu'au début du 14ème siècle que des fils (miracle capétien). La question de la masculinité ne sait donc jamais posée. En 1316, la question de la masculinité se pose pour la première fois. Le

la masculinité. Le principe de masculinité est le principe d’après lequel la couronne se transmet d’hommes en hommes à l’exclusion des femmes et des descendants par les femmes. C’est un principe qui s’est affirmé en 2 temps au cours du 14 ès. En 1316, c’est l’exclusion des femmes. En 1328, c’est l’exclusion des descendants par les femmes.  L’exclusion de 1316 : a partir du 10 è s, la couronne est toujours passée sans encombre au fils aîné du roi défunt. Ce principe de masculinité pendant très

1314 avec trois fils (Louis-Philippe et Charles et une fille Isabelle) Le fils ainé Louis prend la sucession, lorsqu'il meurt, en 1316, il n'a pas d'héritier mâle. Cette crise permet de construire la LF de masculinité II) Le première étape : loi de collatéralité et la confirmation de l'exclusion des femmes A) La rupture de l'héréditer en ligne directe en 1316 Louis X le Hutin meurt sans héritiers. C'est une rupture de l'hérédité en ligne directe. Le roi ne laisse que deux personnes potentielement

ait besoin d’élection ou de sacres.) mais dans le 1er tiers du XIVème siècle, deux règles complémentaire sont forgées. I. L’exclusion des femmes : A) Le cas de 1316 : Jusqu’en 1316 tous les rois ont laissé un fils à leur mort, de sorte que la question de la transmission à une fille ou des collatéraux ne c’est jamais posé. Seulement le 16 juin 1316, Louis X le Hutin laisse une situation complexe. Il a une fille âgée de 4 ans, la petite jeanne, suspecté de bâtardise. Son épouse est enceinte

des élevages Ils sont des guerriers très habiles, un peuple de grande stratégie A. Une cellule de base : la famille Les barbares se groupent en peuples, puis en tribus divisées en familles. On trouve tous les descendants par le sang sauf pour les femmes qui, une fois marié, quittent la famille pour en fonder une autre. On y trouve aussi les esclaves La famille est placée sous l’autorité d’un chef de famille qui est l’ancêtre, il a 40-45 ans. Il a un pouvoir absolu sur la famille. B. Une ébauche

et des églises 2. La justice Section II – L’élaboration d’un statut coutumier de la monarchie §1 – La couronne et sa transmission I. Le principe de masculinité A. L’exclusion des femmes 1. En 1316 (mort de Louis X) 2. En 1322 (mort de Philippe V) B. L’exclusion des descendants mâles par les femmes II. La règle de l’indisponibilité de la couronne III. La continuité de la fonction royale 1. Instantanéité de la succession 2. Minorités et régences §2 – L’inaliénabilité du domaine

Cette loi de masculinité comporte deux aspects : • l'exclusion des femmes Ce principe est adopté en 1316 après la mort de Philippe le Bel et de son fils. On réunit alors une assemblée des grands du royaume. Lors de cette assemblée, les grands s'accordent pour exclure la fille du Roy. Pour désigner le nouveau Roy le frère du Roy défunt. Ce schéma se reproduit quelques années plus tard. • l'exclusion des descendants par les femmes. La question se pose à la mort de Charles IV en 1328. Il meurt en ne

p sociale. Ce type de raisonnement peut ainsi être une manière de dire : « certes, vous n’êtes pas bien riches, mais, voyez-vous, l’argent ne fait pas le bonheur. Nos niveaux de revenus sont différents ; ils ne sont pas inégaux… ». De même, si les femmes sont « faites » pour élever les enfants… elles n’ont plus qu’à rester au foyer : nul besoin pour elles d’entreprendre des études avancées, nul besoin d’aspirer à des postes de responsabilité, nul besoin, autrement dit, pour elles, de souhaiter se

mineur et du fief qu'il administre jusqu'à la majorité de l'héritier), soit on applique la garde familiale (idem, mais avec le plus proche parent du mineur, qui prête l'hommage et perçoit les revenus du fief). Si l'héritier est une femme : au début, exclusion pure et simple de la succession, puis elle y est admise à partir des croisades (1095), mais c'est son mari qui assure les fonctions militaires : il doit donc prêter serment au seigneur. Si elle n'est pas mariée, le seigneur lui présente 3 candidats

règle coutumière. Une succession royale problématique entre 1316 et 1328, les circonstances de la guerre de 100 ans, vont permettre de faire émerger le principe de masculinité. Puis le principe d’instantanéité de la succession royale, complété par le principe d’indisponibilité de la couronne. Paragraphe 1 : le principe de masculinité En Fr, la question de la succession féminine ne s’était jamais posée en 3 siècles. Jusqu’en 1316, les rois capétiens ont tjrs eu un ainé male, qu’ils ont Page