L Hommage Féodo Vassalique

seul empire à la tête duquel il y aura Lothaire (le fils aîné) et ses deux frères Louis le Germanique et Pépin seront respectivement Rois soumis à l’autorité du frère aîné (ils doivent consulter Lothaire sur des décisions essentielles, lui rendre hommage, lui faire des cadeaux qui correspondent à un impôt). Du point de vue territoriale, l’Empire Franc est divisé en trois royaumes : à l’est le royaume de Louis le Germanique, à l’ouest le royaume de Pépin et au centre celui de Lothaire. Ce sont des

En Angleterre c’est le prince de galle, en Espagne c’est le prince des Asturies, et en Italie le duc d’Aoste. Tout cela pour dire que sur tous ces biens le roi exerce directement son autorité sans passer par le truchement d’un intermédiaire vassalique. Hors tout le problème est précisément de savoir quel est le statut juridique de ce domaine sur lequel le roi exerce directement son autorité. Le problème est qu’il y a eu des changements de branche et que souvent le cousin du roi défunt qui monte

carolingiennes 226 Paragraphe 2. Les sources du droit : les capitulaires impériaux 230 Chapitre II. La féodalité ( IXème – XII ème siècles ) 235 Section I. Les seigneuries 236 Paragraphe 1. Les relations féodo-vassaliques 236 Paragraphe 2. La seigneurie banale 240 Paragraphe 3. La seigneurie domaniale 242 Section II. La société féodale 244 Paragraphe 1. Les orantes ou « priants » 244 Paragraphe 2. Les

petites affaires en générale, il a un droit de correction comme le maraudages. § II : Les liens féodo-vassaliques Cette solidarité exprime la nécessitait de commander un groupe de fidèle. Celui qui a le pouvoir doit avoir un groupe de fidèles sur lesquelles comptait. Se développe un engagement entre le seigneur et le vassal. Cet engagement est scellé par un contrat. Le contrat vassalique. A. Le contrat vassalique (cf. le service d’ost) Ce contrat détermine une hiérarchie. La hiérarchie féodale (date des

normand. Dès le 11e s il ya un fort sentiment de communauté, les normands sentent appartenir a la mm communauté qui les unis et structure le duché--> patrie normande. Le duc exerce son autorité sur la patrie les seigneurs locaux lui doivent hommage et fidélité. Le duc gouv a l'aide d'un conseil composé des grands laïques et ecclésiastiques du duché. Une des forces de cette instit est que l'adm a un carac centralisé, des représentant du duc font des tourné dans le duché pour régler des qst

pape suivant Paul II élu en 1464, il va en ignorant ce projet, envoyé au roi de France un projet de fondation de confrérie de paix universel. Le roi a transmis ce projet en espérant que ce projet aboutisse. Le fait qu’il est rendu officiellement hommage au projet du pape signifie diplomatiquement que le projet de Podiebrad est abandonné. Ce projet semble n’avoir eu aucune suite, il semble très proche de celui de Pierre Dubois. Il est peut être en avance sur son temps. b] Le projet de PICCOLOMINI

jouent un rôle central dans leur foyer mais, tout en transmettant la citoyenneté, elles n’ont aucuns droits politiques. Question 5 : Tout au long de son éloge, ce citoyen romain vante les mérites de cette « matrone » parfaite. Il rend d’abord hommage aux qualités qui ont permis à son épouse défunte d’être une excellente maîtresse de maison : « docilité, assiduité aux travaux, discrétion, sobriété ». À la fin de l’hommage, il insiste sur les qualités de gestionnaire de son épouse qui a su « conserver

1154 roi d’Angleterre, et donc duc de Normandie, sous le nom d’Henri II. Terrible ! Cette erreur politique vaudra à l’unification du royaume 300 ans de retard – et de guerres. En dehors de toute « faute » politique, une autre réalité du système féodo-vassalique dans lequel s’inscrit l’action des rois capétiens offre une occasion de démembrement possible et de constitution de puissances rivales de celle du roi : c’est l’apanage. - Définition : l’apanage est un fief accordé par le roi à son ou ses fils

sera son vassal (encore assez anarchique). Aux XIème et au XIIème siècles, apparaît l’idée d’une pyramide de vassaux et de seigneurs avec cette idée que le roi ne peut jamais être le vassal de quiconque : construction de l’idée de hiérarchie féodo-vassalique. Le roi féodal a seulement un pouvoir sur ses vassaux directs et non sur ses arriérés vassaux, ces derniers ont une obligation uniquement envers leur propre seigneur : ils leur doivent l’auxillium (le service militaire) et le consilium (le

formalisme gestuel (hérité de l’époque franque) qui se perpétue. ● usage de la festuca (très pratiqué dans le monde paysan) ● le rite de la jonction des mains (immixtio manuum) et du baiser de paix (osculum pacis ) → exemple de l’engagement féodo-vassalique conclu par l’hommage « de main et de bouche », et renforcé (cf. supra) par le rite chrétien de la foi (serment de fidélité). ● le rite de la paumée rapporté par certaines coutumes (longtemps maintenue en milieu rural) ● On pratique aussi