L Injustice Nietzsche

faible, celui qui n’a pas le pouvoir de commettre des injustices à son profit, celui-là dit que l’injustice est un mal. Mais au lieu de condamner le désir et ceux qui ne se soucient que de faire ce qu’ils veulent, celui-là ferait mieux de blâmer sa propre impuissance : les règles morales, les interdits, les scrupules mêmes sont autant de justifications inventées par les faibles pour s’excuser de leur faiblesse et en faire vertu. C’est pourquoi Nietzsche pourra parler du « méchant Socrate », homme trop lâche

sûr, et approuvé par tout un chacun parmi le peuple. Et ce que tout homme veut, nul ne saurait le dire injuste. Il en est des lois de la communauté politique comme des lois du jeu : ce sur quoi les joueurs se sont mis d’accord ne saurait être une injustice pour aucun d’eux. Une bonne loi est celle qui est à la fois nécessaire au bien du peuple et facile à comprendre. En effet, le rôle des lois, qui ne sont que des règles revêtues d’une autorité, n’est pas d’empêcher toute action volontaire, mais de

condamnée à l’erreur lorsqu’elle croit rendre compte de la réalité : la conscience bourgeoise se livre à des interprétations conditionnées par ses propres intérêts ; elle impose ses valeurs et sa vision des choses à la conscience ouvrière. [pic]  Nietzsche, rappelant que la conscience est "superflue pour l’essentiel" (je mange, respire ou marche sans en prendre conscience), remarque que toute prise de conscience est liée aux possibilités d’un langage collectif : elle trahit la singularité de l’individu

France (à 59 ans) École/tradition Humanisme Principaux intérêts L'Homme Idées remarquables La vertu aimable Œuvres principales Essais Influencé par L'Antiquité et Jean de Léry[réf. nécessaire] A influencé Pascal, Voltaire, Schopenhauer et Nietzsche modifierConsultez la documentation du modèle Signature de Michel de Montaigne. Michel Eyquem de Montaigne, dit Montaigne, seigneur de Montaigne1, né le 28 février 1533 et mort le 13 septembre 1592 à Saint-Michel-de-Montaigne (Dordogne), est

théologie qui parle de dieu comme un être. Cette ontothéologie est critiquée par la théologie qui refuse que dieu est un être parmi d'autres. Dans les années 1970,80, au sein du protestantisme, est apparu le courant de théologie de « la mort de dieu »(Nietzsche). Il faut affirmer que le dieu qui a été vénéré jusqu'alors est un fait d'illusion et il faut chercher au delà de toutes ces illusions. La mort de dieu pourrait être la mort de toutes les représentations que l'on se fait du divin. Athéisme, agnosticisme

connaissent pas de lois qui les interdisent et ils ne peuvent pas connaître de loi tant qu’il n’en a pas été fait -dans situation d'état de nature, de guerre, rien ne peut être injuste , les notions de légitimité et d'illégitimité, de justice et injustice n’ont pas ici leur place la ou il n'est pas de pouvoir commun il n'est pas de loi la ou il n'est pas de li pas d'injustice -etat de nature est à gauche du tableau même si ile st fictif, il est la représentation imaginé d'une situation de fait de

marginaux, les exclus. Il va considérer la société comme un grand espace d'hypocrisie; les plus forts écrasent les plus faibles. La société devient une jungle et donc les hommes sont des animaux. Cohen va rejeter la loi de la nature plébiscité par Nietzsche et va dire qu'il s'agit d'une loi inique et ce qui est censé donner naissance au sur-homme va en fait donner naissance au plus haut degré de l'animal. En même temps que les plus forts qui exercent leur autorité sur les plus faibles, ils sont critiqués

s’efforcent néanmoins de comprendre au mieux à travers l’activité réfléchissante du jugement. Moins que la vérité, il s’agit alors de l’émergence du sens, d’une direction qui permet la marche de la pensée, son orientation » (Berner, 1997, p. 87). Avec Nietzsche, « le concept d’interprétation remplace celui de vérité 10 RECHERCHES QUALITATIVES / HORS SÉRIE / 5 et trouve dans la volonté de puissance un site privilégié. La vérité est un nom de la volonté de puissance; et la volonté de puissance interprète

bien au contraire, cela renforce sa dimension culturelle et linguistique : le langage de la philosophie est à la fois universel dans son contenu et singulier dans sa forme, ce qui le rend dense et original. Il suffit pour cela de relire Platon ou Nietzsche dans la langue source pour se rendre compte à quel point l’exercice de penser est également un exercice d’écriture propre à une langue. toutefois, la traduction des textes eux-mêmes présente deux difficultés majeures : — D’une part, lorsque le terme

-« Le livre des philosophes », de Laurent Dechéry. Ce bel ouvrage, richement illustré par les dessins de Peter Lawman, nous présente la vie et les grandes réflexions d’une vingtaine de philosophes, de Platon à Sartre en passant par Descartes ou Nietzsche. Plutôt pour des CM2. La lecture de ces ouvrages ne constitue évidemment pas la séance de débat-philo. Ils peuvent par contre aider l’enseignant dans la préparation du débat-philo. Il nous semble de toutes façons intéressant que plusieurs de