L Institution Du Prince Chrétien

MOULINAS René : La pique et la croix (histoire religieuse de la Révolution française),coll Chrétiens dans l'histoire, 1989 VOVELLE Michel : La Révolution contre l'Église (De la raison à l'être suprême), coll Complexe, 1988 La France de l'Ancien Régime du milieu du XVIIème siècle à 1788 est un royaume à l'image de reste de l'Europe en ce qui concerne la religion. En effet, la stabilisation des institutions ecclésiastiques et leur parfait fonctionnement permettent une christianisation en profondeur

Idées et pratiques politiques à l'époque moderne (Cour thématique) S. Gal (GALLICA) Introduction XVI° au XVII° siècle. Le gouvernement du prince, on ne parle pas de chef ni d'homme d'état, on parle du prince, de ses conseillers qui renvoient aux arts de gouverner. Avec l'idée que le pouvoir est inée mais de plus en plus, on va voir que ça s'apprend les pratiques et une théorie qui s'acquiert. Une période où de nombreuses notions apparaissent et s'affirment au niveau politiques

Ottoniens et les Saliens: vie politique, institutions et société'', Rennes, 2008. ( à paraître) J. Dunbatin, ''France in tne Making'', 843-1110, Oxford, 2000 (1ère édition en 1985) ''Histoire du Christianisme'', Jean-Marie Mayeur et alii édition, tomes 4 et 5, Paris, 1993.* Olivier Guillot, Albert Rigaudière, Yves Sassier, ''Pouvoirs et institutions dans la France médiévale, tome 1, Paris, 1994.* Jean-François Lemarignier, ''La France médiévale: institutions et société'', Paris, 1970. K.J Leyser

révolutionnaires. C’est un pamphlet contre la société de son temps qu’il juge inégalitaire. A – Son point de départ. « L’homme est bon naturellement et c’est par les institutions seules que les hommes deviennent méchants ».  « Les sauvages d’Amérique vivent libre, indépendant, sage et heureux. » Rousseau s’oppose à la doctrine judéo-chrétienne du Péché Originel et à celle de Hobbs. B – Trois inégalités s’installent successivement. * L’inégalité liée à la propriété. C’est une inégalité d’aspect économique

moralité, de jugement de valeurs qui tiennent. Le Prince  : ouvrage complexe  · À la fois réflexion théorique, où il essaye d’énoncer les principes du droit politique (ce que sont les ≠ types d’États, de principautés)· Énoncer les règles d’un art de gouverner la politique comme art de gouverner La politique reste un art plutôt qu'une science parce qu'elle dépend beaucoup du talent du prince, tout le monde n'est pas un bon politique. Il ne veut pas en rester

développé[8]. La peine de mort est une sanction pénale. L'accusé est condamné en raison du non-respect d'une règle de droit dont il a été convaincu[9]. Cette peine découle du besoin d'organisation du groupe. Avant la naissance du droit et de la justice-institution on ne peut pas parler de peine de mort. Dans ces sociétés primitives ou actuelles, ne connaissant pas l'État de droit, une condamnation à mort peut être considérée au mieux comme une exécution sommaire ou simplement comme un acte de vengeance ou

stratégie s'avance à l'avant-scène et mette ouvertement des instruments au service des pouvoirs militaires ou politiques. Dans Le Prince, Machiavel, contrairement à ce qu'on lui fait dire, ne glorifie ni le meurtre ni le cynisme. Il laisse au Prince l'évaluation des valeurs. Lui parle des moyens : « Si le prince tient mordicus au pouvoir, voici comment obtenir le résultat. » Au prince la pensée, au conseiller l'identification des instruments. (Machiavel, il est vrai, dira autre chose dans les Discours sur

|L'histoire en figures | |Premier siècle: une naissance lente et douloureuse. Le christianisme a mis longtemps à se dégager du |bibliques | |judaïsme. Les premiers chrétiens prêchent dans des synagogues et tentent de convertir des juifs. Paul de |Abraham: Le père du | |Tarse élargit la prédication aux païens, et amorce ainsi une séparation définitive, qui ne sera effective |monothéisme. |

vivre en société : l’existence politique est naturelle, mais d’autre part il appartient à l’homme d’instituer politiquement ce qu’il est par nature : quand Aristote dit que l’homme est un « vivant politique », il ne signifie absolument pas que les institutions politiques sont naturelles : il exprime l’idée que l’homme est déterminé par sa nature à se doter d’institutions collectives qui vont régler la vie collective. Aristote montre ainsi si la cité est absolument naturelle, les rapports de force qui

présent deux risques majeurs : que la matière de la norme soit faite par n’importe qui (a) et que le contenu soit injuste (b). a) Un contenu fait par n’importe qui ou n’importe quoi. La matière de la norme juridique est créée par différentes institutions spécialisées. Mais prenons l’hypothèse qu’une norme juridique soit faite par un souverain, (un chef d’Etat monarchique) qui détiendrait tous les pouvoirs. Cette hypothèse est vue par Dworkin dans ‘le positivisme’. En effet, on obéirait au seul