La Constitution Grévy

L’échec de la IVème république était-il inscrit dans sa constitution? En quoi l'interprétation moniste de la constitution de 1946 était- elle source d'instabilité politique de la IVème république? Le constituant de 1946 avait prévu de rationaliser les relations entre les institutions de la IVème république pour éviter ce qui a causé la fin de la IIIème république. La constitution de 1946 s'est voulue comme correcteur mais va fonctionner comme reproducteur des dérives de 1875 à

pour négocier un traité de paix , mais ce dernier refuse, et déclare ne vouloir traiter qu'avec un « gouvernement légitime ». Il faudra alors procéder à l'élection d'une nouvelle assemblée constituante qui aura pour tache d'élaborer une nouvelle constitution et de désigner par la même occasion le gouvernement légitime : L'assemblée sera élue au suffrage universel. Il sortira des urnes une majorité monarchiste (car ils ont fait campagne pour la paix, alors qu'au contraire les républicains eux ont

la démission du Président de la République Jules Grévy. La presse a dévoilé en 1887 un trafic des décorations mis en place par Daniel Wilson (qui était le député d’Indre-et-Loire + le mari de la fille de Jules Grévy) Alors Wilson a donné des honores aux hommes affaires pour négocier leur participation dans ses entreprises. Et donc les journalistes, la classe politique, mais surtout Jules Ferry et Clémenceau utilise cette affaire contre Jules Grévy, qui doit enfin démissionner. Alors à cause de

considérait que devaient être élus les citoyens les plus capables. Du coup l’adoption de la constitution de 1791 a donné lieu a une querelle constitutionnelle quant à l’étendue du droit de suffrage. Robespierre défendait l’idée de l’instauration d’un suffrage universel. Sieyes estimait qu’on devait appliquer l’idée d’un électorat fonction avec une distinction entre les citoyens actifs et passifs. Du coup cette constitution de 1791 organise un suffrage censitaire de sorte que pour être un citoyen actif il

de leur portée. Après la signature de l'armistice, le 26 janvier 1871, les électeurs furent convoqués pour élire une nouvelle assemblée constituante. Cette assemblée créée dans l'urgence fut réunie à Bordeaux. Mais avant d'élaborer une nouvelle constitution, elle dut d'abord prendre des mesures d'urgence afin d'organiser un minimum le pouvoir. Elle commença en premier lieu par établir un gouvernement provisoire à la tête duquel s'imposa Adolphe Thiers, qui fut élu comme chef du pouvoir exécutif

par la conerstion de Jules Grévy, Jules Favre, Jules Simon, Jules Ferry et Léon Gambetta . A.Tiers signera la pais avec l'Allemagne en 1871 qui s'est unifié et il écrase le mouvement révolutionnaire à Paris de la commune en mars/mai. 1873: A.Tiers renversé par la majorité royaliste parce qu'elle s'est sentie trahie. 1876: Les républicains obtiennent la majorité à la chambre. Mac-Mahon: Nouveau président royaliste qui dissout l'Assemblée en 1877. Jules Grévy, Jules Favre, Jules Simon

3 rep premier régime a s imposer dans la durée depuis 1789 après la chute monarchique l assemblée va mettre 9 ans 1870 1879 pour renoncer a la royauté et proposer une 3 e constitution une rep parlementaire sénat chambre députés présidant rôle d arbitre gardien des institutions Premièrement tradition républicaine va s instaurée puis affrontements épuisants avec l Allemagne PROCLAMATION DE LA REPUBLIQUE plébiscite le 8 mai 1870: le "oui" a été majoritaire et l'empereur bénéficiait d'un soutien

Sedan et se termine en 1940 alors que les Allemands envahissent la France. Afin de montrer ce que cette République apporte de nouveau à la France nous allons nous intéresser à la période de 1884 à 1914, c’est à dire au milieu de la présidence de Jules Grévy jusqu’à l’Union Sacrée. Par définition, une république est un régime politique où le chef de l’Etat ne parvient pas au pouvoir par les liens du sang mais par des élections. Cependant, une république n’est pas forcément une démocratie dans la même

elle doit être adoptée, et si c’est le cas, le gouvernement devra démissionner· La dissolution : permet au gouvernement d’obtenir la dissolution de la chambre devant laquelle il est politiquement responsable : ce mécanisme sera entravé par la coutume Grévy, provenant

jusqu'à ce qu’il trouve des limites » Montesquieu - « il faut que par la disposition des choses, le pouvoir arrête de pouvoir » Montesquieu - « Aucune constitution n’est restée telle qu’elle a été faite. Sa marche est toujours subordonnée aux hommes et aux circonstances. » Napoléon Ier (premier consul à vie des français) - « La Constitution, voilà notre guide ; l’Assemblée Nationale, voilà notre point de ralliement. » Antoine Barnave (1761-1793) - « La République est le gouvernement qui nous