La Lecture Pour S Instruire Ou Pour Le Plaisir

nous a souvent justifié les œuvres en valorisant l’aspect esthétique qui éveillent chez nous le sens du beau, comme par exemple La Joconde de Léonard de Vinci. D’autres ont encore insisté sur le caractère didactique puisque les œuvres peuvent nous instruire, par exemple sur le plan moral. Ainsi La Fontaine nous instruit-il ou bien écrit-il des fables uniquement pour plaire ? Baudelaire écrit-il des poésies pour communiquer ses impressions ou bien également pour nous éveiller à un champ de correspondances

littéraire. Ainsi, d’après Jacques Moussarié, La Fontaine n’était pas de ceux qui se vantaient de leur savoir. Il présente donc le fabuliste comme une personne modeste et bon-enfant, qui n’écrivait pas ces fables dans un but glorificateur, mais pour son plaisir et son divertissement. Ainsi, La Fontaine n’aurait pas écrit ces fables pour leur but pédagogique qui est d’utiliser un récit pour véhiculer un message moraliste. Expliquons maintenant ce que l’auteur exprime l.4. Il nous dit : « Je ne vois pas

que « Une morale nue apporte l’ennui ; le conte fait passer le précepte avec lui ». En effet, selon lui, le conte et la fable, qui sont des apologues séduisants pour le lecteur permettent de faire réfléchir celui ci tout en lui apportant le plaisir d’une lecture au premier abord légère et divertissante. Jean de La Fontaine pense donc l’apologue comme devant être tout d’abord ludique, pour permettre à l’auteur de faire plus facilement passer ses convictions au grand public. On peut alors se demander

entrer en discussion dans une délibération, solitaire (monologue délibératif) ou collective (dialogue). Il existe deux types d’argumentation. L’argumentation directe est une argumentation explicite, qui peut se comprendre è la première lecture, et qui ne demande pas ou peu de réflexion en ce qui concerne le sens du message de l’auteur. On retrouve les essais, qui visent à exprimer ou critiquer une thèse et dresser le bilan d’une situation en exposant différents points de vue à l’aide d’arguments

).L’enfant est un être sensitif il n’est pas dôté de raison or certaines représentations ou connaissances sont susceptible d’apparaitre en lui, connaissance qualité physique et géométrique (question distance ). Ces sensations peuvent engendrer la lecture et l’écriture. Ces sensations seules font germer des notions morales (propriété , convention et charité). La raison n’est pas nécessaire à leur élaboration. Il y’a une sagesse de l’enfance ultérieure à la raison, pensée propre de l’enfance qui est

l'amour médecin, à noter que les comédies désignent pour l'écrivain ,toutes les pièces de théâtre aussi bien comique que tragique. Cet argument paraît évident dans la mesure où l'écrivain en fait une pratique sociale et collectif (contrairement à la lecture) .Chaque représentation étant un événement qui mobilise alors les sens « les yeux par la variété des gestes , les oreilles par les plaisants et sentencieux discours qui y sont mêlés et l'entendement parce que la comédie estant le mirouer de nostre

qui lui conviennent. Du reste ce n´est pas pour les mettre dans un gardoire, donc les engranger ; il ne s’agit pas d’amasser des livres et de les stocker dans une bibliothèque en vue d'une utilisation ultérieure, mais de les transporter, pour le plaisir de les tenir un moment. Le verbe ‘transporter’ (=porter d’un lieu dans un autre’) contrairement à ‘garder’ (=conserver, maintenir, retenir sur soi) implique l’idée de mouvement. Le déplacement (transport) de ces livres (et sentences) indique que

demander si tout le théâtre français fait partie de cet ensemble. En effet, lorsqu’on lit du théâtre de l’absurde ou théâtre avant-garde comme Rhinocéros de Ionesco, il est vrai que l’unité de l’impression n’est pas ce qui se manifeste à la première lecture. Mais ce n’est pas lié au fait que les personnages ne sont animés que par une seule passion. La démarche de Constant semble donc avoir des limites puisque l’ensemble du théâtre français n’est pas caractérisé par des héros possédant un seul trait de

permet d’établir un lien avec le lecteur. Prolog ue - Dans le prologue, l’auteur nous met en garde et nous invite à une lecture herméneutique (= interprétation des textes religieux ou philosophiques + règles permettant d’interpréter la Bible et les textes sacrés). Selon lui, il faut interpréter les signes et se méfier des apparences. - Il nous invite donc à plusieurs niveaux de lecture et cette dichotomie (=division d’un concept en deux autres concepts contraires) est inhérente à l’œuvre. Pour illustrer

Lecture Analytique Les obsèques de la lionne de Jean de la Fontaine Introduction I.Des personnages emblématiques et ambigus II.Un récit vivant et structuré A. La structure au service de la dramatisation B. Des dialogues vifs et vivants III.Une satire véhémente A.Les courtisans B.Un monarque absolu Conclusion Cette fable est tirée du livre VIII des fables de la fontaine et pour laquelle il s’est inspiré du fabuliste italien Abstenus est paru en 1678. La fontaine s’attache à nous livrer