La Loi Salique Et La Succession Royale

l’auctoritas permet de contrôler l’élaboration d’une loi, de s’y opposer ou de la renforcer. La potestas désigne toute forme d’autorité reconnue par le droit à une personne sur une autre personne ou sur des biens (droit subjectif). L’impérium désigne un pouvoir à caractère militaire ; droit de commandement fondé l’origine, sur la force et le prestige du chef. Sous la République, ce pouvoir est accordé aux magistrats à l’issue du vote d’une loi (« la lex curiata de imperio ») ; procède à la levée

formes de pouvoir s’est faite lentement vers ce type de monarchie absolue. Il a fallu 3 siècles pour que ce monde romain passe du système républicain à une monarchie qui se reconnaisse comme tel. L’histoire de l’Empire romain est caractérisée par la succession de deux périodes : le haut empire où on a un type de monarchie semi-libérale, on a aussi une société relativement ouverte, souple et le bas empire où l’on arrive à une monarchie totalitaire bureaucratique dans une société qui est désormais figée

=> alliance entre royauté et Eglise. Ouvrage de référence est la Bible => modèle politique + principes moraux * Seule institution organisé + les religieux sont les plus cultivés de la société. * Ce soutien permet d’installer le pouvoir royal sur l’ensemble de la Gaule. * Conception patrimoniale du pouvoir => propriété du roi => res privata et non plus res publica. => il a le pouvoir de donner des bouts de territoires. * Deux conséquences dramatiques : * Transmission

la dynastie capétienne. Il était le fils de Jeanne III, de son nom patronymique Jeanne d'Albret, reine de Navarre, et d'Antoine de Bourbon, chef de la maison de Bourbon, descendant du roi Louis IX et premier prince du sang5. En vertu de la « loi salique » cette filiation fera d'Henri le successeur naturel du roi de France à la mort de François, duc d'Anjou (frère et héritier du roi Henri III), en 1584. Confronté aux guerres de religion, il y fut d'abord impliqué en tant que prince du sang et

modernisée, qui va soutenir le centralisme étatique . Ce développement lui permet d'avoir la main mise sur les sources du droit et les modalités de leurs sanctions judiciaires. Les différentes étapes historiques, avancées/stagnation/recul du pouvoir Royal. I:La fin d'une ère pour le christianisme Depuis la fin du XIè siècle, l'occident souhaite une société chrétienne des nations puissante pour concentrer celle des infidèles, défendre l'ordre chrérient contre toute tentative d’envahissement et pour

ne disparait pas à la mort du chef de l’état, elle se transmet de manière continue à son successeur. Elle est absolue car le pouvoir souverain n’a pas de restrictions, il s’agit d’un pouvoir sans limites qui s’impose à tous. Une théorie du pouvoir royal a été dégagée a tiré deux caractères de l’autorité suprême du souverain. L’autorité se veut une et impartageable. Elle se veut une car le roi détient tous les pouvoirs. Il n’y a pas de séparation des pouvoirs entre le législatif, l’exécutif et le judiciaire

est au alentour de 2100 avt J.C ce code là est le code Ur Nammu, l’origine de ce droit est bien divine. Celui qui a donné le droit au roi Ur est le Dieu nana le droit vient donc du Dieu, de plus le Dieu est aussi a l’origine du pouvoir royale. Le roi reçoit la loi du Dieu et va ensuite la transmettre a son peuple. Le plus connu des anciens code est le code d’ Hammourabi il était un roi de la première dynastie de Babylone aux alentours du 18es avt J.C. Hammourabi est un conquérant ayant conquis bcp

intègre des éléments romains et chrétiens. §1 la tradition germanique A) La dévolution du pouvoir Le 1er roi de la dynastie, accède au pouvoir grâce aux conquêtes de guerre, son pouvoir est ensuite transmit à ses fils selon les règles de successions empruntées aux coutumes françaises : • la transmission semble reposer sur un mécanisme héréditaire mais plus complexe. • Le roi est l’élu du pouvoir, donc transmission élective et héréditaire • Le choix des grands ne peut se porter

est souverain dans son propre domaine, mais les grands seigneurs de son royaume ne sont que ses vassaux. Le roi n'est pas souverain dans leurs fiefs; il n'est que leur suzerain. Il n'y a d'ailleurs pas eu un passage brusque de l'État féodal à l'État royal. L'évolution, à l'inverse, est le résultat d'une lutte entre le roi et ses vassaux. Cette lutte connaît son apogée avec la guerre de Cent Ans (1337 - 1453), lors de laquelle les rois de France luttent contre certains de leurs plus puissants vassaux

c’est l’aristocratie (les patriciens) qui a le monopole car elle détient les postes de magistrats. Par la suite, des assemblées (= comices) sont créées, composées soit de plébéiens uniquement, soit d’un échantillon du peuple entier, qui votent la loi et désignent les magistrats. Le Sénat, lui, est un organe qui débat sur des questions politiques et qui a une autorité morale considérable (= l’auctoritas). Cette organisation en 3 organes fonctionne bien pour une ville, mais pas pour le territoire