La Mobilité Des Salariés

Jurisprudence sociale Clause de mobilité : la cour de cassation fait le point dans quatre arrêts du 14 octobre La mobilité du salarié peut être prévue dans un périmètre fixé contractuellement. Une clause doit figurer à cet effet dans le contrat de travail signé, si le contrat de travail n'est pas signé la clause est inopposable au salarié (Cass. soc., 2 avr. 1998, no 95-43.541). Lorsque les parties décident ( clause expresse du contrat ) dans le contrat de travail que le lieu de travail

1- Les enjeux de la mobilité Considérée à la fois comme un outil de la flexibilité et de la fidélisation des ressources humaines, la mobilité recouvre des enjeux différents pour l’entreprise et les individus qui la composent Pour l’entreprise : Du point de vue de l’entrepris, la mobilité est un outil d’optimisation dans la mesure où elle permet un ajustement dynamique, tant quantitatif que qualitatif, des ressources aux besoins en personnel, et ce faisant, accompagne les changements qui opèrent

Textile Chaussure Couture Cuirs et Peaux Entretien textile Habillement Maroquinerie Accompagner la mobilité professionnelle : Les guides du Forthac N°6 - DÉCE MBRE 2011 mode d’emploi et guide d’actions ] sommaire PAGE 1 PAGE 4 PAGE 20 Se mettre d’accord sur les termes • Engagement des professions et de l’Etat La mobilité professionnelle testée pour vous ! • Vous anticipez les évolutions de votre entreprise pour préparer l’avenir • Vous réorganisez votre entreprise ou son

effectifs et compétences de l’entreprise. Elles sont aussi un instrument privilégié de fidélisation et de motivation de l’ensemble des salariés. CONCEPTS CLÉS ET DÉFINITIONS Carrière w Évolution d’un individu durant sa vie professionnelle à travers une succession de mobilités, au sein d’une seule ou de plusieurs organisations. Employabilité w Capacité du salarié à maintenir sa « valeur » sur le marché du travail et, de ce fait, à pouvoir être employé dans différentes entreprises. Hauts potentiels

« Mobilité et stabilité, ne sont pas antinomiques, cycliste n’est stable sur sa bicyclette qu’en avançant » Introduction Pour qu’une entreprise se développe, il est nécessaire de se pencher sur la question de la mobilité et des carrières de ses collaborateurs. Une bonne gestion de la mobilité et des carrières entraîne une augmentation de la performance et des savoirs faire de l’entreprise. Par ailleurs, les collaborateurs expriment de plus en plus des souhaits de changement. La gestion des carrières

GESTI CHAPITRE 3 : LA MOBILITÉ ET LA GESTION DES CARRIERES I. Qu’est ce que la mobilité ? Elle se fait soit à l’intérieur soit à l’extérieur de l’entreprise. Changement de fonction, de service ou de mobilité géo Il existe : • La mobilité verticale : Ascension au niveau hiérarchique • La mobilité horizontale : Changer de fonction, voir de métier Remarque : Aujourd’hui, on est plus dans le développement horizontal que le développement vertical

formation permet l’accès aux connaissances qui offrent la possibilité aux salariés d’être plus compétents, plus impliqués, mieux informés. Elle peut aussi permettre de se réorienter professionnellement. La formation est une obligation légale. L’entreprise doit affecter 1,6 %, au minimum, de sa masse salariale aux dépenses de formation et, dans le cadre du DIF (droit individuel à la formation), elle doit accorder à chaque salarié 20 heures de formation par an. Toutefois, pour développer des compétences

Le cas Loxa Présentation du contexte L'entreprise LOXA oeuvre dans le secteur de la métallurgie, elle emploi un millier de salariés. Trois ans auparavant les dirigeants de l'entreprise ont du mettre en place un plan social visant à réduire ses effectifs. Ce premier plan social aurait « traumatisé » ses salariés, puisqu'elle entretenait une culture de fidélisation de son personnel. Néanmoins elle souffre toujours d'une réduction de son activité suite aux modernisations de sa production et envisage

croissance du pays et aux capacités de mutations des entreprises. Il doit permettre le développement de la mobilité professionnelle et la mise en œuvre des stratégies coordonnées pour l’emploi et les systèmes éducatifs. Les entreprises de 10 salariés et plus ont l’obligation de consacrer 1,6 % de leur masse salariale brute au financement de la formation (0,55 % pour les entreprises de moins de 10 salariés). Doc 2 Le financement et les bénéficiaires de la formation professionnelle

Les mobilités des salariés Rapport Mathide Lemoine et Étienne Wasmer Commentaires Pierre Cahuc Gilles Saint-Paul Compléments Brigitte Baccaïni, Luc Behagel, Yves Chassard, Bruno Crépon, Jean-Louis Dayan, Pauline Givord, Marc Gurgand, Anne Laferrère, Étienne Lalé, Olivier Marchand, Vincent Tiano et Lionel Wilner CAE090_Mobilités.pmd 1 04/06/2010, 14:05 Conception et réalisation graphique en PAO au Conseil d’Analyse Économique par Christine Carl © Direction de l’information