La Modalisation

houx vert est un arbuste à feuillage qui peut vivre deux ou trois siècles et la bruyère est une plante vivace trés robuste, et résistante). On voit les marque d'énonciation dans ce poème, avec les prénoms du dialogue (Je et tu), les temps de la modalisation qui sont souvent au futur (''je partirai'', '' j'irai'' etc.) et au présent (''je sais'', ''vois-tu'' etc.) Il décrit son voyage grâce à des compléments circonstanciels de lieu et de temps : ''Vers Harfleur'' (V-10), '' Demain, dès l'aube'' (V-1)

se caractérise par l'émerveillement et l'enthousiasme. On remarque l'emploi du mot «  apparition » qui a son sens le plus fort, son sens religieux et mystique : c'est la manifestation d'un être surnaturel qui se montre sous une forme visible. Modalisation méliorative forte: Vocabulaire montrant l'admiration du jeune homme pour cette femme : « éblouissement », « splendeur », « séduction », « finesse », « extraordinaire », « ébahissement ». 3. La poésie, expression de son émoi La première

l’achat impulsif à dominante émotionnelle. Les deux types d’achat peuvent être influencés par les outils et techniques marketing comme la publicité, la promotion des ventes mais seul l’achat réfléchi peut être modélisé (=schématisé). Dans cette modalisation, on distingue deux dimensions : d’abord le processus d’achat identique chez tous les individus et ensuite les facteurs explicatifs de l’achat qui influent sur ce processus. Si le sentiment post achat est favorable, alors le consommateur se dirigera

DI d’une seule (correspondant en gros au trait SUBORDINATION dans mon tableau) • modalité d’énonciation (assertion, interrogation, injonction) : le DI n’admet qu’une seule, la modalisation étant lexicalisée dans le verbe de parole (dire que, demander si, ordonner que), le DD par contre permet un enchâssement de modalisation (Type : Jean a dit : « Viens, Marie ! ») • cadre du repérage des déictiques, correspondant à ce que j’ai appelé ici TRANSPOSITION, et qui concerne le choix et l’interprétation

se marier) – Activités de loisirs vie de travail des moines – Collège d’hommes et de femmes collège d’hommes monacal La défense d’un bonheur purement humain L’obsession de la liberté * Champ lexical contrainte associé à négation et modalisation (honteuse sujétion, joug de servitude) – Idée = chacun est son propre maître – Laisser les Hommes libres d’agir leur permet de se tourner vers le Bien – Liberté condition de réussite humaine, morale mais aussi physique, intellectuelle et amoureuse

était de la même maison que le Vidame de Chartes » l.3-4, elle a le privilège de la naissance : « de la même famille », « grande héritière ». On a les pensées des personnages : « il fut surpris […] avec raison » l.27. Le narrateur emploie même des modalisations : « avec raison » l.27, ou « on doit croire que c’était une beauté parfaite » l.2 où le pronom indéfini « on » permet au narrateur de se cacher derrière les jugements de la cour : son statut est proche de celui de chroniqueur. Le narrateur évoque

Cyrano (tirets) : dualité de la parole pour souligner son dilemme. Déclaration enflammée à Roxane. 2) Déclaration insatisfaite, amour inassouvi - Déjà dans la déclaration, Cyrano est conscient du drame de sa situation : système hypothétique, modalisation « un peu », « parfois », souhait empreint de lucidité (conditionnel). - Emergence des registres lyrique et pathétique dans la parole de Cyrano, qui semble troublée : c’est l’exaltation des cœurs et la déclaration trompeuse d’un amour inassouvi

Nihilistes/Théistes : Nietzsche ≠ Pascal La présence de l’énonciateur se manifeste à travers les marques de la première personne (pronoms personnels, adjectifs possessifs…) ou les verbes d’opinion, de sentiments, de locution (je pense, j’aime, j’affirme…). Les modalisations du discours sont aussi révélatrices de la présence du locuteur: peut-être, je crois, vraisemblablement, sûrement…On peut donc mesurer l’implication de l’énonciateur qui s’affirme plus ou moins selon ses intentions, sa personnalité… L’absence de

souffrances physiques et psychologiques (effroi) parce que descendre sous la terre représente symboliquement la mort. On y perd ses repères comme le temps. 3° Etienne la ressent comme une terrible angoisse qui se traduit par : * Des marques de modalisations : « La descente devait durée depuis des heures. » * Des phrases interrogatives tantôt indirectes : « Lui, se demandait s’il descendait ou s’il montait. », tantôt direct : « Que se passait-il ? » Le fait de décrire longuement un laps en temps

nous laissent penser que ce texte est une parodie d’un conte. En effet, dès les premiers mots, la localisation de l’action est précisée : « en Westphalie », ce détail réaliste casse avec l’univers traditionnel du conte. Le narrateur introduit une modalisation qui instaure le doute par rapport à la réalité raconté : « je crois ». Le narrateur invite le lecteur à prendre de la distance avec le texte. L’univers de la grandeur est dévalorisé par l’ironie et les hyperboles que Voltaire insère dans son texte :