La Pensée Néoclassique

la théorie néoclassique, l’éthique est un frein au développement du marché. L’individu est égoïste et n’agit que dans son intérêt personnel, cependant cet individualisme mène à une satisfaction globale, ce qui favorise l’économie du marché. On parle alors d’individualisme méthodologique, cette conception laisse un grand choix d'hypothèses quant aux individus, il n'impose aucun modèle de leur comportement ni aucune forme particulière de représentation mais dans le cas des néoclassiques, ils font

société. ⇨ Idéologie politique Ccl : Les sc. éco se placent dans un contexte pol. , soc.. - Elle est abstraite et tire son essence des évènements sociaux : Texte 7 « (Schumpeter) Les évènements sociaux constituent un tout[…] à notre pensée » Ex : « Ainsi le comportement social est-il un tout » (Texte 7 $5) ⇨ L’éco. ne peut à elle seule tout le phénomène humain. - Elle propose et des possibilités d'amélioration à certains dysfonctionnements économiques et sociaux :

Chapitre 2 : les différents courants économiques La réflexion économique apparait chez les philosophes grecs (Aristote, Platon) qui étudient l’économie domestique et la gestion de la cité. Au Moyen Age, la morale chrétienne inspire la pensée économique (Saint Augustin, Saint Thomas d’Aquin). Durant l’époque médiévale, des penseurs arabes ont également réfléchi sur les problèmes économiques. Notamment Ibn Khaldun (1332 - 1406) qui a développé une théorie économique et politique dans

interprétation spécifique des phénomènes économiques (classique et néoclassique, keynésien et marxiste). Enfin, deux types de systèmes économiques peuvent exister : le système capitaliste et le système socialiste. PLAN A. La science économique 1. L'objet de la science économique 2. La méthode de la science économique B. Les principaux courants de la pensée économique 1. Le courant libéral : les économistes classiques et néoclassiques 2. Le courant radical : Marx et les marxistes 3. Le courant

Depuis la crise de 1929, de nombreux pays souffrent encore d'un taux de chômage très important. Pourtant, deux théories ; néoclasique et keynésenne ; s'opposent à ce sujet et sont utilisées dans de nombreux pays. 1) Le Néoclassicisme Les théories néoclassiques, d'inspiration libérale, considèrent que le chômage est le symptôme d'un fonctionnement défectueux du marché du travail: selon eux, celui-ci est insuffisamment fluide en raison des rigidités qui se sont accumulées dans son mode de régulation. La

qu’elles le souhaitent, et ceci à n’importe quel salaire. Partisans de la rationalité, les classiques et néoclassiques s’accordent pour dire que le chômage ne peut être que volontaire tandis que les keynésiens et d’autres auteurs contemporains affirment l’existence d’un chômage involontaire. Cette opposition théorique pose un problème : le chômage, comme l’affirment les auteurs néoclassiques n’est-il que volontaire ? Cette affirmation sous-entend que dans une situation normale, où le marché fonctionne

nature, les rapports de l’individu aux grandes forces qui régissent l’univers. Kurt Jooss, lui, est plus politisé, est à cœur de mettre en scène les conflits politiques et sociaux qui agitent le monde. Mais ce qui les relie, c’est leur attachement à la pensée de Laban, et leur travail sur un mouvement qui, indépendamment des thématiques des spectacles dans lequel il s’inscrit, doit explorer le corps naturel et ses ressources, et non le forcer. On appelle généralement la danse moderne allemande de cette

L´OFFRE. Chapitre 3: Néoclassiques, moitié 19eme siecle -moitié du 19eme siecle. C´est une theoreme dominante aujourd´hui. Elle utilise beaucoup de formalisations mathematiques. -Maximaliser le profit des entreprises. -Maximaliser leurs utilités pour des consomateurs. Walras -Théorie de l´équilibre général= plein emploi des ressources -Il a montré mathematiquement qu´il est possible d´effacer le chomage. - Les néoclassique sont des marginalistes. Des néoclassiques rejent la valeur de

de la pensée économique Les situations analysées par les économistes sont différentes en fonction des époques. Les objectifs sont aussi différents. Ce qui explique l’existence des différentes écoles de pensée = ensemble d’économistes dont les travaux ont la même orientation et les mêmes objectifs. Il y a 3 écoles de pensée qui ont marqué l’histoire de la science économique : - pensée libérale classique / pensée libérale néoclassique - pensée marxiste - pensée keynésienne / pensée néolibérale

profondément marqué par le chômage massif qui se déclare avec la crise de 1929. Ce chômage durable lui semble remettre en cause les théories néoclassiques qui postulent un retour automatique à l’équilibre. A bien des égards, la Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie (1936) constitue une rupture majeure à la fois dans la pensée économique (c’est la pensée classique qui domine à l’époque) et dans l’approche de la société et des politiques économiques ; en effet, Keynes préconise une intervention