La Science Désintéressée

(I. S. G.). Trois textes portant sur le même sujet sont soumis à l’examen des candidats. Ils traitent d’une question relevant des mêmes domaines que ceux qui sont généralement choisis pour le résumé  : art, littérature, sciences physiques et technique, biologie et médecine, sciences humaines, économie, politique, culture et civilisation.  Le libellé de 1’E. S. C. P. qui, chaque année, précède les textes en définit bien le caractère «Vous présenterez en 300 mots (tolérance de 10 %) une synthèse des

Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ? Introduction Une vérité scientifique est une idée qui se présente avec les caractères de l'objectivité. Les sciences ont traditionnellement pour tâche de nous procurer une connaissance du réel dans ses multiples aspects. Il est devenu courant de présenter les sciences comme des dangers potentiels pour notre intégrité physique ou pour la survie de l'humanité. Mais les représentations que nous nous en faisons ont-elles vraiment réfléchi à la notion

admissible une telle attitude désintéressée. Celle-ci est-elle vite taxée d'irresponsabilité et de poésie, ce qui la fera réserver exclusivement aux jeunes filles de famille, en attendant qu'elles aient trouvé un bon mari. La grande difficulté pour faire admettre et comprendre l'intérêt de la philosophie, vient de l'état d'esprit contemporain, notamment dans deux de ses traits de caractères: le primat de l'efficacité, et la réduction du savoir aux seuls critères de la science positive. Etat

Accueil » Exemple de dissertation rédigée Quoi de neuf sur le forum ? Sciences Po ou hypokhâgne ? Fac de lettres après une année sans cours de français Comment trouver une relation entre les éléments d'un paysage de tableau et les sentiments ? La pendule que m'avaient offerte mes parents Rédiger une lettre - Vous admirez un poème de Rimbaud Maison / appartement Le théâtre, dont l'existence est un scandale, puisque le poète et les spectateurs usurpent le regard

pratique. Vu sous cet angle , la philosophie ne sert à rien. Cependant l’on conçoit aisément qu’elle puisse avoir un quelconque intérêt. Ce qui nous porte à penser que la philosophie est une connaissance désintéressée. Le but n’est pas d’effectuer une transformation sur le monde , elle réserve cela à la science. Elle éclaire l’action. Sans être utile , la philosophie n’en est pas moins nécessaire ( nécessaire : qui ne peux ne pas être ) à la formation de l’esprit , à la liberté de la pensée. Or cette dernière

d'un point de vue scientifique. Nous adhérons spontanément à nos perceptions, jusqu'à ce que la science nous prouve notre erreur. La science les utilise, mais de manière désintéressée et méthodique, de sorte d'arriver à une vérité scientifique élaborée par la raison. Notre connaissance du monde est donc le résultat de deux expériences mêlées : l'expérience vécue et l'expérience médiatisée par la science. Le décalage entre ce que nous percevons du monde et les règles que l'homme a instauré pour l'ordonner

C’est un don. Forme particulière peut-être mais don parce qu’il est d’abord volonté de préserver un autre don, celui de la vie, ayant pris sa source dans la naissance, tout premier don de vie qui met en valeur la notion d’intentionnalité désintéressée et non d’utilitarisme. Cet appel du don de soi se retrouve dans la religion. Le soin est plus aisé lorsque l’on peut voir dans autrui un semblable. Ce premier moment du geste éthique correspond parfaitement au « pôle-je » et partiellement au

théorie, consiste à se faire une idée du « terrain de jeu », à acquérir un minimum de connaissances du monde dans lequel notre existence va se dérouler. Toute philosophie part donc des sciences naturelles qui nous dévoilent la structure de l'univers, la physique, les mathématiques, la biologie mais aussi les sciences historiques. Mais il lui faut aller plus loin et s'interroger aussi sur les moyens dont nous disposons pour connaître. 2. La deuxième tâche de la philosophie nous fait aussi nous intéresser

position irréaliste des chevaux. L'artiste rend son ?uvre vivante et donc ce qui ne devrait pas être. D'où dépassement du réel. b) désir de connaissance pousse l'homme à connaître chaque chose de son réel, mais une partie lui est inaccessible par les sciences, le tempérament humain. L'homme voit le monde à travers l'art. Wilde : « ce n'est pas l'art qui imite la nature mais la nature qui imite l'art » Exemple : avec Turner, on voit dans un coucher de soleil le romantisme c) percevoir les idées de

. Soulignons d’emblée que la quête de vérité ici n’est pas désintéressée –il ne s’agit pas de savoir pour savoir, simplement pour satisfaire une pure curiosité intellectuelle – mais de « distinguer le vrai d’avec le faux, pour voir clair en (nos) actions et marcher avec assurance en cette vie », donc pour éclairer la vie pratique, concrète  : la vérité et la science au sens large sont ici les auxiliaires de la morale au sens large, c’est-à-dire