La Subjectivité Du Narrateur Dans Un

l’histoire, son caractère ne change pas. 6°) Thèmes Thème 1 : Le bien et le mal a) Sous la forme d’une personne mais de deux personnages : Mr Hyde et Dr Jekyll qui en fait ne forment qu’un. Mr Hyde : le mal et Dr Jekyll : le bien. b) Le narrateur cherche à faire passer un message : il y a en chacun de nous, une partie de mal et une partie de bien. Mais on l’utilise en fonction de notre libre-arbitre. Thème 2 : La double personnalité a) Cela rejoint le premier thème, c’est encore sous

poste dans la prison. Le deuxième personnage secondaire est par contre lui cité clairement dans le passage, il s’agit de « la duchesse ». Quel point de vue le narrateur adopte-t-il pour présenter le déroulement de l’action, dans chacun de ces trois extraits ? Dans l’ensemble de ces trois extraits, le narrateur à choisit d’être apparemment absent comme personnage de l’histoire. Son récit se fait donc à la marque de l’énonciation à la 3ème personne, qui accentue l’illusion de la

célèbre auteur du 20ème siècle, dénonce dans son roman absurde, Voyage au bout de la nuit, l'horreur de la Grande Guerre et l'abus de pouvoir de la hiérarchie. Dans cet extrait, Bardamu, narrateur-personnage, est confronté à une « boucherie humaine » après avoir été enrôlé en tant que soldat. Comment le narrateur dénonce-t-il, ici, cette guerre effroyable et incohérente ? À travers le point de vue d'un anti-héros, nous étudierons la dénonciation de l'absurdité de la guerre. Auteur : • • • • • •

personnage. Au théâtre, la sensibilité du spectateur du XVII° siècle serait heurtée : n’oublions pas que la fable est essentiellement un récit. • Narration Le narrateur est extradiégétique mais on a quand même une présence implicite cependant par des indices de subjectivité : certaines caractérisations des animaux sont le fait du narrateur et marquent un lexique évaluatif, par exemple, « un avorton de mouche » (ironie). On trouve de nombreuses traces d’humour dans le décalage de cause (moucheron)

Le sujet parlant s'efface de son acte d'énonciation, et n'implique pas l'interlocuteur. Il témoigne de la façon dont les discours du monde (le tiers) s'imposent à lui. Il en résulte une énonciation apparemment objective (au sens de "déliée de la subjectivité du locuteur") qui laisse apparaître sur la scène de l'acte de communication des Propos et des Textes qui n'appartiennent pas au sujet parlant (point de vue externe). Dès lors deux cas peuvent se présenter: -Le Propos s'impose de lui-même […] -Le

COMMENTAIRE COMPOSÉ « Voyage au bout de la nuit », de Louis-Ferdinand Céline Le narrateur, Ferdinand Bardamu, est médecin dans une banlieue misérable et sordide du Paris de la fin des années vingt. En dépit de sa misanthropie, il s’est attaché à un enfant, Bébert, qui est bientôt atteint de la typhoïde. Venu passer la journée à Paris afin d’obtenir, en vain, de son ancien professeur de médecine un moyen de sauver Bébert, il doit s’en retourner dans sa banlieue. Son désespoir est à son comble

poème au service d'une description puis le détournement de ces mêmes outils pour mettre en péril l'équilibre du texte créé par Verlaine. Le paysage est de plus en plus indéterminable, car il n'est pas réaliste, il est habité par la subjectivité et l'émotion du narrateur, éprouvant un sentiment très mélancolique proche du spleen baudelairien, et cherchant la matière de la poésie dans un sentiment de vanité matérialisé par la plaine et ceux qui y vivent. Tous les quatrains sauf le second et le quatrième

« valeur ». Cela vise à nous instruire, ça a un but didactique. En effet, ce texte argumentatif avec en premier une définition de la révolte de la ligne 1 à 5 avec la question rhétorique «  Qu’est-ce qu’un homme révolté ? » et ensuite l.6 à 21, le narrateur expose sa thèse. Elle est celle de la reconnaissance d’une limite qui conditionne la révolte, l.23 à 25 cette thèse est reformulée en reprenant l’explication de la révolte est la « volte-face » l.22. Pour la baliser, il emploie la démonstration logique

"Michael" ou "M. Richardson") quitte Lol, femme réelle, pour l'icone inconnu Anne-Marie Stretter (et non jamais "Anne-Marie" ou "Mme. Stretter"). Réduite une fois et ainsi éternellement au rôle de témoin à la déconstruction de son identité et de sa subjectivité par le "couple que formaient Michael Richardson et Anne-Marie Stretter" (Duras 46), Lol perd sa capacité d'évoluer et d'agir en tant que personnage. Figée pour toujours dans "l'instant précis de [l]a fin" (Duras 46) du bal, moment où elle devient

sémantiques, pour permettre la reprise de la logique de l'esprit. Également contexte de renouvellement des sciences humaines avec l'importance de la linguistique et de la psychanalyse: perte de contrôle d'un individu qui conduit à un éclatement de subjectivité. Cohen n'appartient pas à l'école des nouveaux romanciers mais ses libertés dans le maniement de la prose l'inscrivent sans problème dans son siècle. Il est marqué par la désillusion, perte de la foi en l'homme mais aussi en Dieu. 1) Les grandes