La Subjectivité Du Narrateur Dans Un

quelques lignes, il est le plus souvent heterogene et releve de plusieurs types des textes: narratif, descriptif, informatif, explicatif et injonctif. Le txte narratif appelé aussi récit est une histoire, réelle ou fictive, racontée par un narrateur soit a la 1er, soit a la 3e personne, en fonction du dégrée d’implication dans le récit. La principale condition pour qu’on puisse parler d’un texte narratif est la succession chronologique des événements, suit par l’établissement d’une relation

de la vie de l’héroïne et de l’œuvre en général ? Ce texte s’inscrit bien dans le mouvement naturaliste, dont l’auteur est le chef de file, et à travers le relais des regards portés sur l’alambic par les différents personnages de la scène, le narrateur suggère déjà le fléau de l’alcool qui touchera chacun d’eux par la suite. ------------------------------------------------- I/ Une scène naturaliste ------------------------------------------------- A/ Une atmosphère populaire -------------------------------------------------

présente comme une confession, est comme échappé du peu d’intérêt que le jeune homme éprouve envers lui-même. En vérité, c’est le caractère exceptionnel, non pas de son aventure, mais de sa lucidité qui le pousse à cette confession. Cette lucidité, le narrateur l’exerce sur son propre caractère. Il en ressort que la faiblesse est une composante essentielle de sa personnalité : mais c’est une « lâcheté » d’un type très particulier. Malgré son désir d’être parfaitement honnête, Adolphe est incapable de se

narrée. Dès le début de son délire, une rencontre entre un homme âgé et le narrateur apparaît. Ce dernier s'identifie à cet inconnu au point même où il y a mélange entre les deux personnages, en effet le poète nous indique une forte ressemblance entre eux. En utilisant une comparaison : « un homme assis, comme moi » (l.7), puis avec le pronom « nous » (l.16), et le rapport entre la mort du vieillard et le réveille du narrateur (l.22-23), le poète cherche à nous montrer le mélange entre les deux personnages

plus joli des muscadins » (p. 35), qu’il est un « jeune beau » un peu guindé, qui va à un rendez-vous galant. Le narrateur, tout en ayant un regard bienveillant sur son personnage, se moque un peu de lui. La description de son habit, en particulier, prête à sourire : il est vêtu en « bleu, blanc, rouge », au couleur du drapeau français (institué sous Napoléon Ier, en 1812). Le narrateur dresse un portrait un peu caricatural du soldat. Tout le passage est fondé sur des oppositions : le colonel est

loin de la réalité qu’on n’arrive plus à sortir du lot. Il en est de même pour le texte C d’Arthur Rimbaud, « Aube », Illuminations, dans lequel le pronom personnel utilisé est « je », ce qui au lieu de simplifier la question du narrateur, la complique, car l’impression est que Rimbaud parle, cependant, la première phrase de l’extrait nous met tout de suite dans le doute « J’ai embrassé l’aube d’été ». Est-ce qu’on a déjà vu quelqu’un « embrasser » un coucher ou un lever de soleil

Diomède mesquin et trompeur. Diomède : héros valeureux, modèle chez les Achéens pourtant c’est un trompeur. But matérialiste, c’est un voleur, un « picaro ». - violence des combats, blessure décrite de façon médicale. Pause dans l’action : le narrateur décrit le trajet de l’armée. - immanence des Dieux. Infériorité même car une déesse est blessée : quelle est la hiérarchie entre les hommes et les dieux ? Lignes brouillées. Les dieux ont un corps mais différence : sang immortel (ichore) et

en plein ciel ». L’extrait se termine par le mot ciel. « précieux » « émouvant » jugement positif subjectif. Les sentiments du narrateur donnent une valeur supplémentaire au lieu et permettent la transformation des nymphéas. Les nymphéas sont oubliés, ils ont une couleur subjective. L’objet en soi. C’est le temps qui produit les changements de lumières. Subjectivité et le changement dans le temps. Le nr évoque l’après-midi, le soir + volonté d’embrasser tous les moments. Volonté d’englober toutes

mineures, …) ou de tempérament (vertu, traître, …). Portrait comme mythe : personnage mythologique reprit par les auteurs dans le cadre de l’intertextualité : réécriture de texte. (Antigone d’Anouilh) III. La construction du personnage NARRATEUR : Qui sait ? Omniscient : 3ème personne Connait le déroulement de l’histoire, le passé, le présent et les sentiments du personnage. Externe ou témoin Spectateur. N’a pas toutes les informations. Ne rapporte que ce qu’il voit et entend. Limite

oeuvre pour raconter l'histoire. I) Narration à la 3ème personne: - La technique dite du narrateur omniscient (omniscient narrator) part du principe que l'auteur connaît tout de l'histoire et de ses personnages. Il contrôle l'histoire et intervient parfois dans la narration pour s'adresser directement au lecteur. L'écrivain crée alors une complicité avec le lecteur. - Multiple character focus: le narrateur a accès aux pensées des différents personnages et participe à leur réflexion. Il n'attire